Justice

Le tribunal militaire de Kananga (Kasaï Central) a, au cours de l'audience qui a eu lieu ce jeudi 12 septembre, condamné le brigadier Michel Bakajika de la Police Nationale Congolaise (PNC) à une peine de 7 ans de prison ferme et au payement d'une amende de 900.000 FC. Ce, après que ledit tribunal l'ait reconnu coupable d'un viol d'une mineure de sa compagne, en 2017. L'organe de la loi avait requis 20 ans de prison à ce policier. Michel Bakajika a, lors de cette audience, rejetté ses accusations et a clamé son innoncence dans cette affaire.

Dans une déclaration samedi 07 septembre 2019 dont 7SUR7.CD s'est procuré une copie, les avocats du barreau du Kasaï Central décident de suspendre leur prestation dès ce lundi 09 septembre devant la Cour d'appel du Kasaï Central, le parquet général près cette Cour et la Cour militaire de l'ex province du Kasaï Occidental. Cette décision fait suite au refus du député provincial Kapena Tshinyama de répondre positivement aux mandats de comparution lancés par le parquet général malgré la levée de son immunité, peut-on lire dans cette déclaration.

Lors de l'audience de ce mardi 3 août 2019 au Tribunal de commerce/Gombe relative à l'affaire sur la coupure des services Internet et SMS opposant les 4 société de télécommunications oeuvrant en RDC et l'union des consommateurs, la partie défenderesse, Airtel Congo, a demandé au Tribunal de renvoyer l'affaire à une audience prochaine.  L'avocat de cette entreprise de téléphonie a justifié sa position par le fait que la République, à qui une assignation pour intervention forcée a été émise, n'a pas comparu. 

Ardent Kabambi a été transféré ce mercredi au parquet de la Gombe, selon ses avocats. Interpellé à l'aéroport de N'djili par les services de sécurité depuis le samedi passé alors qu'il revenait de la Belgique, les motifs de son interpellation /arrestation ne sont pas encore connues.  Mais selon plusieurs sources,  la vidéo faite avec Boketshu,  un congolais de la diaspora connu pour ses critiques virulentes contre le pouvoir, serait à la base de son infortune. Plusieurs activistes des droits humains appellent à sa libération.

L'ancien ministre de la Santé le docteur Oly Ilunga a été auditionné ce mardi 27 août 2019 par la Police Judiciaire à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo.  Selon certains de ses proches qui ont confirmé l'information à 7SUR7.CD, il aurait été entendu au sujet de la gestion de fonds alloués dans le cadre de la lutte contre le virus Ebola qui sévit depuis un peu plus d'une année dans la partie Est de la RDC. Interrogé à ce sujet par notre rédaction, un des anciens membres de son cabinet ne s'est pas montré loquace sur cette affaire.

La Cour militaire de Kinshasa Gombe a ouvert, ce mardi 27 août, le procès en appel de l'affaire opposant le ministère public aux 36 prévenus présumés miliciens du mouvement Kamwina Nsapu. Deux accusés seulement sur les trente six se sont déclarés absents au cours de cette instruction introductive pour des raisons de maladie. Après identification des prévenus, il appartenait à la Cour militaire de la Gombe de procéder par  la vérification de sa  saisine.

Dans une lettre ouverte envoyée samedi à 7SUR7.CD, Me Jean Claude Muyambo, bâtonnier honoraire, a réagi au droit de réponse des avocats de Pascal Beveragi, publié le 23 août dans notre média. En toile de fond, le différend qui oppose Moïse Katumbi Chapwe à Pascal Beveragi,  au sujet de la transaction de MCK Trucks. (Ci-dessous la lettre ouverte de JC Muyambo) Kinshasa, 24 août, 2019.

L'ancien ministre provincial en charge des finances de la province de Kinshasa Guy Matondo a été  transféré vendredi 23 août dernier à la prison centrale de Makala, plus grand centre pénitentiaire de la capitale situé dans la commune de Selembao. La nouvelle a été  confirmée par la Police et l’Assemblée provinciale de la ville de Kinshasa.

Le procès des présumés auteurs des atrocités commises en territoire de Djugu parmi lesquelles des massacres, des viols et incendies des maisons depuis le mois de décembre 2017 jusqu'à ce jour, a repris lundi 20 août 2019 à la tribune officielle de la ville de Bunia en province de l'Ituri. 

Le procès des présumés auteurs des atrocités commises en territoire de Djugu parmi lesquelles des massacres, des viols et incendies des maisons depuis le mois de décembre 2017 jusqu'à ce jour, a repris lundi 20 août 2019 à la tribune officielle de la ville de Bunia en province de l'Ituri.