Sécurité

L’Inspection générale des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) a convoqué 41 hauts gradés de l’armée et de la police dans le cadre d’une mission d’enquête visant à faire la lumière sur les revers militaires subis dans l’Est du pays depuis la chute de Bunagana en 2022.Selon un document officiel consulté par 7SUR7.CD ce mercredi 20 août, ces officiers sont auditionnés par l’Inspection générale des FARDC.

Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) accusent, ce mardi 19 août 2025, à Kinshasa, la coalition armée AFC/M23 de multiplier les attaques contre ses positions dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.

Dans un communiqué rendu public, lundi 18 août 2025, la MONUSCO condamne, « avec la plus grande fermeté », les attaques perpétrées par le groupe armé Forces démocratiques alliées (ADF) entre le 9 et le 16 août 2025 dans plusieurs localités des territoires de Beni et Lubero, dans la province du Nord-Kivu.D’après ce communiqué, ces attaques ont coûté la vie à au moins 52 civils, dont huit femmes et deux enfants, y compris une fillette. Ce bilan tragique pourrait s'alourdir. 

Au total, 7 présumés bandits ont été arrêtés par la Police nationale congolaise (PNC), commissariat provincial du Haut-Katanga, dont un repris de justice, au cours d’une opération de sécurisation menée à Lubumbashi.Ces présumés criminels sont accusés de divers faits criminels notamment l’extorsion et le vol à main armée dans le quartier Mampala, aux abords du marché Mimbulu, dans la commune de Lubumbashi. D’autres seraient impliqués dans des actes d’association des malfaiteurs dans la commune de Kampemba.

Par la voix du porte-parole des opérations Sokola 1 Grand-Nord et Front-Nord, le lieutenant Marc Elongo Kyondwa, les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) condamnent le massacre de neuf civils, attribué aux terroristes ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF), survenu dans la nuit du samedi 16 au dimanche 17 août 2025, au quartier Mbimba à Oïcha, une localité située dans le territoire de Beni, au Nord-Kivu.Selon cet officier de l'armée loyaliste, cité par l'Agence congolaise de presse (ACP), l'attaque des ADF/NALU, affiliés au groupe État islamique, n

Suite aux récents massacres de plus de 60 civils par les rebelles des Forces démocratiques alliées (ADF) dans les territoires de Beni et Lubero, l'armée congolaise a exprimé sa détermination à protéger la population, en éradiquant ces assaillants. Le dimanche 17 août 2025, le porte-parole des opérations Sokola 1 Grand Nord et Front Nord, le lieutenant Elongo Marc, a adressé un message à la presse, clarifiant la position des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC).

Quatre (4) personnes ont péri dans une nouvelle attaque sanglante attribuée aux rebelles d'Allied democratic forces (ADF) aux environs de 19 heures du vendredi 15 août 2025 au village Bukima, dans la chefferie de Banyali Tchabi, au Sud du territoire d'Irumu en province de l'Ituri.Dans une dépêche parvenue à 7SUR7.CD ce samedi 16 août 2025, Mboma Babanilau Faustin, président provincial de la communauté Kundana, souligne que lors de l'attaque, plusieurs maisons d'habitation ont été incendiées et des personnes portées disparues.

Plus de 40 civils ont été tués lors d'une double attaque menée par les rebelles des Forces démocratiques alliées (ADF) dans le secteur de Bapere, dans le territoire de Lubero (Nord-Kivu). Les faits se sont déroulés entre le 13 et le 14 août 2025. Le chef du secteur et la société civile locale ont confirmé ce bilan lors d'un entretien téléphonique avec 7SUR7.CD ce samedi 16 août.

Le chef de la chefferie de Bwito révèle plus de 30 personnes auraient été tuées en seulement deux semaines dans le groupement de Mutanda, situé dans le territoire de Rutshuru (Nord-Kivu). Dans une dépêche relayée ce samedi 16 août 2025 à 7SUR7.CD, l'autorité locale accuse les rebelles de l'AFC/M23 d'être responsables de ces massacres.

Les États-Unis d'Amérique ont condamné, ce vendredi 15 août 2025, la reprise des combats dans l'Est de la République démocratique du Congo entre les rebelles de l'AFC-M23 et les FARDC. Ils ont prononcé cette nouvelle condamnation dans un message posté sur X.Massad Boulos, conseiller spécial du président américain Donald Trump pour l'Afrique, a appelé toutes les parties à respecter le cessez-le-feu.