Société

C’était la grande confusion le dimanche 17 mai 2015 dans la soirée sur la rue Kibunzi, au quartier 2, dans la commune de N’Djili. A en croire plusieurs témoignages, une vive dispute s’est engagée vers 20 heures entre maman Pauline et son fils de 17 ans, répondant au prénom de Prodige, à la suite d’une demande de ce dernier au sujet d’un complément de 30 dollars à ses frais d’apprentissage à l’Auto-école Cams. En dépit des explications de sa mère qui soutenait ne disposer que de 20 dollars, le fils ne faisait que le harceler.

Un accrochage a eu lieu entre une vendeuse de pains et un policier dans la matinée du mardi 19 mai 2015 sur l’avenue Kianza, dans la commune de Ngaba. On laisse entendre que l’agent de l’ordre, en état d’ivresse, aurait exigé brutalement une taxe illégale à la dame. Suite au refus de celle-ci, il l’aurait arrosée d’injures. En réponse à ce comportement irresponsable, la vendeuse de pains aurait giflé puis griffé l’homme en uniforme, qui s’en sorti avec des égratignures.

Un oncle, qui servait de caissier à son neveu, a fait arrêter ce dernier le mercredi 20 mai2015 au sous-commissariat de police du quartier kimpwanza, dans la commune de Makala, pour violation de son domicile et injures publiques. A en croire plusieurs résidants de l’avenue Kidima, où a eu lieu l’incident, un jeune garçon prénommé Moïse avait l’habitude de confier ses petites économies à son oncle.

Un chauffeur de taxi a failli se suicider et mettre fin à la vie de sa femme, pour l’avoir surprise, le mardi 19 mai 2015 dans une terrasse de Lemba, en train de partager un verre avec un inconnu et de s’embrasser. Sans crier, il a récupéré sa femme et l’a entraîné vers la maison qu’il louait Une fois chez lui, l’homme s’est mis à rosser la mère de ses deux enfants et lui a assené un coup de pilon.

La parcelle familiale de Trésor, un jeune garçon de 17 ans, située sur la rue Lubaki, dans la commune de Bandalungwa, au quartier Moulaert, était envahie par une grande foule hier jeudi 21 mai 2015, à l’annonce de la mort de ce dernier. Selon la version livrée par son père, le défunt aurait signé, tout récemment, un pacte avec un magicien, qui lui aurait remis un porte-monnaie magique, qui se remplissait de billets de banque dès que l’argent qui s’y trouvait était épuisé.

Prix Sakharov en 2014, le Docteur Mukwege, a été désigné coprésident de la Commission de Droit de l’Homme de l’Union européenne. C’est dans cette optique qu’il a pesé sur le vote contre les minerais de sang passé au Parlement européen. Désormais tout minerai en provenance des zones des conflits doit être certifié. Les élus du Parlement européen viennent de voter contre les minerais de conflits et pour les droits humains.

Une centaine de congolais de la RDC sont expulsés depuis quelques temps de Pointe-Noire, deuxième ville de la République du Congo. La vague de refoulés est arrivée jeudi 21 mai au poste frontalier de Beach Ngobila à Kinshasa. Les infortunés déplorent la brutalité et des morts d’hommes pendant ces expulsions. A leur descente du bateau qui les a ramenés dans la capitale Kinshasa, ils se sont bousculés au micro de Radio Okapi et s’arrachent presque les uns les autres la parole pour décrire leur calvaire : « On était détenu dans de très mauvaises conditions. Il y avait de l’étouffement.

La dissolution des Ligues aériennes Congolais (Lac) s’est faite de manière cavalière et sans transparence.

Les membres de la Commission nationale des droits de l’Homme (CNDH) sont en train de suivre, depuis hier mercredi 20 mai, une formation sur les droits humains et le VIH, Cette formation se déroule dans la salle de conférences du Programme national multisectoriel de lutte contre le SIDA (PNMLS) à Kasa-Vubu, une commune de la ville de Kinshasa, Elle sera clôturée demain vendredi 22 mai. Lors de la cérémonie d’ouverture, le secrétaire exécutif national du PNMLS a remercié le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et le ministère de la Justice, garde de sceaux et droits humains

La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV) s’insurge contre la pratique du rançonnement dont sont victimes les visiteurs et membres de famille des détenus à la Prison Centrale de Makala (PCM), sis Kinshasa/Setembao, en République démocratique du Congo et ce; au vu et au su de toutes les autorités de l’administration pénitentiaire. En effet, des visiteurs toutes catégories confondues sont obligés de monnayer leur accès à la PCM, auprès d’agents ou gardiens commis à la surveillance de cet établissement pénitentiaire souffrant des effectifs pléthoriques soit environ sept mille (7000)