Politique

La société civile a transmis au facilitateur une liste des personnalités pour siéger au comité préparatoire. Problème, pour un quota de 6, la société civile a établi une liste de 10 personnes. Il faudra donc écarté 4 noms. Tâche qu'elle n'a sans doute pas réussi à faire et qu'elle a confié au facilitateur. Ou bien, c'est un moyen astucieux de faire pression sur le facilitateur pour élargir leur quota. La revendication première étant de 12 postes au même titre que l'opposition et la majorité.

Au cours d'une conférence de presse tenue le vendredi 20 mai au siège de l'Union Africaine (UA) à Kinshasa, le facilitateur du Dialogue national Edem Kodjo a imputé le retard dans la mise en place du Comité préparatoire à l'Udps. Ceci n'est pas un scoop car les cadres de l'Udps ont dit plusieurs fois qu'ils n'accepteraient pas de s'accommoder avec une «opposition de pacotille», de laquelle ils ne pourront répondre de ses actes car susceptible d'être influencée par le pouvoir.

C’est depuis hier, jeudi 19 mai 2019 que M. Kim Young-Hi, Président de la Commission Electorale Nationale de la Corée du Sud et Secrétaire Général de l’Association Mondiale des Organes de Gestion des Elections séjourne à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo. Il a été accueilli à l’aéroport international de Ndjili par les membres de la Commission Electorale Nationale Indépendante (Ceni). Il s’agit notamment du rapporteur Adjoint, le Professeur Onésime Kukatula Falash, accompagné de Madame Elodie Ntamuzinda, en charge du suivi des Parti Politiques et de M.

L’opinion nationale et internationale a suivi, le lundi 16 mai 2016 du haut du perchoir de l‘Assemblée nationale, le député national Boris Mbuku s’adresser au Premier ministre de la République en des termes on ne peut plus « immoraux ».

En consultation à Bruxelles depuis le dernier week-end, Bruno Tshibala, Secrétaire général adjoint et porte-parole de l’UDPS (Union pour la Démocratie et le Progrès Social) tient à ce que la position de son parti par rapport au Dialogue et à son Comité préparatoire ne prête pas à la moindre confusion.

En séjour à l’étranger, Freddy Matungulu, président de « Congo na biso » et candidat déclaré à l’élection présidentielle, s’est exprimé au sujet de l’insécurité récurrente à l’Est du pays et de la lecture que la Cour Constitutionnelle vient de faire de l’article 70. Dans l’un comme l’autre cas, il se dit fortement peiné et en appelle à un changement de gouvernance au sommet de l’Etat, par des voies démocratiques.

Un séminaire de formation pour le renforcement des capacités a été ouvert, le mercredi 18 mai, à l’intention des cadres de direction et experts de l’ACGT (Agence congolaise des grands travaux) au siège de l’agence dans la commune de la Gombe. Pendant trois jours, les participants vont échanger autour du thème : « Approche processus et optimisation des performances ».  Il s’agit d’une formation normative tirée de la norme ISO 9001.

Ministre des relations avec le Parlement, Tryphon Kin-Kiey Mulumba a carrément insulté l'ex gouverneur du Katanga. Il l'a traité hier jeudi 19 mai sur son compte tweeter de « primairien», pour souligner ses carences intellectuelles. Ce qui est curieux, c'est que le «surdoué» Kin-Kiey ne s'en est rendu compte qu'après que le président du Tout-Puissant Mazembe eu claqué la porte de la Majorité présidentielle. Kin-Kiey, dernier porte-parole du dernier gouvernement Mobutu et ancien membre du RCD, s'en prend aussi à Katebe Katoto, frère aîné de Katumbi. La politique est vraiment moche.

Il poursuit son séjour de travail à Bruxelles auprès de son chef, le charismatique Tshisekedi Wa Mulumba. Lui, c’est Bruno Tshibala, militant de la première heure, secrétaire général adjoint et porte-parole de l’UDPS que le journal a joint hier au téléphone afin de recueillir l’éclairage sur des informations en sens divers ayant circulé mercredi dernier sur certaines stations de radio en rapport avec la mise sur pied du Comité préparatoire du dialogue national. Celle-ci ne peut pas être imminente comme annoncé précédemment.

ouveau rebondissement dans l’affaire opposant Moise Katumbi à la justice congolaise. Alors qu’à Lubumbashi, son audition est suspendue, le bureau du procureur général de la République a, depuis Kinshasa, créé la surprise en déclarant son inculpation. Le parquet général de la République qui pilote l’enquête laisse des brèches qui permettraient à l’inculpé « de se faire prendre en charge par des institutions médicales appropriées ».