Sécurité

Par quelle magie des dizaines des milliers d’hommes en armes, des femmes et des enfants se sont-ils retrouvés dans le parc national de Garamba, dans la province du Haut Uélé ? Selon des sources officielles, ils ont été défaits par des éléments de l’armée régulière du Sud-Soudan et ont accompagné leur chef, Riek Machar, en exil en RDC.
La «Lucha» déclare ne pas voir clair dans la présence des ressortissants sud-soudanais qui ont trouvé refuge au parc Garamba depuis près d’un mois. Il s’agit en fait de civils et combattants fidèles à l’ex-vice-président du Soudan du Sud, Riek Machar,  qui ont fui les combats le mois dernier, et auxquels la Monusco a décidé de porter une assistance humanitaire. Dans un communiqué publié hier mardi 14 septembre 2016 à Bunia, la «Lucha» se dit inquiète de la manière dont la mission onusienne et le gouvernement gèrent cette situation.
Le Représentant légal de la communauté musulmane en RDC, Cheikh Aly Mwinyi, a appelé mercredi 14 septembre le gouvernement congolais à collaborer avec sa congrégation avant de délivrer les visas aux prédicateurs musulmans étrangers qui viennent dans ce pays. Les services de sécurité au Nord-Kivu soupçonnent certains prédicateurs musulmans étrangers de collaborer avec les rebelles ougandais ADF et de financer cette rébellion ougandaise, qui est accusée d’être à la base de nombreux massacres dans la région de Beni depuis 2014. Au cours d’une interview à Radio Okapi, Cheikh Aly Mwinyi a appelé
Mercredi 14 septembre, les rues de Kinshasa ont vu défiler des engins anti-émeutes de la police. Les Kinois les ont vus sur le Boulevard du 30 juin notamment. Le spectacle de la police a été aussi vu sur le Boulevard Lumumba. Selon Charles Bisengimana, ce défilé a été fait pour «rassurer» les kinois. Mais pour les opposants pas de doute, cette parade de la police dans les principales artères de la capitale a pour but d'intimider la population. Dans certains quartiers de l'est, selon des témoins, les véhicules de la police ont été hués.   [gallery ids="57966,57967,57968,57969,57970"]
La Police nationale congolaise (PNC) organise, ce mercredi 14 septembre, dans les principales artères de la ville de Kinshasa une caravane motorisée de ses engins antiémeutes et véhicules de patrouilles. L’initiative est du commissaire général de la PNC et commandant divisionnaire, Charles Bisengimana Rukira.
Après les Interhamwe et ex-FAR (Forces armées rwandaises) de feu Juvénal Habyarimana, assassiné en avril 1994, la République Démocratique du Congo vient encore une fois d’accueillir sur son sol des réfugiés atypiques. Il s’agit des éléments armés de l’ex-chef rebelle Riek Machar, devenu, aux termes des négociations de paix dans son pays, vice-président de la République du Soudan du Sud.
Sept militaires de la RDC, dont un capitaine et six soldats de son unité, ont été tués, samedi 10 septembre dans une embuscade tendue par un groupe armé étranger à Bangalu dans le territoire de Dungu (Haut-Uele), indiquent les sources locales. Les mêmes sources renseignent que les victimes revenaient du marché de Bangalu pour Doruma.
La cité de Kasumbalesa a sombré vendredi dans la violence. Des morts, des blessés et de dégâts matériels importants ont été enregistrés. A la base, la recrudescence de l'insécurité qui a poussé la population à manifester son ras le bol pour exiger plus de sécurité. Malheureusement, la situation à dégénéré. Et le bilan à été lourd. Quatre morts, bâtiment du gouverneur Kazembe de la province du Haut Katanga et poste de police incendiés. Des véhicules en stationnement devant le bureau PCR ont été également endommagés. Des unités de l'armée ont été déployées en renfort.
Les membres du collectif « Jeunes unis pour la paix dans le Grand-Nord » se disent préoccupés par les messages de haine, les appels à la violence diffusés à travers les réseaux sociaux dans le territoire de Beni. Ces jeunes disent craindre que ces messages favorisent les conflits communautaires au Nord-Kivu. Selon le coordonnateur du collectif, Chirac Kahindo Katwalya, des rumeurs sont également propagées notamment à travers des messages téléphones pour susciter la peur ou la haine. Il invite le gouvernement à agir en identifiant les numéros de téléphone qui diffusent ces messages.
Les pratiquants d’arts martiaux dans plusieurs communes de Kinshasa se sont depuis quelques mois organisés pour appuyer la police nationale dans la traque des bandits et autres malfrats qui créent l’insécurité dans plusieurs communes de la capitale congolaise. D’après des témoignages recueillis mercredi par Radio Okapi auprès des habitants de certaines communes de la Tshangu, une circonscription de Kinshasa, ces jeunes sportifs se font eux-mêmes appelés «Maitre-volontaires» ou «Anti-Kuluna». «Notre travail consiste à protéger les paisibles citoyens, souvent victimes des Kulunas, le jour comm

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