Au mois d'août 2015, Télé Tshangu a organisé un sondage sur la présidentielle de 2016 en République démocratique du Congo (RDC). A la question de « savoir quel est votre favori pour succéder à Joseph Kabila le 20 décembre 2016? », le sondage donne les résultats ci-après :
Quelque 5566 visiteurs de Télé Tshangu ont participé au sondage dont 87% localisés dans la diaspora et 13% en RDC.
Politique
Là où ils avaient renié les leaders de leurs partis pour garder leurs postes, le Raïs en a décidé autrement.
Les ministres hostiles à la démission dans la rue ! Ils étaient pourtant sûrs qu’en reniant les leaders de leurs formations politiques, ils avaient suffisamment de chances pour conserver les postes occupés au Gouvernement. Mais, au bout du compte, personne d’entre eux n’a pu profiter de la loyauté déclarée à l’Autorité morale de la Majorité présidentielle.
Apparemment, avant que les deux chambres du Parlement ne passent à la vitesse supérieure dans l’examen de la session budgétaire, l’heure est à la nomination à de différents postes politiques. C’est de la sorte qu’après le réaménagement technique du Gouvernement, on parle déjà des commissaires spéciaux du Gouvernement dans les vingt-une nouvelles provinces de la RDC. Les tractations, indiquent des sources, se déroulent déjà dans les états-majors des partis politiques.
Même les ministres-G7 qui ont craché sur leurs partis politiques en affirmant leur loyauté indéfectible à l’Autorité morale de la MP sont remerciés. Une leçon de fidélité.
C’est le vendredi dernier que Joseph Kabila a procédé au réaménagement technique du gouvernement Matata II intervenu après l’exclusion du groupe " G7 " de la MP.
C’est grâce à la proposition de loi de cet élu de Mbandaka que la RDC dispose à ce jour d’une Institution appelée " Conseil économique et social ".
Après l’exclusion de la MP des membres du " G-7 ", trois postes sont libérés et mis en jeu au Bureau de la Chambre basse du Parlement. Il s’agit de 1er Vice-Président, Rapporteur et Questeur-adjoint. Ça bouge de partout dans les couloirs du Palais du Peuple où on sent déjà l’ambiance de la campagne électorale.
La Fédération de Kinshasa du Mouvement social pour le renouveau, (MSR), a, dans une déclaration politique datée 27 septembre, signée par la députée Jolie Kenda, Secrétaire exécutive fédérale du parti, déploré le fait que "la Majorité présidentielle dont faisait partie le MSR a exagérément personnalisé les questions d’Etat.
Pour sa part, Lambert Mende invite les participants à s’approprier les résolutions.
Pendant deux jours, soit du jeudi au vendredi dernier, intellectuels, universitaires, acteurs des médias, leaders d’opinions et membres de la société civile se sont retrouvés au Kempiski Fleuve Congo hôtel, afin de réfléchir sur la nouvelle image de la RDC. C’était au cours du Forum de l’innovation de Kinshasa initié par le ministre de la Communication et médias, Lambert Mende Omalanga.
La société civile de Beni s'inquiète de la dégradation de la situation sécuritaire dans ce territoire du Nord-Kivu. Son président, Teddy Kataliko, a indiqué, dimanche 27 septembre, que sa structure a documenté vingt-sept cas de tueries, une vingtaine d'enlèvements et plus de six attaques meurtrières contre les Forces armées de la RDC au cours de ce mois de septembre.
« La population est en train de vivre les moments les plus difficiles à Beni où nous faisons un bilan sur base de monitoring que nous avons eu à faire pour le mois de septembre.
Le gouverneur du Maniema, Pascal Tutu Salumu, a organisé samedi 26 septembre à Kindu une marche de soutien au président de la République dont la famille politique fait face à une fronde menée par sept partis qui lui ont adressé une lettre, lui demandant de respecter la constitution pour les prochaines élections.
(KINSHASA)- La toile s’enflamme depuis que circule la lettre du premier ministre, Augustin Matata Ponyo demandant au vice-premier ministre de l’Intérieur, Evariste Boshab, de faire des observations sur la proposition de loi portant organisation du référendum en République Démocratique du Congo lui transmise par l’assemblée nationale. C’est la provocation, a indiqué l’opposant Martin Fayulu. Dans tous les cas, Matata se défend et parle d’une obligation légale qui voudrait que quand un parlementaire initie une proposition de loi que le gouvernement soit appelé à enrichir le texte.