David Kazembe est un artiste chorégraphe qui s’est spécialisé dans la danse contemporaine qui, pour lui, est une sorte de danse qui n’est pas singularisée selon le rythme de la chanson, mais une danse qui s’exécute selon la passion, le sentiment de l’homme, bref une danse par laquelle l’homme parle sans ouvrir la bouche,
Culture
L’artiste musicienne L’Or Mbongo a été en vedette le 8 mars dernier à l’occasion de la journée internationale de la femme. Accompagnée de sa formation musicale ’’La mano di Dio’’, la chanteuse chrétienne a sensibilisé les femmes aux valeurs prônées par Jésus-Christ, à travers un concert estampillé ’’Lokito’’, organisé dans la salle de fête de l’hôtel Apocalypse 22, dans la commune de Masina.
Trois heures durant, la sœur L’Or Mbongo a tenu en haleine un public essentiellement féminin.
Désormais, le Festival «Air d’ici» se tiendra au mois de mars de chaque année. Ceci, pour deux raisons notamment, financière parce que le mois de juillet est une période d’intense activité culturelle, la fragilité financière du festival ne permet pas d’y faire face et la célébration de la femme afin de créer un environnement favorable à l’attraction de celle-ci dans le Hip hop en luttant contre les idées reçues, véhiculées sur le rapport entre le Hip-hop et la femme.
Génie de la francophonie ‘’. Voilà, la nouvelle trouvaille d’Olivier Kayomo. Il s’agit d’un jeu de société comportant une plate-forme pliable et des billets. Il consiste à découvrir l’Afrique et dynamiser l’économie par l’orthographe. Initiateur du jeu-concours orthogrAfrique (AfrikaSpeeling dans sa version flamande) qui permet de découvrir la langue à travers des écrits d’auteurs africains. Monsieur KAYOMO a voulu cibler, cette fois-ci, toutes les couches de la société.
Le groupe de danse Black Killer Révolution fait de carton plein dans divers festivals et concours de danse dans le monde. Existant depuis 2010, ce groupe mêle plusieurs styles constitués de l’Afro, le ndombolo, le coupé décalé et le break dance.
Sans entrer dans les querelles byzantines appelées à tort ou à raison « polémique », peut-on considérer l’émergence musicale de jeunes musiciens congolais, appuyés dans leur requête par une presse manipulatrice ou intéressée, comme l’avènement d’une cinquième génération de la musique congolaise moderne ?
On les dénombre plus d’une dizaine. Actuellement, les jeunes artistes originaires du Congo de Kinshasa qui font fureur en France. La musique rap à la congolaise fait d’eux des produits remarquables de tel enseigne que le rap français a pris le sens du rythme de sons, de mots et de la touche apporté par ces fils Lumumba, qui gardent leurs originalités grâce à la symbiose du hip hop au ndombolo, aux rythmiques envoutées de la rumba aux sons Rnb.
« Tu es né aujourd’hui, bravo et félicitation à ton géniteur. Je te baptise au nom de l’honneur que tu as fait à la ville de Kinshasa. Je souhaite que tu sois présent dans les bibliothèques de Kinshasa.
Le livre du journaliste et écrivain Mfumu Di Fua Di Sassa permet d’apprendre un peu plus sur le musicien-poète congolais.
Auteur de plusieurs textes sur la musique de deux Congo, Mfumu Di Fua Di Sassa aime la bonne musique. Il aime aussi les artistes-musiciens qui font de l’art d’Orphée l’essentiel de leurs activités au quotidien. Journaliste et écrivain, il consacre particulièrement son ouvrage «Rétro Histoire et Mémoire » à l’œuvre de Simon Lutumba.
Marie-Paul dit Roi Pélé est un chanteur emblématique du Clan Wenge. Il a réussi à imposer son nom grâce à ses œuvres irrésistibles qui lui ont permis de gagner l’estime du public.