Sécurité

Dans une déclaration faite ce mercredi 02 février 2022 dont la copie est parvenue à 7SUR7.CD, le caucus des parlementaires de l'Ituri dit être effondré par les massacres d'au moins 50 personnes dans le territoire de Djugu, précisément dans le camp des déplacés de Bule. De ce fait, ces élus nationaux exigent au Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde, de se rendre immédiatement dans cette partie du pays pour donner une réponse exhaustive à la population victime dudit massacre.

La coordination de la société civile de l'Ituri a décrété 3 jours de deuil en mémoire de plus de 50 civils tués dans la nuit du mardi 01 à ce mercredi 02 février, par des miliciens CODECO (Coopérative pour le Développement du Congo) dans le site des déplacés « Plaine Savo » se trouvant dans la chefferie de Bahema Badjere en territoire de Djugu.

Le maire de la ville de Mbuji-Mayi (Kasaï-Oriental) appelle les habitants à la vigilance après la résurgence du phénomène kidnapping dans la région. Dans une interview à 7SUR7.CD le mardi 01 février 2022, il révèle que les ravisseurs sont en train de conditionner la libération des otages par la paie des grandes sommes d’argent en termes de rançons. 

Des miliciens de la Coopérative pour le Développement du Congo "CODECO" ont tué 56 personnes dans le site des déplacés de "Plaine Savo" dans le groupement Ngle en chefferie de Bahema Badjere, territoire de Djugu(Ituri), dans la nuit du mardi 01 à ce mercredi 02 février 2022. A en croire le chef de ladite chefferie qui a livré la nouvelle à 7SUR7.CD, les victimes ont été tuées à coup de machette et par balles.

Les éléments de l'armée ougandaise (UPDF) ont foulé le sol de la province de l'Ituri, précisément de la localité Burasi dans le groupement portant le même nom dans la chefferie de Bahema Mitego, depuis le samedi 29 janvier 2022. L'annonce a été faite à 7SUR7.CD par le porte-parole des opérations militaires en Ituri ce mardi 01 février.

Les Forces Armées de la République démocratique du Congo (FARDC) annoncent avoir repris le contrôle du territoire de Mitwaba, un jour après l'incursion des miliciens Maï-Maï Bakata Katanga dans cette entité située à 450 kilomètres de Lubumbashi (Haut-Katanga). C'est le commandant de la deuxième zone de défense des FARDC qui l'a annoncé dans un communiqué publié ce lundi 31 janvier 2022 et dont une copie est parvenue à 7SUR7.CD.

Le dispositif des militaires des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) a été renforcé dans le territoire de Mitwaba situé à 450 kilomètres de la ville de Lubumbashi (Haut-Katanga), un jour après l'incursion des miliciens Maï-Maï Bakata Katanga dans cette partie du pays. L'information est confirmée à 7SUR7.CD ce dimanche 30 janvier 2022, par un des porte-paroles de la deuxième zone de défense des Forces armées de la RDC qui a requis l'anonymat.

Des miliciens de la Coopérative pour le Développement du Congo "CODECO" ont fait incursion au village Alagi du groupement Dhengo en chefferie de Mambisa dans le territoire de Djugu (Ituri), vers 4h du matin de ce samedi 29 janvier 2022. Joint au téléphone, le chef de ladite chefferie dresse le bilan de 6 personnes tuées, 3 autres blessées, plusieurs maisons incendiées et des biens de la population pillés.

Plus de 85 miliciens Maï-Maï Bakata Katanga se sont rendus aux autorités militaires du territoire de Mitwaba dans la province du Haut-Katanga, ce samedi 29 janvier 2022. La société civile qui livre la nouvelle à 7SUR7.CD indique que ces Maï-Maï sont arrivés ce samedi matin avec leurs armes à feu et blanche en scandant des chansons.  Constitués des jeunes, hommes et femmes, ces miliciens sont sortis du village Mazombwe près de Kopopotshi, l'endroit où leur leader, Gédéon Kyungu Mutanga s'était rendu à la MONUSCO en 2005, rapporte la société civile.

Deux personnes dont une femme d'une trentaine d'années ont été tuées par des inconnus armés au quartier Luwowoshi dans la commune Annexe, à Lubumbashi (Haut-Katanga), la nuit du jeudi au vendredi 28 janvier 2022. D'après plusieurs témoins interrogés par 7SUR7.CD, le drame s'est produit précisément sur l'avenue Forrest où des présumés bandits ont, après leur forfait, emporté plusieurs biens de valeur des habitants de ce coin.