Société

l’Alliance nationale des autorités traditionnelles du Congo (Juin 2012) Le président de l’Alliance nationale des autorités traditionnelles du Congo (ANATC), Mwami Mwenda Bantu Munongo Godefroid, a démis et exclu définitivement de cette alliance Mfumu Difima Bols, secrétaire général de l’ANATC. Il lui est reproché sa mauvaise «gestion administrative, financière et relationnelle. » Cette décision, communiquée au ministre d’Etat en charge de la Décentralisation et Affaires coutumières vendredi 10 avril, est cependant contestée par le concerné, qui dénonce «un coup d’Etat manqué.»

(KINSHASA)- Monseigneur Eugène Moke a été mis en terre vendredi au sein de l’Eglise saint Joseph de Matonge. Une messe en sa mémoire a été dite au stade Tata Raphaël par le cardinal Laurent Mosengwo Pasinya. Plusieurs fidèles ont fait le déplacement pour saluer l'êveque qu’on qualifiait de ‘‘serviteur de la communauté et le model des jeunes’’. Avant le stade, des hommages lui ont été rendus à la cathédrale notre dame du Congo. Des témoignages poignants ont été entendus. L’émotion était forte et les personnalités politiques de premier sont passées déposer leurs gerbes de fleur.

Mpekeyabo poursuit Mme Puati pour occupation illégale de sa parcelle (immeuble) et sollicite le déguerpisse- ment forcé de celle-ci, ainsi que l’annulation de la vente de ladite parcelle. Il estime être l’unique propriétaire de l’immeuble querellé conformément aux documents en sa possession et au jugement du 22 novembre 2013, validant la première vente, celte conclue entre lui et Mme Mwika (sa vendeuse), dans l’affaire ayant opposé cette dernière à Jean Tshikuna et son fils, propriétaire de la parcelle avant la vente.

Des partis d'opposition ont décrété à partir de vendredi trois jours de deuil national en République Démocratique du Congo (RDC), près d'une semaine après la découverte d'une fosse commune contenant 421 corps. Selon Kinshasa, il s'agit de corps abandonnés dans les morgues de la capitale. Mais pour l'opposition, ce sont plutôt des corps de victimes de la répression des manifestations de janvier dernier.

Encore et toujours lui, ce sacré Franck Diongo. Alors que l’opinion interne comme externe se battent bec et ongle pour clarifier cette nébuleuse affaire de la fosse commune de Maluku, l’opposant Diongo étale son enquête là où le pouvoir tente de brouiller les pistes. Dans ses investigations, l’opposant s’oppose catégoriquement aux documents que brandissent Boshab, Mende et Kimbuta sur l’inhumation de 421 Rd-Congolais au cimetière

Le secteur agricole reste un domaine qui continue à attirer nombre d’investisseurs. Ainsi, hier jeudi le 9 avril, le ministre de l’Agriculture, Pêche et Elevage, Isidore Kabwe Mwehu a eu une série d’entretiens avec respectivement le Directeur général d’ « African Milling » Compagny Congo, M. Rahim Dhrolia et le Directeur Pays du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) Priya Gajraj.

Plus de 500 enseignants des écoles de six territoires du Maniema réclament leur salaire du mois de mars dernier auprès de l’ONG catholique Caritas Congo. Ils sont partis des territoires de Kabambare, Kaïlo, Kasongo, Kibombo, Pangi et Punia, vers Kindu, chef-lieu du Maniema, pour attendre leurs salaires et redoutent que cette situation n’ait des répercussions sur le calendrier scolaire en cours.

Sans surprise, je me rends compte aujourd’hui que les trois jours décisifs des 19, 20, et 2l janvier 2015, qui ont changé le cours de l’Histoire de notre pays, n’ont pas encore fini de livrer leur secret. En effet, les dernières nouvelles de Kinshasa indiquent que les 42 victimes recensées à l’époque n’auraient été que le sommet de l’iceberg : le carnage semble avoir été, en effet, plus étendu et impitoyable que je ne le pensais et pouvais l’imaginer.

Le dossier de la « fosse commune de Maluku », au cimetière Fula-Fula, s’est invité à la conférence de presse hebdomadaire de la Mission des Nations-Unies pour la stabilisation de la RDC (Monusco) tenue hier mercredi 8 avril 2015 en son Quartier général de la Gombe. De nombreuses interrogations ont été soulevées par les participants sur les contours de cette affaire qui n’a pas encore livré tous ses secrets. « Nous allons accompagner cette mission d’enquête pour voir clair sur les circonstances qui entourent ce dossier... », a promis Charles Bambara, porte-parole de la Mission.

A cause de la faible pression dans la desserte de l’eau potable, celle-ci ne se signale dans certains robinets de la cité de Mikondo, dans la commune de Kimbanseke, qu’à des heures indues de là nuit. Par conséquent, de nombreuses ménagères et filles sont obligées d’interrompre chaque jour leur sommeil pour chercher, avec leurs bidons et bassins, les rares parcelles où s’échappe le précieux liquide.