Après plus d’une année, le rapport sur la controversée opération Likofi est enfin disponible. Il ne reste plus qu'a le rendre public. Ce rapport très attendu est sur la table d’Evariste Boshab, le vice-premier ministre en charge de l’intérieur et de la sécurité. C’est le chef de la délégation, Vincent Dowd, qui, hier jeudi 9 avril au siège du commissariat général de la Police nationale congolaise (PNC), a donné l’information en marge d’une nouvelle opération d’identification des policiers.
Sécurité
Pour le porte-parole du Gouvernement, " cette affaire est instrumentalisée au point de pousser certains Congolais de la diaspora à entreprendre des actions malveillantes, telle cette agression avec des casses
en règle dont notre représentation diplomatique à Paris a été victime mercredi dernier ".
* Par ailleurs, « les 421 corps enterrés à Maluku n’ont rien à voir avec les événements des 19 et 21 janvier », insiste le ministre des Médias et de la communication.
57 personnes non identifiées, 30 personnes indigentes identifiées, 300 mort-nés, 26 corps abandonnés à l’hôpital Saint Joseph et 12 p
Une milice sème la terreur dans le territoire d’Irumu en Province orientale. Il s’agit de la Force de résistance patriotique de l’Ituri (FRPI). Les miliciens de cette milice sont responsables de plusieurs exactions commises sur la population civile au sud d’Irumu.
L’opération d’identification biométrique des policiers se poursuit sur toute l’étendue de la RDC avec la collectes des données des policiers retardataires et de remise des cartes de service pour ceux qui sont en ordre. Le lancement de cette deuxième phase a été donné jeudi 9 avril à Kinshasa.
Les exactions des miliciens de la Force de résistance patriotique de l’Ituri (FRPI) contre la population civile s’amplifient au sud du territoire d’Irumu (Province Orientale). Des cas de viol, des meurtres, des pillages commis par ces hommes armés sont enregistrés chaque semaine à travers plusieurs villages, ont indiqué mercredi 8 avril de nombreux habitants de cette contrée.
« C’est avec la plus grande fermeté que je condamne les cinq récentes attaques, perpétrées durant le seul mois de mars, contre des sites abritant des personnes déplacées dans le territoire d’Irumu, en Province Orientale. Durant ces attaques, des bandes armées ont commis de violations graves des droits humains et du droit humanitaire.
Les sites de personnes déplacées sont des lieux protégés par le Droit international humanitaire, et, par conséquent, ne peuvent pas être la cible d’acte belliqueux.
La RDC a encore un long chemin à parcourir pour devenir réellement un pays démocratique.
Le colonel Bawili, commandant du 83ème sous-secteur, un lieutenant-colonel chargé des opérations et un capitaine des transmissions tombés dans une embuscade dans le parc des Virunga.
Les Fardc sont à nouveau en deuil après la mort de Mamadou Ndala et Jean-Lucien Bahuma. Trois officiers parmi lesquels deux officiers supérieurs, un colonel et un lieutenant-colonel ainsi qu’un capitaine, donc un officier subalterne ont péri dans une embuscade tendue par un groupe d’assaillants lourdement armés lundi dernier a confirmé hier Radio Okapi.
Depuis le 18 mars, les mesures pour la délivrance de visas permettant d’entrer en République démocratique du Congo (RDC) ont été renforcées. Selon les informations disponibles, le ministère des Affaires étrangères exige désormais de ses ambassades de communiquer l’ensemble du dossier au ministère pour qu’il soit visé par la Direction générale de Migration (DGM) et l’Agence nationale de renseignement (ANR) avant d’autoriser la délivrance du visa.
L’arrêté n°230/018/BUR/CDD/TSH/2014 portant fixation des limites administratives entre les villages Loomo du groupement Mpombi (secteur de Bolua, Territoire de Boende) et celui de Esange du groupement Baseketulu (secteur de Luando, Territoire de Bokungu), pris en date du 27 décembre 2014 par le Commissaire de District de la Tshuapa, Fabien Nyingba Mbole, suscite une vive tension entre les deux communautés.
Ledit arrêté stipule en son article 1er (nœud du conflit) que la limite territoriale entre les deux groupements dont il est question reste le ruisseau Fafali.