Culture

Cet exploit a été réalisé grâce à leurs œuvres intitulées ‘’le Baptême des baptisés’’, pour l’un, et ‘’le Bouillonnement de la pensée’’, pour l’autre. Pour ce faire, chacun d’entre eux a reçu un diplôme, le vendredi 4 décembre dernier, à l’issue d’une soirée de Gala dit du Livre et de l’art. Cette cérémonie s’est déroulée à l’Hôtel Béatrice, sous l’égide des Ministères de la Culture et des Arts, du Tourisme ainsi que de l’Agence LM Keys.
Plusieurs années après ses débuts en musique en Grande-Bretagne, l’artiste congolaise Miss Kumbu-ki-Lutete a regagné la mère-patrie, la République démocratique du Congo (RDC),  il y a neuf mois exactement. Dans une interview exclusive qu’elle a accordée au journal Le Potentiel, cette technicienne de la musique dresse, à sa manière, le bilan de la musique congolaise. « La musique congolaise est en perte de vitesse. C’est d’ailleurs l’une des raisons qui, en revenant à Kinshasa, m’a poussée à attendre neuf mois pour me relancer dans la carrière.
En cette fin d'année, J.A. vous propose une sélection d'ouvrages voyageant entre l'Afrique et le Sud des États-Unis, et réalisés par des photographes, des dessinateurs, des peintres ou des romanciers. À offrir ou à s'offrir.
D’ici quelques jours, la célébration de 40 ans du groupe « Salongo » va retentir sous les couleurs du réseau de télécommunication Airtel.
Un atelier sur la question des droits d’auteur et droits voisins s’est ouvert hier mercredi 2 décembre. C’est le directeur de cabinet du ministre de la Culture et des Arts, Mme Marie-Josée Kazadi Yamba, qui a lancé le coup d’envoi des travaux qui vont se clôturer ce jeudi 3 décembre.   Ces assises sont organisées par l’Institut national des arts (INA), en partenariat avec la Société congolaise des droits d’auteur (SOCODA).
Icône congolais du 9ème Art (la bande-dessinée), Asimba Bathy se signale bientôt dans l’écriture avec la publication d’un livre intitulé « Kisangani 1964 ». Œuvre à la fois historique et autobiographique de 210 pages, elle sera publiée aux Editions du Crayon Noir en 2016.
Une messe a été célébrée lundi dernier à Kinshasa, en mémoire de l’artiste musicien Pascal Tabu Ley décédé le 30 Novembre 2013 à Bruxelles, de suite d’une longue maladie. Cette information a été relayée par l’Agence congolaise de presse, ACP, citant des sources familiales. Artiste musicien célèbre, compositeur et acteur politique, Pascal Tabu Rochereau devenu Tabu Ley, est né à Bandundu (Banningville à l’époque) le 13 Novembre 1940. Il commence par chanter à l’église et dans les chorales des établissements scolaires qu’il fréquente avant de rejoindre, en 1959, l’Éducation nationale du Congo.
L’industrie musicale congolaise est désormais envahie par des drôles de danse.   C’est désormais un courant de mauvais augure qui défraie la chronique dans l’ambiance de « Kinshasa by night » des chansons et des danses qui s’apparentent aux ébats sexuels et autres scènes de vandalisme. Il n’est plus un événement de voir des jeunes se déhancher ou se mettre en transe sous des rythmes endiablés de tube du genre « Molunge » et autre «Araignée ».
Le ministre de la Culture et des Arts, Baudouin Banza Mukalay Nsungu, a procédé, le jeudi 26 novembre dernier, à l’Académie des Beaux-arts de Kinshasa, dans la commune de la Gombe, à la clôture des 1ères journées congolaises du manuscrit (JCM), après trois jours d’intenses travaux.
L’icône de la chanson congolaise, le poète Lutumba Simaro Masiya continue de plus bel à égayer le public à travers de nombreuses productions du groupe « Bana Ok ». Bien en forme et toujours très dispos en dépit du poids de son âge, Lutumba ne fléchit pas, au contraire, il continue à faire déplacer continuellement les mélomanes pour venir le voir en live sur scène avec son « Bana Ok », un groupe bien calibré qui continue à faire la fierté de toutes les générations de la musique congolaise car, à l’écoute des œuvres de cet orchestre c’est tout le monde qui se retrouve.