Ils sont bourrés de talents, ces guitaristes congolais qui disparaissent de la scène musicale congolaise, pour des raisons qu’on ignore.
Alain Makaba, Beniko Popolipo, Didier Masela, Thierry Mogratana, Flamme Kapaya, Japonais, Burkina-Faso Mboka Lia, Yoto Delta Force, Pitshou Concorde, voire Godé Lofombo… sont parmi les génies qui devraient encore rendre agréable la musique congolaise par leur savoir.
Alain Makaba, apprend-t-on, installé en Belgique, effectue des temps en temps des voyages à Kinshasa, pour des raisons hors que celle liées à l’art.
Culture
Le célèbre animateur Tutu Calugi, dit » Kalukemba « , vient de surprendre les mélomanes congolais en prenant un virage à 180°. Résident aux Etats-Unis, cet artiste avait publiquement annoncé abandonner la musique dite » mondaine » et chanter désormais pour la gloire du Seigneur. Il a même témoigné avoir longtemps servi le diable en chantant pour le monde, développant ainsi des thèmes qui n’honorent pas Dieu. Selon certaines sources, l’homme avait décidé d’embrasser la carrière musicale chrétienne à cause de souci de santé.
Le groupe Wenge Musica Maison Mère et son patron Igwe Le Roi de La Forêt observent, depuis le week-end dernier, un repos bien mérité de deux semaines, après avoir livré de nombreux de concerts à Kinshasa, à l’intérieur du pays voire en dehors du territoire national.
Si un arrêt est placé sur les productions scéniques et les séances de répétitions, cela n’est pas le cas pour les travaux du studio de l’album » 7 jours de la semaine » qui, sauf imprévu, sera lancé sur le marché du disque au mois de décembre prochain.
Selon des sources proches de ce groupe, l’album » 7 jours de
Décédé depuis le 20 août dernier à Brazzaville (République du Congo), Célestin Kouka, alias Celio Kouka, a été inhumé le samedi 3 septembre, à Brazzaville. On ne le présentait plus. C’est l’un des vétérans de la musique congolaise et l’un des co-fondateurs de l’orchestre OK Jazz qui vient de nous quitter.
Né à Brazzaville le 5 février 1935, il est un chanteur de charme.
Alors que l’album » Maître d’Ecole » de Bakala Diakuba Papa Wemba est encore savouré par les amoureux de la bonne musique, surtout après le décès de son auteur, une société de télécommunications vient de mettre le paquet pour larguer, à titre posthume, le tout dernier album du Roi de la Rumba congolaise, mort le 24 avril 2016 en Côte d’Ivoire.
Dans la vie courante, l’un des vices à la base des fissures dans les relations interpersonnelles, c’est le colportage, couramment appelé « les on-dit ». En 1976, évoluant alors dans le TP OK Jazz, Boyibanda Michel a chanté : « Nasolola na nzete » (traduire : je (préférerais) dialoguer avec l’arbre). Dans ce chef-d’œuvre où l’auteur entremêle fiction et réalité pour dépeindre une réalité sociale, l’arbre est considéré (et non à tort), comme être discret et un confident plus sûr que l’être humain.
Fidèle à sa tradition, la Foire internationale d’art contemporain 1:54 tiendra sa quatrième édition du 6 au 9 octobre 2016 à la Somerset House, à Londres. Comme à l’accoutumée les œuvres des artistes africains seront à l’honneur. Environ quarante galeries seront au rendez-vous.
Finalement, les jeunes du groupe musical Gossa sont motivés à proposer au public une œuvre discographique.
José Père Elanga est un artiste de renommée internationale, au talent prodigieux qui fait la fierté de la musique congolaise à l’étranger. Depuis la Scandinavie, cet ancien du groupe Zaiko Nkolo Mboka a accordé un entretien au journal kinois « La Prospérité ». Véritable Ambassadeur de la musique congolaise, le chanteur a saisi l’occasion pour montrer à la face du monde les grandes prouesses de la rumba ou encore du Ndombolo.
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Ma Famille « , la célèbre série télévisée ivoirienne, revient plus de dix ans après son interruption, avec des histoires encore plus délirantes. A travers 300 nouveaux épisodes de 26 minutes, la nouvelle série rebaptisée » Ma grande famille » replonge les téléspectateurs dans les déboires de la vie conjugale du duo mythique Delta-Bohiri (mari et femme dans la série) et de nombreuses maîtresses qui gravitent autour de l’époux volage.