Culture

Plusieurs plaques de la « Place des artistes » pillées en plein cœur de la capitale Maître Liyolo Limbe, Président national de l’Association des artistes congolais en arts plastiques vient de monter au créneau pour interpeller les dirigeants congolais en vue de la protection, la sécurisation et l’entretien des sites touristiques et historiques de différentes provinces en RD Congo. Sur les colonnes de l’Agence congolaise presse, cet artiste a déploré que plusieurs monuments, bâtiments et lieux publics abandonnés doivent être réhabilités.
Le sculpteur Liyolo compte plus 50 ans de carrière artistique Les œuvres de Maître Alfred Liyolo Limbe se retrouvent dans les 4 coins du monde. Le sculpteur congolais de renommée internationale, Alfred Liyolo Limbe compte plus de 50 ans de carrière à son actif. Cette performance artistique couvre plus de 70 ans d’âge de l’artiste. Pour la petite histoire, Alfred Liyolo, sculpteur et plasticien, est un monument vivant de la culture congolaise tant au pays qu’à l’étranger. Maître Liyolo se distingue par son travail bien fait.
Créé en 1987, «Bobongo Iyaya » qui tire son appartenance à la famille anamongo conserve dans ses exhibitions, les danses et les mélodies des Ntomba. Le groupe « Bobongo Iyaya » de Bikoro comme son label l’indique est originaire de Bikoro dans la province de l’Equateur où se situe la tribu « Ntomba ». Le groupe folklorique Bobongo Iyaya de Bikoro fait bonne figure à Kinshasa à travers des spectacles qui retracent la vie quotidienne de la tribu « Ntomba » de la province de l’Equateur, au Nord de la RD Congo.
Musique, danses, concours, dictée, dessin, lecture, humour, exposition, … sont là les activités culturelles prévues ce 4 et 5 avril, par Kinois en Mutation (K-MU Théâtre) pour commémorer ses dix ans d’existence.
Le film « L’homme qui répare les femmes » avec pour sous-titre « La colère d’Hyppocrate », consacré au célèbre gynécologue congolais, Denis Mukwege, a été projeté en avant-première à Paris (France), le 31 mars 2015. La projection a été réalisée en présence de Michaëlle Jean, Secrétaire générale de la Francophonie, d' Isabel Tshombe, Représentante personnelle du chef de l'Etat congolais à la Francophonie, de l'ambassadeur de la RD Congo en France, Ileka Atoki, du médecin-chirurgien ainsi que des auteurs du documentaire, le réalisateur Thierry Michel, et la journaliste Colette Braeckman. C’es
Faire du théâtre un métier comme tout autre métier qui fait vivre son homme, tel est objectif que se fixe désormais la Plate forme des artistes comédiens et cinéastes congolais (PACOCICO), qui a célébré dernière ment à sa manière, la journée mondiale du théâtre avec le concours du Directeur Général de la Foire Internationale de Kinshasa (FIKIN), Eugène Bokopolo Bile Sambo. La manifestation s’est déroulée vendredi 27 mars 2015 au pavillon au pavillon 22 de cette institution foraine, en présence du conseiller principal du président de l’Assemblée nationale du conseiller culturel du ministre de
« La République démocratique du Congo est un grand pays du théâtre », a reconnu d’une part, Valentin Mitendo en sa qualité de Président du Centre congolais de l’Institut international du théâtre.
Le cinéma congolais doit renaître de ses cendres. Cette reconnaissance implique la mise sur pied d’un fonds conséquent pour sa relance. A ce jour, lorsqu’on parle des images de la RD Congo, celles-ci se résument sous forme de stéréotypes axés sur les violences, la misère, la guerre, quartier obscur, enfants de la rue. Maître Mwambayi Kalengay, enseignant d’art dramatique à l’Institut national des Arts, INA, réfléchit sur plusieurs perspectives pour la promotion de l’industrie culturelle congolaise.
Depuis le début de cette année l’orchestre Empire Acoustique de Lofombo Godessy a pris la résolution de se produire continuellement à travers la ville de Kinshasa. Cela, après trois sorties à Boma au Bas Fleuve dans la province du Bas Congo. Dimanche dernier c’est un grand public qui avait fait le déplacement du dancing « Debout Ngiri Ngiri » situé sur l’avenue Movenda.
En ces temps où l’on nous laisse entendre que le monde serait devenu un village planétaire, il est bon de souligner que la rencontre entre tradition et modernité offre parfois un spectacle désolant.