Culture

L’AJECO et UECO projettent la tenue d’une Semaine de l’écrivain congolais L’Association des Jeunes Ecrivains du Congo (AJECO) et l’Union des Ecrivains du Congo (Ueco) veulent, à travers ces structures jumelles, donner du tonus à la création littéraire congolaise.

Les congolais de tout bord ont applaudi avec deux mains l’initiative de l’incitation des congolais à la consommation des produits fabriqués en RDC et par des congolais eux-mêmes. Initié par le Ministère de l’industrie, cette campagne « Made in Congo ou consommons congolais » a eu aussi pour mission d’encourager et soutenir les entreprises congolaises face à la concurrence étrangère. Dans cette campagne qui est la bienvenu l’on cependant certains dérapages qui n’ont pas l’ordre d’aider les entrepreneurs congolais dans cette dynamique.

Prévue pour le 2 juillet, la 4ème édition du festival « 100% Break Dance » se tiendra le 5 septembre 2015, toujours à la Place ’YMCA au quartier Matonge. Dans sa dernière lettre adressée aux partenaires, le Coordonnateur de ce projet affirme que ceci est pour répondre aux attentes des sponsors qui ont requis une marge de temps, pour mieux organiser en synergie cette édition qui s’annonce grandiose, avec la participation du groupe tunisien. Depuis sa création, ce festival a toujours milité pour la protection de l’environnement.

De son vrai nom Landu N’Seka, cet artiste est en train de se frayer un chemin dans la sphère musicale congolaise remplie de talents. Navigant dans le reggae, le ndombolo, le rap et le traditionnel Kongo, ce Show-Man est devenu l’un des musiciens les plus sollicités pour des premières scènes des grands concerts à Kinshasa.

La scène hip hop kinois connaît ses grands noms, parmi lesquels Sholo dit Hola Ma Race est cet artiste musicien qui, dans un laps de temps, s’est hissé, sans intermédiaire au rang de ceux qui ont pignon-sur-rue. Entre deux activités au Kwilu Bar, ce jeune rappeur nous balade dans son univers artistique dont il garde le secret.

Ça y est. La première édition «des Francofolies de Kinshasa» auront bel-et bien lieu dans la capitale rd-congolaise, du 7 au 13 septembre prochain, au théâtre de verdure. C’est Jean Steffens, promoteur de l’événement qui l’a fait savoir, le samedi 27 juin dernier, au cours d’une conférence de presse, au restaurant Le Balcon de Kintambo-Magasin. D’après lui, le projet avait été reporté en août 2014 suite à la psychose de la fièvre hémorragique à virus Ebola qui sévissait dans la province de l’Equateur à Djera, revient maintenant avec beaucoup de forces.

C’est une production 100% show que va donner le groupe «Bana C4», le samedi 4 juillet prochain (jour de la fête nationale des Etats-Unis d’Amérique), à l’institut Français de Kinshasa désigné communément la «Halle de la Gombe». Après plusieurs prestations, ces jeunes reviennent sur ce mythique temple culturel de la capitale pour exprimer des anciennes et des nouvelles mélodies. Une fois de plus, ils veulent prouver aux mélomanes de Kinshasa de quoi sont-ils réellement capables pour asseoir de plus en plus leur style dans une mégapole où la rumba et ndombolo se comportent en maitres.

Stade omnisport, stade de la Révolution, aujourd’hui stade Massamba-Débat, du nom de son initiateur, est un monument emblématique de la ville de Brazzaville. Il a succédé au stade Marchand et au mythique stade Félix Éboué. C’est le 20 février 1964 que le président Massamba-Débat procéda à la pose de la première pierre de cet imposant édifice dans ce que l’on appelait la forêt de la Patte d’Oie. Ce grand complexe sportif, achevé après près de 15 mois de travaux, comprend une arène dont les gradins peuvent recevoir de 30 à 50.000 spectateurs assis.

La réalisation des 11ès Jeux africains, que le Congo s’apprête à organiser, du 4 au 19 septembre 2015, est un défi que le Comité d’organisation de l’événement s’attèle à relever depuis plusieurs mois.

C’est une première en RD-Congo. La ville de Kinshasa aura l’aubaine d’abriter au mois de septembre prochain le tout premier festival international de musique chorale du pays dénommé «Nuits de Choeurs». Les dates et les lieux devant domiciliés l’événement sont à fixer dans les jours à venir. Les «Nuits de Choeurs» sont une idée originale made in Communication axiologique. Dans un environnement où le ndombolo et la rumba se comportent en maitres, elles se proposent l’objectif de faire la promotion de la musique chorale inspiratrice et source de toute autre.