Dans son discours sur l’état de la Nation ce lundi 8 décembre 2025, devant le Parlement réuni en Congrès, le chef de l’État Félix Tshisekedi a évoqué l'insalubrité et les embouteillages auxquels fait face la population kinoise, indiquant dans la foulée des réformes à entreprendre pour des solutions définitives.S'agissant notamment de l'insalubrité causée par l'obstruction des caniveaux, Félix Tshisekedi a annoncé la modernisation de la chaîne de traitement des déchets.
Politique
Dans son discours sur l’état de la Nation, ce lundi, le président Félix Tshisekedi a présenté une feuille de route pour transformer les infrastructures de transport et renforcer l’unité nationale à travers le désenclavement routier, ferroviaire et aéroportuaire. Pour 2026, le chef de l’État projette une accélération des chantiers routiers à travers tout le pays.Il a indiqué que le gouvernement avait prévu notamment 38.000 km de routes de desserte agricole et 11 423 km de routes prioritaires à aménager en une année, grâce au déploiement de brigades routières dans chaque province.
Lors de son discours sur l’état de la Nation, prononcé ce lundi devant le Parlement réuni en congrès, le président Félix Tshisekedi est revenu sur la portée réelle des Accords de Washington, entérinés entre la RDC, les USA et le Rwanda.Le chef de l’État a tenu à dissiper toute ambiguïté quant à l’interprétation de ces engagements, face aux inquiétudes exprimées dans une partie de l’opinion publique.Il a rappelé que ces accords n’impliquent en aucun cas une concession politique, territoriale ou économique de la part de la RDC.
Lors de son discours sur l’état de la Nation ce lundi, le président Félix Tshisekedi a dénoncé la poursuite des attaques menées par les forces rwandaises en territoire congolais, en dépit de l’entérinement récent des Accords de Washington, censés ouvrir une nouvelle ère de paix et de coopération dans la région.Malgré l’engagement formel acté à Washington, Félix Tshisekedi a affirmé que « le Rwanda viole déjà ses engagements ».
Dans un message relayé sur son compte X ce lundi 8 décembre 2025, l'opposant Martin Fayulu s’insurge contre l'agression dont a été victime Jean-Marc Kabund, président de l'Alliance pour le changement (A.Ch), au quartier Camp Luka, dans la commune de Ngaliema, à Kinshasa, où il devait tenir son meeting.À l'en croire, Camp Luka n'appartient pas à la majorité au pouvoir.« Je m’insurge contre l’agression de Jean-Marc Kabund à Camp Luka alors qu’il allait animer un meeting. Camp Luka n’appartient ni à l’Union sacrée ni à quiconque », a-t-il déclaré sur X.
La Première ministre a présenté, lors de la dernière réunion du Conseil des ministres, une communication axée sur trois points majeurs, dominée par l’analyse de l’entérinement des Accords de Washington.
Le député national Carly Nzanzu Kasivita, élu du territoire de Beni (Nord-Kivu), a demandé à la Première ministre de la République démocratique du Congo, Judith Suminwa, de reconduire les mesures d'allègement fiscaux et parafiscaux accordées en 2024 aux opérateurs économiques du Nord-Kivu et de l’Ituri, provinces sous état de siège.Dans une correspondance adressée à la cheffe du gouvernement consultée par 7SUR7.CD le vendredi, l’élu affirme que l’esprit du décret présidentiel censé atténuer l’impact de l’insécurité sur les activités économiques n’a pas été respecté sur le terrain.
En République démocratique du Congo, les réactions continuent de tomber après la signature des accords de paix et de prospérité par les présidents Félix Tshisekedi et Paul Kagame, en présence de leur homologue Donald Trump, à Washington.La dernière en date est celle du secrétaire général du parti politique Autre Vision du Congo (AVC), Maître Magloire Kasongo.
Le président national du parti politique Alliance pour le Changement (A.Ch), Jean-Marc Kabund, n'a pas tenu son meeting populaire prévu ce samedi 6 décembre 2025 au quartier Camp Luka, dans la commune de Ngaliema, à Kinshasa.En effet, un groupe de jeunes de ce quartier s'est opposé à l'organisation de cette activité politique.
À quatre jours de l’ouverture prévue du Congrès extraordinaire de l’UDPS (10-14 décembre 2025), l’incertitude gagne les rangs du parti présidentiel.Cette rencontre, censée permettre l’adoption de nouveaux Statuts et l’installation d’une nouvelle direction, pourrait être compromise, selon certains faits liés à son organisation. Et plusieurs cadres accusent le Secrétaire Général, Augustin Kabuya, de freiner le processus.