Politique

Que veulent donc ces terroristes ougandais qui ont atteint un chiffre total de plus de 200 morts ? Les tueries des terroristes ougandais des ADF/NALU vendredi dernier dans trois villages du groupement de Mbawu, à 10 km de l’aéroport Mavivi de Beni-ville ont livré leur secret. Plus de 100 personnes ont été tuées pour l’essentiel à la hache. 100 personnes, c’est un carnage.
Le gouvernement de la RDC se dit déterminé à anéantir « par tous les moyens les égorgeurs des femmes et d’enfants dans le territoire de Beni ».
Le président français, François Hollande, continue de passer aux yeux de l’opinion tant africaine qu’internationale pour le principal architecte du scénario surréaliste ayant conduit à la triste fin de règne de BIaise Compaoré, candidat à la présidence à vie à la tête du Burkina Faso.
Les ateliers du cinquantenaire du Parti Lumumbiste Unifié (PALU) se sont poursuivis vendredi 21 et samedi 22 novembre dernier au Centre Nganda sous la modération de l’honorable Adolphe Muzito, cadre du Palu.
L’espoir est de nouveau permis pour la mise en place d’un nouveau gouvernement dit de cohésion nationale. Le meilleur discours étant le silence observé jusque-là par le chef de l’Etat, le temps est, en effet, venu d’en finir avec le dossier en rapport avec le gouvernement de cohésion nationale. Cependant, depuis plus d’une année, le gouvernement est démissionnaire alors que les ministres ont déjà touché leurs indemnités de sortie égales à six mois de salaire. A cet effet, toutes les grandes décisions sont supposées être suspendues.
Le ministre de l’intérieur, sécurité, décentralisation et affaires coutumières, Richard Muyej Mangez a rassuré, samedi à Kinshasa, les sénateurs, députés nationaux et provinciaux de la Ville de Kinshasa toute tendance confondue des mesures d’encadrement prises par le gouvernement pour éviter le dérapage dans la troisième l’opération «LIKOFI» dans la traque contre les Kuluna. Le ministre qui n’a pas précisé la date du lancement officiel de cette troisième phase, a associé à cette rencontre le Gouverneur de la Ville de Kinshasa, André Kimbuta, le Commissaire Divisionnaire de la Police Nati
L’Office Nationale d’identification de la population a besoin d’un demi-milliard de dollars pour mener à bien sa mission. En clair, si le Congo veut crédibiliser son processus électoral en le basant sur un fichier crédible. Le Directeur Général, Adolphe Lumanu Mulenda Bwana N’Sefu a fait montre de capacité et de crédibilité de son organisme, l’Office national d’identification de la population créée par ordonnance présidentielle dont les membres venaient de l’être par la même voie (Ordonnance Présidentielle n°14/066 du 15 octobre 2014).
Pour le secrétaire général de cette formation politique, la situation décriée serait l’oeuvre « des esprits mal intentionnés ». La conférence de presse, organisée le 20 novembre à la permanence de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) à Limete, a permis au secrétaire général de ce parti, Bruno Mavungu Puati, d’éclairer l’opinion sur certaines réalités qui ont marqué l’actualité de cette formation politique. Cette rencontre avec la presse a essentiellement tourné autour de ce que d’aucuns ont qualifié de crise qui secoue ce parti.
Ceci pour dire que quelques objections constatées avaient été vidées non pas par la suite de la décision du bureau de l’Assemblée nationale, mais ensemble avec le comité d’accompagnement mis ensemble. « En synergie avec les composantes, elles ont présenté deux candidats par composantes et accepté par tous. Mais certaines composantes n’ont pas su présenter deux candidats », a précisé le Président de la Chambre basse.
Nommés par Ordonnances présidentielles le 15 octobre dernier, les membres de l’Office national d’identification de la population (ONIP) ont été présentés au public. C’était le vendredi dernier au Fleuve Congo Hôtel, en présence de plusieurs invités de marque.