Justice

Le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa-Gombe a, à travers sa décision rendue ce mardi 09 février 2021, confirmé l'élection d'Albert Yuma à la tête de la Fédération des Entreprises du Congo (FEC).  "(...) Confirme par contre l'élection de monsieur Yuma Mulumbi Albert aux fonctions du président du Conseil d'administration de la FEC tenue le 26 novembre 2020", lit-on dans la décision du TGI de Kinshasa-Gombe.

Le chef de la délégation de l'Union Européenne (UE) en RDC n'est pas resté de marbre après la récente enquête menée par la Radio France Internationale (RFI) sur les meurtres de Floribert Chebeya et son chauffeur Fidèle Bazana.  À travers un tweet lundi 08 février 2021, Jean-Marc Châtaigner appelle la justice congolaise à s'auto-saisir sur base des témoignages recueillis pour relancer cette affaire. 

À travers un communiqué signé par son secrétaire général ad-intérim, Aimé Boji Sangara, dont la copie est parvenue à 7SUR7.CD ce mardi 09 février 2021, le parti politique Union pour la Nation Congolaise (UNC), a, en prévision de la reprise du procès en appel de son président Vital Kamerhe, annoncé l'organisation des cultes d'actions de grâce sur toute l'étendue de la République, pour implorer “la miséricorde de Dieu et la justice divine”.

L'Union pour la Nation Congolaise (UNC), intefédération du Sud-Kivu annonce une série de manifestations pacifiques pendant une semaine afin d'exiger la libération de son leader, Vital Kamerhe, en détention depuis avril 2020. Dans un communiqué parvenu à 7SUR7.CD le dimanche 07 février 2021, Maître Daniel Lwaboshi, secrétaire interfédéral  intérimaire de ce parti politique, indique que plusieurs actions seront menées notamment des journées de prière en faveur de Vital Kamerhe.

De la légèreté de l’administration Kabila au pragmatisme de l’administration Tshisekedi… Il est important en vous donnant les détails basés sur la pile de documents que nous avons pu obtenir de vous résumer en introduction la situation réelle de ce dossier.

38 éléments des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) détenus à la prison centrale de Beni (Kangbayi, Ndlr) ont bénéficié de la grâce présidentielle et quitté la prison ce jeudi 04 février. « Ces militaires libérés sont ceux qui avaient commis des faits bénins et qui venaient de purger leur peine », a indiqué à 7SUR7.CD le lieutenant Antony Mualushayi, porte-parole du secteur opérationnel Sokola 1 Grand Nord-Kivu.

Dans un point de presse tenu ce mercredi 03 février 2021 en ville de Beni au Nord-Kivu, le mouvement citoyen Lutte pour le Changement (LUCHA) a annoncé le dépôt d'une plainte contre quatre personnalités de la ville. Il s'agit du maire intérimaire de la ville, Bakwanamaha Modeste, du colonel Kumbu Ngoma de l'auditorat militaire, du magistrat Hubert 1er substitut de l'auditeur de garnison de Beni-Butembo, ainsi que du colonel François Kabeya numéro 1 de la police en ville de Beni.

Quinze détenus ont recouvré leur liberté de la prison du cinquantenaire à Bandundu, chef lieu du Kwilu ce mercredi 03 février 2021. D'après le procureur général Niami Ngwamashi, 17 au total sont concernés par cette mesure. « En exécution de cette mesure, 17 sont concernés parmi lesquels, 9 qui sont libérables immédiatement et 2 autres les seront quelques mois plus tard pour des raisons de procédure. Les 6 autres sont des juridictions militaires », précise-t-il.

Le ministre provincial en charge des Infrastructures du Tanganyika a été traduit en justice par les habitants de la cité de Kahinda, dans la ville de Kalemie, chef-lieu de la province citée ci-haut. Selon le porte-parole des habitants de ladite cité contacté par la rédaction de 7SUR7.CD ce mardi 02 février 2021, il est reproché à Fidèle Kitenge le non-respect de la loi relative à l'expropriation. Jacques Kashala parle également de l'interdiction de construire et déplore le manque d'indemnisation des victimes par le gouvernement provincial. 

Au total, 42 détenus dont 3 femmes ont été libérés ce mardi 2 février 2021 de la prison centrale de Dilala à Kolwezi, dans la province du Lualaba. À en croire le procureur général, Arthur Ilunga Mwela, qui a présidé la cérémonie y afférente, cette libération s'inscrit dans le cadre de l'exécution de l'ordonnance portant grâce présidentielle.