Culture

Ouvrant hier les 1ère journées congolaises du manuscrit à l’A.B.A.de KinshasaUne centaine de textes réceptionnés dont celui de feu Kinkela Vi Kansi Les premières journées congolaises du manuscrit ont débuté hier mercredi 25 novembre au grand atelier de sculpture et de céramique de l’Académie des Beaux-Arts de Kinshasa. Lors de la cérémonie d’ouverture, le ministre de la Culture et des Arts, Baudouin Banza Mukalay Nsungu, remarquable de ponctualité, a exprimé sa fierté de voir tous ces écrits passer du rêve à la réalité.

Dans le cadre des festivités de 40 ans d’existence du groupe « Salongo », l’artiste comédien Masumu Debrindet, son coordinateur, reste entièrement convaincu sur l’objectif poursuivi par le théâtre de chez nous, celui de « Véhiculer et revaloriser la culture congolaise en offrant à nos téléspectateurs une distraction saine et éducative, seule préoccupation… ». C’est en réaction aux tableaux désolants qu’offre quotidiennement, dans les salons kinois, la prolifération de séries et films étrangers principalement nigérians et ivoiriens.

Comme prévu, Banza Mukalay, Ministre de la Culture et des Arts, a lancé officiellement hier, mercredi 25 novembre 2015, la première édition des Journées congolaises du Manuscrit. Cette cérémonie solennelle s’est déroulée à l’Académie des Beaux Arts (ABA), avec la participation, entre autres, de sa Commission Exécutive ainsi que des Ministres de l’ESU et ETP. Et, en trois jours seulement, une centaine d’œuvres dont celles venues des provinces ont été réceptionnée.

Les liens entre littérature et journalisme dans les littératures africaines postcoloniales, sont étroits. Auteur de plusieurs ouvrages Boniface Mongo Mboussa, propose ici sa version. L’entretien est publié sur Africultures.com

Annie Biasibiasi parle de l’apport de la femme dans l’art de la scène

une scène de danse acrobatique à Kinshasa  L’industrie musicale congolaise est désormais envahie par des drôles de danses. C’est désormais un courant de mauvais augure qui défraie la chronique dans l’ambiance de « Kinshasa by night » des chansons et des danses qui s’apparentent aux ébats sexuels et autres scènes de vandalisme. Il n’est plus un événement de voir des jeunes se déhancher ou se mettre en transe, sous des rythmes endiablés de tube du genre « Mulunge »,  «Araignée »  et autres « Coller la petite ».

La première édition des Journées Congolaises de Manuscrits sera organisée du mercredi 25 au vendredi 27 novembre 2015. Cette initiative du Ministère de la Culture et des Arts permettra aux écrivains dont les talents sommeillent, de porter haut l’étendard de leurs capacités en écriture. Au finish, trois à cinq manuscrits seront sélectionnés en vue d’être publiés.

Le développement ou l’émergence de la RDC est tributaire des moyens à mettre en place pour lutter efficacement contre la corruption, surtout en milieu universitaire. Expérience du professeur Omer Kutumisa qui en parle dans son livre.   « Lutte contre la corruption en milieu de l’enseignement supérieur et universitaire de la RDC », c’est le titre du livre écrit par le professeur Orner Kutumisa. Cette publication vient s’ajouter à d’autres qui ornent déjà les rayons de librairies et bibliothèques.  

Le film documentaire ‘‘L’homme qui répare les femmes, la colère d’Hippocrate’’ a été diffusé pour la première fois au collège Alfajiri à Bukavu, au chef-lieu du Sud-Kivu. Le film montre les prouesses et les sacrifices consentis par le Docteur Denis Mukwege pour soigner les femmes victimes des violences sexuelles. Lui-même était présent lors

Dans le but de promouvoir les œuvres littéraires et de donner le goût de l’art littéraire aux élèves congolais, la Halle de la Gombe, dans son programme accompagnant la fête du livre, a organisé un face-à-face  écrivains-élèves, le jeudi 19 novembre, dans la matinée. Ces élèves, venus des différentes écoles de  Kinshasa, à l’instar du Lycée Movenda et du Complexe scolaire les Okapis, ont vidé toutes les questions liées à leur besoin de connaître en profondeur ce qui motive les auteurs congolais à publier leurs œuvres.