Le ballet Salongo Bonganga a livré, dimanche dernier en soirée, un spectacle chants et danses, avec à l’affiche plus d’un spectacle, dont celui des pêcheurs ou (en langue kinunu : ’’ bantsoli bantsu’’. C’était en la salle Maman Moluka Pour la Paix, au croisement des avenues Kapela et Kimwenza, à Yolo sud. Le ballet a repris des répétitions : mercredi et vendredi, sous la direction du président de la Fondation Maître Taureau, FMT-Diaspora, le pétrolier Fauguy Taureau, en séjour à Kinshasa.
Culture
Les vendeurs des œuvres d’art regroupés au sein de l’Association des artistes et artisans du Congo (ASC) installés sur la place royale dans la commune de la Gombe se plaignent de l’endroit où ils exposent leurs œuvres. Ils estiment que celui-ci n’est pas approprié et préfèrent qu’il leur soit accordé un autre endroit où ils peuvent exposer leurs produits pour les vendre facilement.
Le père du ‘’folblues’’ sera en production ce dimanche 14 août, à la Place commerciale à la 7ème rue Limete. Jacques Tshimankinda, après avoir fait le rap et le Rnb, a su forger lui-même son propre style musical, qui est une symbiose entre le blues américain et les rythmiques ou folklore kasaïens, pour engendrer le « folblues ».
Dans le tout dernier entretien publié au groupelavenir.org, Tshimankinda a revelé que la source de sa musique est le flolklore. « Ma source du folklore, je l’appelle le « O mbota ».
C’est à travers le théâtre que le Festival Vert (Festivert), tient à sensibiliser la population congolaise, sur les notions et l’importance de la biodiversité. Coordonné par Lele Michoux BOSSAY, ce festival a pour but d’impliquer la population,particulièrement les jeunes, sur les respects de la nature et la sauvegarde de
Les rideaux de la salle des spectacles du Palais du peuple se sont ouverts le jeudi 28 juillet dernier. A l’affiche de cette soirée, la présentation, en première, de la pièce ’’Et pourtant, elle tourne’’, œuvre du dramaturge congolais Henri Mova Sakanyi. Au rendez-vous dans une salle comble, les spectateurs ont été emballés par les talents des artistes et le message véhiculé par l’auteur.
Quand les lampions s’allument, le public se voit transporté dans un décor colonial.
Intégrer la troupe de danseuses de Koffi Olomidé a longtemps fait rêver les jeunes filles des quartiers populaires de Kinshasa. Et cela relevait du privilège que d’être choisie par le « patron ». Qu’importe si une taquinerie en vogue dans cette mégapole de plus de dix millions d’habitants voulait qu’une dame vêtue de façon sexy soit « habillée comme une danseuse de Koffi ».
L'artiste musicien Koffi Olomide vient de recouvrer la liberté. Il vient de quitter l'ex prison de Makala ce samedi 30 juillet aux alentours de 16 heures selon des sources judiciaires.
Il a obtenu la liberté provisoire selon un de ses avocats.
Désormais, l’on peut dire avec fierté que le théâtre classique a bel et bien signé son retour sur la scène culturelle RD-congolaise. Cette réalité a été vécue hier jeudi 28 juillet à travers la soirée VIP consacrée au théâtre classique au Palais du peuple. Des artistes comédiens triés sur le volet ont égayé l’assistance autour de la pièce «Et pourtant, elle tourne», un script entièrement écrit par la belle plume du professeur Henry Mova, homme politique et écrivain RD-congolais.
L’admission de l’artiste musicien Antoine Agbepa Koffi Olomide au Centre pénitentiaire de Makala défraie la chronique tant en RD-Congo qu’en dehors des frontières nationales. La renommée de cette icône de la musique RD-congolaise s’en trouve sérieusement écornée au regard des motifs qui l’ont précipité dans ce chaudron.