Politique

(KINSHASA)- La pression aura été trop forte pour que le bureau du sénat se ravise pour convoquer une nouvelle session extraordinaire alors que la chambre haute du parlement venait de clôturer une autre session extraordinaire, trois jours avant. ‘‘ Honorable, ce lundi 10/08/2015 à 10h00, ouverture de la session extraordinaire du mois d’aout 2015.

(KINSHASA)- Des sénateurs caciques du régime chercheraient inutilement à opposer le président du sénat au chef de l’état, Joseph Kabila. Ils ont saboté le vote de la loi portant répartition des sièges pour faire consommer à l’opinion la thèse selon laquelle Kengo veut glisser avec son sénat jusqu’en 2016 et susciter ainsi le courroux du président de la république qui a convoqué la session extraordinaire pour faire passer la loi sur la répartition des sièges.

Le député national Samy Badibanga, président du Groupe parlementaire UDPS et Alliés et délégué de l’Opposition parlementaire en qualité d’observateur auprès de la Mission internationale d’Audit du Fichier électoral de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) de la République Démocratique du Congo, salue la « prise en compte de l’analyse biométrique des différentes bases de données ».

Le président de la Chambre haute, Kengo wa Dondo a appelé vendredi 31 juillet 2015, dans un plaidoyer pathétique, les sénateurs de la République démocratique du Congo (RDC) à consolider « les valeurs républicaines ». « Je relève votre bon sens de l’attachement aux valeurs républicaines », a-t-il souligné dans son discours de clôture de la session extraordinaire prévue du 15 juillet au 2 août 2015.

L’homme politique, contrairement à l’homme de droit, a ceci de particulier que pour l’objectif qu’il se fixe d’atteindre, il décide d’abord et consulte ensuite l’homme de droit afin d’obtenir son avis. L’homme de droit, par contre, prend la précaution de vérifier si l’acte qu’il se propose de poser est conforme à la loi.

Une nouvelle session extraordinaire convoquée à la Chambre haute pour finalement voter la loi portant répartition des sièges.

Ces élus du peuple recommandent au chef du Gouvernement de mettre fin au système de prise en charge des enseignants par les parents.

Le speaker de la Chambre donne l’occasion aux élus du peuple de pouvoir mûrir leurs réflexions sur les options fondamentales à prendre pour améliorer et renforcer le contrôle parlementaire.

La révélation est de la maison de sondage " Les Points " à Kinshasa. " 60% des Kinois sont favorables à la prolongation du mandat actuel du Président Joseph Kabila ", renseignent les résultats d’une enquête d’opinions, menée du 17 au 18 juillet dans la capitale congolaise. Sur un total de 1000 personnes qui ont constitué l’écAantillon de cette étude, 68%, toutes obédiences politiques confondues, ont reconnu les réalisations de Joseph Kabila.

Lecture croisée de l’interprétation de la Constitution par les parlementaires des deux Chambres. On est presque sur la voie de la saisine de la Cour constitutionnelle *La position des députés Gaston Musemena, Christophe Lutundula Apala, Mayo Mambeke et du sénateur Hubert Adambo