Sécurité

En ville de Kisangani, chef-lieu de la province de la Tshopo,  33 rebelles du M23/AFC qui se sont rendus et 7 autres capturés par les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), ont été présentés à la presse,  le mercredi 15 octobre 2025.D'après le major Nestor Mavudisa Kamba, porte-parole de la troisième zone de défense, cette bande de rebelles est arrivée à Kisangani le 9 octobre dernier, et certains d’entre eux ont été capturés ou rendus sur différentes lignes de front où sont engagées les unités de cette zone de défense.

 Deux (2) officiers, dont l'un des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) et l'autre de la Police nationale congolaise (PNC), ont été condamnés par la Cour militaire de l'Ituri et exclus de l'armée et de la Police, dans le dossier carnage d'une quarantaine de civils, au centre de Komanda, en territoire d'Irumu.Ces condamnations ressortent du verdict de la Cour, rendu public mercredi 15 octobre 2025, à Bunia, chef-lieu de la province de l'Ituri, à l'issue du procès tenu à la tribune officielle.

Suite à un échange de tirs avec un groupe d'hommes armés à Maboya, deux policiers ont été tués et un autre blessé sur l'axe routier Beni-Butembo, dans le groupement Malio de la chefferie des Bashu, en province du Nord-Kivu, ce jeudi 16 octobre 2025.L'agglomération de Maboya a été le théâtre de l'attaque.

Le vice-premier ministre de la Défense nationale et anciens combattants, Mᵉ Guy Kabombo Muadiamvita, a, dans le cadre de la réforme et du renforcement des capacités opérationnelles des FARDC, effectué, mercredi 15 octobre 2025, une visite d’inspection au centre d’instruction militaire de Kamina, dans la province du Haut-Lomami.Poursuivant sa mission de rebâtir une armée professionnelle, républicaine et disciplinée, ce membre du gouvernement a, en cette fin d’année 2025, entamé une tournée d’inspection dans plusieurs centres d’instruction et d’entraînement, afin de s’assurer du resp

Au moins 39 civils, soupçonnés d'être issus des familles Wazalendo (partenaires des FARDC), ont été tués au cours de la semaine allant du 6 au 12 octobre dernier dans le territoire de Rutshuru (Nord-Kivu).C'est ce que rapporte un communiqué de l'armée congolaise, qui pointe de nouveau d'un doigt accusateur le M23 qui contrôle la contrée depuis 3 ans. Selon le même document signé le mardi 14 octobre, la 34e région militaire affirme que certaines victimes ont même été assassinées après avoir été ligotées. 

Sept (7) miliciens de la Convention pour la révolution populaire (CPR) de Thomas Lubanga Dylo se sont rendus volontairement aux Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) sur le littoral du lac Albert. Ils ont été présentés, le mardi 14 octobre 2025, au gouverneur militaire de la province de l'Ituri, en ville de Bunia.L'armée loyaliste souligne que cette réédition intervient après des frappes imposées dans plusieurs entités situées sur le littoral du lac Albert contre les miliciens de la CRP.

Dans un communiqué publié, dimanche 12 octobre 2025, les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) affirment que leur processus de désengagement, qu'ils ont accepté sans condition, est entravé par des interventions armées attribuées à l’armée rwandaise (RDF).Le message, adressé « à la communauté internationale, à la MONUSCO et aux autorités congolaises », insiste sur la nécessité de préserver la voie pacifique enclenchée.

Les forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) dénoncent l'incendie de plusieurs maisons d'habitation des civils par des rebelles du mouvement de 23 mars, en coalition avec l'alliance du fleuve Congo (M23-AFC), sous le soutien du Rwanda, dans les localités de Rusinga, Buuma, Kauma et Mwingiya, dans le groupement Kihondo, en territoire de Rutshuru dans la province du Nord-Kivu.Dans un communiqué de presse de la troisième zone de défense parvenu à 7SUR7.CD ce lundi 13 octobre 2025, l'armée affirme qu'outre l'incendie des maisons, des civils ont été également tués pa

Le gouvernement de la République démocratique du Congo lance de nouveau des accusations contre le groupe rebelle AFC-M23, qu’il considère comme un supplétif de l’armée rwandaise.Dans un communiqué officiel du ministère de l’Intérieur, les autorités congolaises dénoncent une série d’actes criminels perpétrés dans les zones sous contrôle de ce mouvement armé, notamment dans la province du Nord-Kivu.

L’armée congolaise a lancé, ce vendredi 10 octobre 2025, un ultimatum aux combattants des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), les appelant à déposer immédiatement les armes et à se rendre soit aux autorités nationales, soit à la MONUSCO.« Les Forces armées de la République démocratique du Congo appellent toutes les factions des FDLR à déposer les armes », déclare le communiqué signé par le général-major Ekenge Bomusa Efomi Sylvain, porte-parole de l’armée.