Justice

Amnesty International a lancé lundi 30 mars une campagne en faveur de la libération de jeunes activistes congolais détenus au secret, selon elle, depuis 15 jours à Kinshasa.
L'ONG de défense des droits de l'Homme Amnesty International a lancé lundi une campagne en faveur de la libération de jeunes défenseurs congolais des droits humains qui sont détenus au secret depuis quinze jours en République démocratique du Congo (RDC). Ces militants ont été arrêtés le 15 mars à Kinshasa, lorsque les forces de sécurité congolaises ont pris d'assaut une conférence de presse sur l'engagement civique des jeunes dans les processus politiques en période pré-électorale, interpellant les participants. "La campagne permettra aux membres d'Amnesty International et au grand public d'e
La semaine qui vient de s’achever a connu plusieurs débats d’actualité judiciaire qui a laissé les auditeurs et autres lecteurs dans la soif du savoir. Si ce débat a trouvé ses origines dans le dossier dit de Wivine Moleka contre Vital Kamerhe, les différentes déclarations et autres conférences de presse du collectif des avocats du président Kamerhe, l’occasion a été ainsi offerte aux penseurs de divers horizons, de se regarder et de se poser la question de savoir qui avait raison ou tort dans ce qui se disait. Dans ce débat des praticiens de droit, au-delà de tout sentiment émotif et partis
La mission d’informations mise sur pied à l’Assemblée nationale pour informer la chambre basse du Parlement sur le dossier des activistes congolais arrêtés le 15 mars dernier à Kinshasa commence son travail ce lundi 30 mars. Elle est chargée de recueillir toutes les informations relatives à cette affaire pour les transmettre à la plénière de l’Assemblée nationale. Quinze députés désignés par leurs groupes parlementaires prennent part à cette mission.
(RFI) « La République démocratique du Congo est un Etat de droit », a affirmé sur notre antenne le président de l'Assemblée nationale Aubin Minaku, en réponse aux critiques de la société civile, de l'opposition et de la communauté internationale après l'arrestation de jeunes militants de la société civile. C'était il y a dix jours, leurs familles et leurs avocats disent toujours ne pas avoir accès à eux, même si c'est un droit garanti par la Constitution congolaise.
Comme il fallait s’y attendre le conseil de sécurité des nations-unies vient d’adopter la résolution 2211 qui prolonge d’une année encore le mandat de la Mission d’observation des Nations-Unies pour la stabilisation du Congo (Monusco). La résolution a été adoptée le jeudi 26 mars 2015 à New-York. Cette résolution prouve encore que la souveraineté de la RD-Congo invoquée maintes fois par les autorités rd-congolaises est une vue de l’esprit. Si ça ne dépendait que des autorités actuelles de la RDC, la Monusco serait déjà partie depuis longtemps.
La Fédération internationale des ligues des droits de l'Homme (Fidh) appelle le Conseil de sécurité à « repenser la stratégie de la mission de l’ONU en RDC en amont d’échéances électorales cruciales ». « Au regard des défis d’ordre sécuritaire et relatifs au processus de démocratisation et d’établissement d’un état de droit, le Conseil de sécurité doit repenser la stratégie de la mission de l’ONU en RDC en amont d’échéances électorales cruciales », déclare Paul Nsapu Mukulu, Secrétaire général de la Fidh et coordinateur de la Ligue des électeurs, dans un communiqué parvenu jeudi 26 mars 2015
Abdoul Aziz Thioye, directeur du Bureau Conjoint des Nations-Unies pour les Droits de l’Homme(BCNDH) a révélé, le mercredi 25 mars 2015, que ses collaborateurs n’ont pas toujours eu physiquement accès aux militants pro-démocratie congolais aux arrêts dans les locaux de l’Agence nationale de renseignement( ANR) à Kinshasa depuis plus de 10 jours.
La Majorité présidentielle populaire (MPP) demande à la communauté internationale - en réaction à l’arrestation à Kinshasa des leaders sénégalais, burkinabè et congolais des mouvements citoyens pro-démocratie - d’exiger au président de la RD Congo et à son gouvernement de respecter les prescrits de la Constitution en matières de libertés d’expression, d’association et des réunions. « L’arrestation arbitraire de ces figures célèbres des associations citoyennes illustre un comportement très préjudiciable à l’image de la République démocratique du Congo (RDC) », souligne le chargé des Rela
Accusé faussement de viol sur mineure, le comédien Fiston Mavinga Saï Saï a été acquitté par le tribunal de grande instance de Kinshasa-Gombe, vendredi 20 mars dernier, faute de preuves. Ce, au regard des incohérences qui ont émaillé le récit des faits présenté par la présumée victime. Mais cette affaire, sur le plan de l’éducation, est une véritable leçon pour les Kinois et autres expatriés qui se complaisent à abuser de jeunes filles de moins de 18 ans, surtout celles issues des familles pauvres. Car le comédien pouvait aussi être condamné si les avocats de la partie adverse et la présumé

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