Société

Le personnel féminin de l'Inspection Générale des Finances (IGF) a bénéficié d'une session de formation sur la sécurité au travail et le bien-être mental lors d'une conférence-débat organisée le mercredi 26 mars 2025 à Kinshasa. Cet événement, organisé en marge de la clôture du mois de mars dédié aux droits de la femme, visait à sensibiliser et à former les agentes de l'IGF sur ces enjeux cruciaux liés à la santé mentale et à la sécurité au travail, essentiels pour leur développement personnel et professionnel, selon un communiqué de l'IGF.

Dans un communiqué officiel daté du 27 mars 2025, le ministre des Finances, Doudou Fwamba Likunde Li-Botayi, informe l'opinion nationale qu'en exécution de la décision prise par le Gouvernement sous l'impulsion du président de la République, Félix Tshisekedi, la rémunération des éléments des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) et de la Police Nationale Congolaise (PNC), vient d'être doublée.

L'inspecteur général des finances - chef de service de l'IGF, Jules Alingete, et la ministre de la Jeunesse et de l'Éveil patriotique, Noëlla Ayeganagato, sont en mission à Kolwezi, chef-lieu de la province du Lualaba, depuis ce jeudi 27 mars 2025. Accompagnés de leurs équipes, ils animeront une conférence-débat sur le thème "Implication de la jeunesse lualabaise dans la lutte contre la corruption et le patriotisme", destinée à 2 000 jeunes étudiants, élèves et membres des milieux culturels et socio-professionnels.

Les activités académiques et para-académiques sont suspendues jusqu'à nouvel ordre au sein de l'Institut  du bâtiment et des travaux publics (IBTP) en ville de Kisangani, dans la province de la Tshopo. Cette mesure est contenue dans un récent arrêté de la ministre de l'Enseignement supérieur et universitaire (ESU), Marie-Thérèse Sombo, parvenu à 7SUR7.CD ce jeudi 27 mars 2025.

Le conseil d’administration de la Régie des Voies Aériennes (R.V.A-SA) a, à travers un communiqué transmis à 7SUR7.CD ce jeudi 27 mars 2025, démenti les allégations répandues ces derniers jours sur les réseaux sociaux et dans certains médias congolais faisant état d'une signature de contrat de partenariat public-privé par le conseil d'administration de cette entreprise publique. Selon le professeur Tryphon Kin-Kiey Mulumba, président du conseil d'administration de la RVA SA, ces allégations sont « totalement infondées et grossièrement mensongères ».

Plusieurs structures médicales de la ville de Bukavu dans la province du Sud-Kivu sont en rupture de médicaments. Selon certains professionnels de santé contactés par 7SUR7.CD jeudi 27 mars 2025, l'approvisionnement en médicaments est devenu difficile depuis la prise de la ville de Bukavu et de l'aéroport de Kavumu par les rebelles de l'AFC/M23. Ils renseignent que plusieurs hôpitaux sont débordés des patients pendant cette période de guerre et le grand défi reste celui de l'accessibilité aux médicaments.

Les agents de la Direction générale des recettes du Kasaï, centre rural d'Ilebo, réclament 5 mois d'arriérés de salaire. Ces agents en colère disent ne pas comprendre pourquoi ils ne sont pas payés alors qu'ils mobilisent les recettes. Ce jeudi 27 mars 2025, la tension a été tendue au centre rural où ils ont fermé tous les bureaux de service, empêchant tout accès.

Le Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA), en collaboration avec le gouvernement de la République Démocratique du Congo, a lancé la stratégie de prévention et de réponse aux cas d'exploitation et d'abus sexuels, ainsi qu'au harcèlement sexuel (EAS/HS) au sein de l'administration publique fédérale. La cérémonie s'est déroulée le mercredi 26 mars 2025 à Kinshasa.

L’enquête sur l’assassinat du journaliste Patriq Adonis Numbi continue de connaître des rebondissements. Quatre nouveaux suspects ont été présentés au gouverneur du Haut-Katanga, Jacques Kyabula, par les services de renseignement, ce jeudi 27 mars 2025. C'est après plus d'un mois de condamnation à mort de huit individus déjà jugés coupables dans cette affaire.

Des enseignants des écoles primaires conventionnées catholiques et protestantes ont déclenché un mouvement de grève. C'est pour réclamer le paiement de leurs salaires de deux mois, soit février et mars 2025. Après une concertation, ils ont estimé qu'ils traversent une période de souffrance extrême.