Politique

Le Mouvement social pour le renouveau (MSR)- Fédération de Kinshasa a indiqué, dimanche 27 septembre, que la Majorité présidentielle (MP) a exagérément personnalisé les questions de l’Etat. Le MSR/Fédération de Kinshasa a fait cette déclaration à l’issue d’une série de 3 réunions élargies aux sous-fédérations de la capitale congolaise, sections et ligues. Il a été observé que le simple fait de penser librement devient un crime et s’exprimer verbalement ou par écrit est assimilé à une faute lourde. Selon ce parti, la MP a choisi la voie facile, celle d’exclure ceux qui apportent la différenc
A l’issue d’un examen minutieux mené par des spécialistes de divers milieux, lors du premier forum national d’innovation, les différentes interventions ont reconnu la priorité de redorer l’image de la RDC.
Un coup de balai de Joseph Kabila pourrait éventuellement éjecter ces responsables de leurs postes dans les entreprises d’Etat Le sort de certains mandataires qui occupent des postes de responsabilité à la tête des entreprises du Portefeuille de l’Etat congolais inquiète plus d’une personne. Cette inquiétude se fait sentir après le remaniement du gouvernement de la République effectué le week-end par le chef de l’Etat Joseph Kabila. De ce remaniement partiel de l’exécutif national, l’opinion a constaté que tous les membres du gouvernement qui s’étaient désolidarisés des leaders de leurs par
Saluant l’élévation de Mme Adèle Degbalase au rang de ministre des Affaires Sociales et Action Humanitaire Le Gouvernement Matata Ponyo III affiche à nouveau complet.
Désormais sans famille politique, les ministres Bienvenu Liyota de l’Environnement, Kabue de l’Agriculture et Bijou Kat de la Femme, Famille et de l’Enfant, virés de leurs postes malgré leur désaveu aux leaders du G7 Comme il fallait s’y attendre, le gouvernement Matata II a subi un coup de balai vendredi 25 septembre 2015 peu avant minuit, 10 jours seulement après l’exclusion des membres du G7 de la Majorité présidentielle et leur démission de l’exécutif central. Si les ministres de la Fonction Publique Jean-Claude Kibala et des Sports Sama Lukondo avaient manifesté leur loyauté à leurs lea
La crise que traverse la majorité présidentielle vient de faire émerger deux nouveaux acteurs sur la scène politique congolaise : le G7 et Moïse. La lettre de sept membres de la majorité présidentielle (MP), demandant au président Joseph Kabila de respecter la Constitution en quittant le pouvoir en 2016 a créé un véritable séisme politique en République démocratique du Congo – voir notre article.
Le président Kabila a procédé, vendredi 25 septembre tard dans la nuit, à un «réaménagement technique» du gouvernement Matata II. Il consiste essentiellement au remplacement des membres des partis du G7, exclus récemment de la Majorité présidentielle (MP).
Piégé par le rusé opposant, le Premier ministre a ouvert un chapitre inédit dans l’usage des réseaux sociaux en y traitant une affaire d’Etat : la proposition de loi sur le référendum. Un intervenant est allé jusqu’à l’accuser d’amateurisme. Vital Kamerhe ne laisse rien au hasard. Dans son laboratoire, il a minutieusement préparé un piège contre le Premier ministre Matata Ponyo. Apparemment, l’opposant et ses stratèges avaient identifié une faiblesse psychologique majeure chez le chef du gouvernement : l’hypersensibilité.
Chaque jour qui passe le fossé politique devient de plus en plus profond entre le gouverneur du Katanga Moïse Katumbi et le président de la République Joseph Kabila. Profond à tel point qu’il sera difficile de le combler. Comme vous le savez, Joseph Kabila vient à peine de nommer de nouveaux ministres dans le gouvernement Matata III. Conséquence logique après l’exclusion du G7 de sa famille politique (Majorité présidentielle, MP). Il se fait que Katumbi n’est pas d’accord avec son choix. Particulièrement celui du ministre de la Jeunesse, Sports et Loisirs, Denis Kambayi Tshibumbu.
*Je considère que c’est un devoir moral de dire respectueusement et librement au Chef de l’Etat ce que des millions de Congolais pensent et disent tout bas, même autour de lui. *Je ne serai pas dans le camp des flatteurs et thuriféraires qui tournent leur casaque par la suite. Depuis la publication de la lettre du G7 adressée au Président de la République, le microcosme politique congolaise traverse une période de fortes turbulences. Dans les états-majors des partis et regroupements politiques, c’est le temps des reniements ou des soutiens inconditionnels aux autorités morales, ainsi que des