Politique

Dans un environnement trouble, l’économie ne peut pas émerger. Cette évidence, le Parti lumumbiste unifié, Palu, la met en exergue à l’occasion des ateliers organisés en marge de la célébration du cinquantenaire de cette formation politique. Le modérateur des ateliers, l’ancien Premier ministre Muzito, a eu la lourde charge de partir de l’insécurité qui s’est incrustée dans l’Est, un exposé de Thomas Luhaka, en passant par le prof. Philippe Biyoya qui s’est projeté au niveau sous-régional, le recours à l’histoire depuis Léopold II avec le prof.
" Dans cet accord,figurent des engagements de la République démocratique du Congo, repris entre autres, au point 5 … la RD-Congo s’engage à promouvoir la reforme structurelle des institutions de l’Etat ", indique le député national et président du MIR. Révision constitutionnelle ? Me Mbayo en parle. Mais pas à la manière de tout le monde,. Plutôt de façon méthodique et intelligente en s’appuyant sur des dispositions de l’Accord-cadre signé par la RDC le 24 février 2013 à Addis-Abeba, en Ethiopie, .
Le chef rebelle congolais Cobra Matata s’est rendu vendredi soir aux autorités congolaises à Bunia où il a semé la désolation pendant des années pour le contrôle notamment de ressources naturelles. "Il s’est rendu vers 22h30 heures locales (20h30 GMT). Il s’est rendu avec trois autres officiers de son état-major.
Le président de la République démocratique du Congo (RDC), Joseph Kabila, poursuivait mercredi ses consultations avec ses homologues des pays voisins, dont le Rwandais Paul Kagame, sur la crise à Goma (est), tombée la veille aux mains des rebelles du M23. Dans la capitale ougandaise, Kampala, le président Kabila a eu mardi soir un tête-à-tête avec M.
Le chef rebelle Banaloki alias Cobra Matata s’est rendu, vendredi 21 novembre dans la soirée, avec ses hommes et leurs dépendants, aux Forces armées de la RDC (FARDC), à Bunia, chef-lieu de l’Ituri (Province Orientale).
Dans l’est de la RDC, une nouvelle tuerie est venue endeuiller la zone de Beni vendredi. Les corps de dix personnes ont été emmenés à la morgue de l’hôpital le plus proche, mais d’après des rescapés sur place, il pourrait y avoir entre 50 et 80 victimes. Une attaque particulièrement violente qui survient après une quinzaine de jours de relative accalmie. Vendredi soir, l’armée congolaise continuait à chercher les corps des victimes. L’attaque a eu lieu à une dizaine de kilomètres à l’est de l’aéroport de Beni dans trois petits villages au milieu de la forêt.
Le gouverneur du Nord-Kivu (Est) redoute « un arrêt cardiaque » pour les institutions des 1435 Entités territoriales décentralisées (ETD) où seront organisées les élections locales en 2015, dans le cadre de la Décentralisation de la République démocratique du Congo (RDC). Quelque 1435 Entités territoriales décentralisées, où seront organisées les élections locales par la Commission électorale nationale indépendante, ont été identifiées) à travers le pays.
L’Agence nationale de renseignements (ANR) de la ville de Beni au Nord-Kivu. procède depuis mercredi 19 novembre aux interpellations avec au moins dix opérateurs économiques et notables de la ville et du territoire de Beni déjà arretés. Parmi les personnes arrêtées figure notamment la présidente de la Fédération des entreprises du Congo (Fec) de Beni, Gertrude Vihumbira, rapporte vendre 21 novembre Radio Okapi, indiquant que ces arrestations ont provoqué une panique à Beni. Le motif de ces interpellations n’a pas encore été révélé officiellement.
(BENI)- 70 personnes ont été tuées dans la nuit de jeudi entre 16h00 et 19h00 dans trois villages près au nord-est de Mavivi en territoire de Beni, au nord de la province du Nord-Kivu. Il s’agit de Tipi Omba, Vemba et Zuma. Les assaillants lourdement armés ont liquidé les paisibles citoyens sans qu’une moindre intervention de l’armée n’arrive. Des femmes et enfants ont été tués à la machette. Seuls trois personnes ont pu s’échapper. Les rescapés ont pu raconter la scène atroce au maire de Beni, Nyonyi Banakawa.
La bagarre généralisée survenue dan le cadre de la motion de défiance contre le ministre de l’industrie avait une motivation financière. En effet, une rondelette somme de 200.000 dollars aurait été déboursée pour les députés à la Chambre basse du Parlement. Une confusion a régné à la suite de graves suspicions au sein des députés de la Province Orientale, ayant dégénéré au point d’en venir aux mains.