Société

La Voix des Sans Voix pour les droits de l'homme (VSV) se dit préoccupée par l'incident "malheureux et tragique" qui s'est déroulé dans la nuit du 1ᵉʳ au 02 septembre 2024 à la prison centrale de Makala ayant causé des pertes en vies humaines et des dégâts matériels. Cette organisation de défense des droits de l'homme exige, dans un communiqué signé le même lundi parvenu à 7SUR7.CD,  une enquête  pour faire la lumière autour de cet incident.

Au cours du mois de juillet 2024, le Bureau conjoint des Nations unies aux droits de l’homme (BCNUDH) a documenté 400 cas de violations et atteintes aux droits de l’homme sur l’ensemble du territoire de la République Démocratique du Congo, ayant fait 1487 victimes (767 hommes,140 femmes, 80 individus de genre et âge inconnus, 55 garçons, 40 filles et un enfant de genre inconnu). 

Le directeur général adjoint de l'établissement public Transports au Congo (TRANSCO), Flory Bwatuka a fait une mise au point, ce lundi 2 septembre 2024, à la suite des rumeurs qui circulent sur les réseaux sociaux, selon lesquelles, cet établissement procéderait à la vente des épaves des anciens bus.  En sa qualité de président de a Commission mise en place pour mener cette opération de vente, il a précisé que TRANSCO ne va pas vendre des épaves des anciens bus aux privés, comme le dit la désinformation alimentée par les réseaux sociaux et des personnes malintentionnées. 

Le 10ème congrès de l'Union nationale de la presse du Congo (UNPC) profile à l'horizon. Lors de ces assises, cette organisation des journalistes va être dotée de nouveaux dirigeants à travers des élections à tous les niveaux.  C'est dans ce cadre que des journalistes, candidats à ces scrutins, se pressent pour déposer leurs dossiers au niveau de la Corporation. Parmi eux, l'on note Rachel Kitsita Ndongo. 

Le matin de lundi, les rues de Lodja, l'une des grandes agglomérations de la province du Sankuru, se sont réveillées sous le tintement des uniformes scolaires, marquant la fin des vacances et le retour en classe. Cependant, cette rentrée scolaire est loin d’être ordinaire. La province est frappée par une crise sanitaire majeure : la maladie de Mpox, qui ravage la région, fait planer une ombre lourde sur cette nouvelle année scolaire.

Le territoire d'Irumu, l'un des cinq de la province de l'Ituri situé au nord-est de la République démocratique du Congo, reste, à ces jours, confronté aux difficultés liées aux infrastructures scolaires, depuis 3 ans. Cette situation est due à la destruction de plusieurs écoles lors de la montée en puissance des attaques des groupes armés locaux et étrangers. La société civile forces vives, par le biais de son coordonnateur territorial, Pascal kisezo, plaide auprès du gouvernement congolais pour la reconstruction de ces infrastructures scolaires.

Les 28  conseillers élus, de 4 communes de la ville de Kabinda (Lomami), ont manifesté ce lundi 02 septembre 2024, scandant des chants, sur toutes les grandes artères du chef-lieu de la province de Lomami. Ils ont pris d'assaut, le rond-point KS, en direction de la nationale numéro 2, sur l'avenue principale Lumumba, et ont chuté par l'espace du gouvernorat de province, où ils ont réussi à décortiquer leur mémorandum.

Au total, 8 personnes sont décédées suite à un accident de circulation survenu au village Nkala, chefferie de Basanga dans le territoire de Kambove situé à plus de 100 kilomètres de Lubumbashi dans le Haut-Katanga, le dimanche 1ᵉʳ septembre 2024.

Au moins 10 maisons ont été totalement calcinées sur avenue Kakoba au quartier Cimpunda en commune de Kadutu à Bukavu, le dimanche 1ᵉʳ septembre 2024. Selon Luc Ilunga, chef de quartier Cimpunda, l'incendie s'est déclaré aux environs de 16:30. Il précise qu'une fillette d'une année de naissance est morte calcinée, car oubliée dans une des maisons lors de l'incendie. Le chef de quartier Cimpunda souligne que le feu est parti d'une maison où on préparait le haricot en l'absence des membres de ce ménage.

Plusieurs écoles de la ville de Kindu n'ont pas fonctionné, ce lundi 2 septembre 2024, suite au déclenchement de la crève par les réseaux de syndicats des écoles conventionnées. Ainsi, au lycée Matumaini, du réseau des écoles conventionnées catholiques, par exemple, les enfants ont été obligés de retourner à la maison après avoir constaté l'absence du corps enseignant.