Culture

Il est un exemple de la valorisation du rôle d’atalaku – (animateur), Brigade Sarbati   se surnommant   « Sauveur de l’animation congolaise Hercule qui frappe » se dit fier de son apport artistique dans la rumba congolaise. Très réputé en générique, Brigade est présent sur le marché du disque depuis deux mois à travers   un album intitulé   « Tout va bien ». «  Qu’on me donne la chance … Tout ira pour le mieux et les fans seront satisfaits », sollicite-t-il, visiblement confiant.

L’artiste de renom sénégalais, Ismaello, vient rallonger la liste de musiciens qui vont prester à la troisième édition du festival Amani qui se tiendra à  Goma, en février  prochain. D’ailleurs, plusieurs artistes nationaux et internationaux tels que Werrason, surnommé Roi de la forêt de la RD. Congo, Nneka, chanteuse de hip-hop, reggae et Soul d’origine nigériane, Aly Keita, malien ayant grandi en Côte d’Ivoire, ainsi que des danseurs traditionnels et modernes venus de toute la région, principalement, Goma, Idjwi, Lulingi et Masisi.

Les préparatifs de la réalisation à Kinshasa de la série télévisée « Chambre des Parents » vont bon train. Et, les organisateurs s’y attèlent afin que le projet voie finalement le jour dans les petits écrans des RD. Congolais, en général. Déjà, les amoureux  de cet art peuvent trouver des renseignements là-dessus sur les réseaux sociaux, où les informations y flottent en permanence.

Le livre « Hommage à une légende », consacré au président de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Etienne Tshisekedi wa Mulumba, et édité par Convergence pour l’Emergence du Congo (CEC), sera présenté au public le 30 janvier 2016 dans la salle PS Rhone (France).

Deux sujets ont fait l’objet d’un entretien entre Koffi Olomidé et le journal «La Prospérité». Actualité oblige, le patron du groupe  Quartier Latin a parlé de la disparition inopinée de la chanteuse Marie Misamu et de la médaille d’Or lui décernée par le Président de la République.

Tout Kinshasa n’attend que le programme officiel des obsèques de la chanteuse chrétienne Marie MISAMU, décédée il y  a quatre jours déjà à Kinshasa. Famille, collègues artistes, autorités publiques et l’église corps du Christ sont mobilisés comme un seul homme cherchant de recentrer leurs efforts pour rendre un  hommage digne à la star du gospel.

Après la levée de l’interdiction du film «L'homme qui répare les femmes, la colère d'Hippocrate» en octobre dernier, ce documentaire est de nouveau diffusé en public cette semaine sur des écrans de la RDC. Il a été présenté à la presse dimanche 17 janvier au centre Wallonie-Bruxelles de Kinshasa, et une autre projection ouverte au public est prévue ce mardi 19, au même endroit. Des séances de visionnement sont également prévues le jeudi 21 janvier, au Collège Alfajiri à Bukavu, et le vendredi 22, à l’Institut français de Lubumbashi.

C’est le dimanche 17 janvier 2016 dans l’après-midi que le corps de Marie Misamu, a quitté l’Hôpital de l’Amitié Sino-Congolaise de N’djili pour la morgue de la Clinique Ngaliema, à Gombe. Entre temps, des bruits couraient dans tous les sens sur la mort subite de la maman de Marie Misamu, que l’on disait n’avoir pas supporté l’annonce du décès de sa fille.   Pour en avoir le cœur net, Le Phare s’est rendu dans la parcelle familiale de la défunte, sise avenue Victoire 4/A, dans la commune de Masina, au quartier « Sans Fil.

Les hommages se succèdent depuis l’annonce samedi 16 janvier de la mort de la chanteuse Marie Misamu décédée, selon ses proches, d’un malaise cardiaque. Ses collègues et admirateurs la décrivent comme une artiste talentueuse et travailleuse. Alors que son talent de chanteuse était unanimement reconnu, Marie Misamu, mère d'une fille, a également embrassé la carrière de comédienne. Elle a joué dans des téléfilms et a été l’un des personnages du film « Les habits neufs du gouverneur ». Comment a-t-elle commencé ? Auprès de qui a-t-elle évolué ? Quels étaient ses projets ?