Politique

Le porte-parole de la Monusco, Félix Basse salue la détermination des Forces armées de la RDC (FARDC) dans la traque contre les rebelles des FDLR dans le Nord et Sud-Kivu. Il l’a dit au cours de la conférence de presse hebdomadaire de l’Onu du mercredi 5 août, à Kinshasa. Interrogé sur le bilan des rebelles FDLR encore actifs sur le sol congolais, Félix Basse s’est réservé de commenter les chiffres de 390 avancés par le gouvernement : «Je ne vais pas entrer d’abord dans une guéguerre des chiffres. Les statistiques, il faut les manipuler avec des précautions.
L’opposition nationaliste plaide pour la tenue d’un dialogue sous la médiation congolaise.
La gestion du patrimoine hérité de l’ex Kasaï-Oriental divise l’Assemblée provinciale et la société civile locale, dans la province de la Lomami. Cette province est l’une de trois issues de l’ancienne province du Kasaï-Oriental. Le vice-président de la société civile de la Lomami, Eric Ndjibu, a soutenu, mercredi 5 août, que le charroi automobile de la province doit être par le service de Travaux publics (TP), à la demande de la Commission chargée du démembrement. «Le document de la commission de démembrement dit, ’les charrois automobiles doivent être gérés par le service des TP ’’.
Après plus de trente ans d'aventures scéniques, le charismatique leader du groupe kinois Jupiter and Okwess International revient sur sa carrière. Et évoque l'avenir de la RD Congo et du rôle qu'il entend y jouer. Les écouteurs enfoncés dans les oreilles, la guitare à la main : avec Jupiter, la musique n’est jamais bien loin. Celui que l’état civil congolais a vu naître en 1963 sous le nom de Jean-Pierre Bokondji sillonne avec ses musiciens les scènes européennes aux côtés du mythique groupe de brit-pop Blur.
En République démocratique du Congo, le Sénat est à nouveau convoqué pour une nouvelle session extraordinaire le 10 août. A l'ordre du jour, l'examen et l'adoption du projet de loi sur la répartition des sièges pour les élections locales et provinciales. Un sujet sensible et un rendez-vous controversé. Une première session extraordinaire s'est déjà conclue dimanche sans que le projet de loi soit adopté. Et convoquer une deuxième session extraordinaire est une violation de la Constitution, dénonce l'opposition. Cette nouvelle session extraordinaire du Sénat est controversée en RDC.
Le professeur Freddy Matungulu Mbuyamu Ilankir, Mwalimu, Initiateur de Congo Na Biso qui a pris une retraite anticipée au Fonds monétaire international (Fmi) le 23 février 2015 pour apporter sa « contribution au débat sur les enjeux politiques de l’heure » en RD Congo, affirme qu’il n’a « rien à avoir avec le nouvel ambassadeur de M. Kabila en Russie », du nom de Matungulu Mwat’a Nfun.
Parmi les recommandations La « Masculinité positive » est un nouveau concept en implémentation en RD Congo.
C’est fait. La nouvelle session extraordinaire du Sénat est fixée au lundi 10 août. Les membres de la chambre haute du parlement ont été instruits de prendre toutes les dispositions en vue de se retrouver lundi au Palais du peuple. Une vive polémique a éclaté autour de cette instruction dans plusieurs salons huppés de la capitale. Certains s’interrogent sur la constitutionnalité de la nouvelle session extraordinaire.
Pendant ce temps,Martin Köbler s’imprègne du processus en cours Le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations-Unies et patron de la Mission des Nations Unies pour la Stabilisation du Congo (MONUSCO), Martin Köbler, s’est entretenu, le lundi 3 août dernier, avec les autorités de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) autour de l’évolution du processus électoral dans le pays. Levice-président de la CENI, André Mpungwe, entouré des autres membres du bureau ainsi que du secrétaire exécutif national de cette institution d’appui à la démocratie, et le patron de la MONUS
Plus d’un Congolais se pose la question de savoir pourquoi tant d’agitation autour de la loi sur répartition des sièges par circonscription électorale? Pour le simple fait que la loi portant répartition des sièges par circonscription pour les élections municipales et locales a été simplement rejetée à la chambre haute du Parlement. 60 sénateurs sur 108 membres que compte le sénat avaient pris part au vote du vendredi 31 juillet 2015.