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Le sénateur à vie Joseph Kabila Kabange est attendu ce samedi 5 décembre 2020, dans la ville de Lubumbashi, chef-lieu de la province du Haut-Katanga. L'annonce a été faite à 7SUR7.CD par le député provincial Pablo Ngwej, président du comité d'accueil de l'ex-président de la République Démocratique du Congo, au cours d'une rencontre de préparation tenue à Lubumbashi.

Le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a reçu ce jeudi 3 décembre 2020, le président de la Commission de l'Union Africaine (U.A) Moussa Faki au Palais de la Nation à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo.  Cette rencontre intervient à quelques semaines de la prise des fonctions du président de la République en qualité de président de l'Union  Africaine.

Le projet de budget 2021 a été adopté ce jeudi 3 novembre par l'assemblée nationale. C'était au cours d'une séance plénière présidée par la présidente de la chambre basse du Parlement, Jeanine Mabunda. Dans son allocution, bien avant le vote dudit projet, Jeanine Mabunda a rappelé aux députés nationaux qu'ils ont l'obligation de privilégier l'intérêt de la population de la République démocratique du Congo. Elle a, en outre, insisté sur le fait que le budget 2021 doit donner de l'espoir au peuple Congolais.

Le président de la Commission de l'Union Africaine, Moussa Faki Mahamat séjourne a Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo.  D'après la presse présidentielle qui livre l'information, il sera reçu ce jeudi 3 décembre 2020 par le président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, à 16h au Palais de la Nation.  L'ancien premier ministre Tchadien qui est à la tête de la Commission de l'Union Africaine, vient pour rencontrer le président Congolais qui va prendre, pour une année, la présidence de l'Union Africaine. 

La présidente de l'Assemblée nationale, Jeanine Mabunda, a, au nom du bureau, saisi depuis le 9 novembre dernier, le comité des sages de la chambre basse du Parlement sur "les graves allégations" de corruption de certains élus du peuple. D'après la décision de la saisine parvenue ce jeudi 3 décembre 2020 à la Rédaction de 7SUR7.CD, par cette démarche il sera question pour le Comité des sages de faire "toute la lumière" sur cette affaire.

La pandémie de la Covid-19 continue de gagner du terrain en République démocratique du Congo. Ce constat est appuyé par le dernier rapport du secrétariat technique du comité multisectoriel de la riposte contre le coronavirus. Pour la seule journée du mercredi 2 décembre 2020, 145 nouveaux cas de la pandémie ont été enregistrés au pays, dont 129 pour la seule ville de Kinshasa, 9 du Haut-Katanga, 6 du Sud-Kivu et 1 du Maniema.

D'après la présidence de la République, le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a eu un entretien téléphonique le mercredi 2 décembre 2020 avec son homologue français, Emmanuel Macron. À en croire la présidence, les échanges entre les deux personnalités ont essentiellement tourné autour de 3 points ci-après : - La gestion de la crise liée à la Covid-19 ; - La prochaine présidence de l’Union africaine ; - La situation politique en RD-Congo.

Dans un communiqué daté du 2 décembre 2020 et parvenu ce jeudi à la Rédaction de 7SUR7.CD, le président intérimaire de la Ligue des jeunes du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD) a rejeté les accusations selon lesquelles, le Front Commun pour le Congo (FCC) bloquerait l'action du chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. D'après Serge Kadima, ceux qui affirment de telles choses cherchent tout simplement à éviter d'assumer l'échec de leur gouvernance devant la population de la République démocratique du Congo.

Le secrétaire général des Nations-Unies, Antonio Guterres, a déclaré être "préoccupé" par les tensions qui sévissent au sein de la coalition au pouvoir en République démocratique du Congo, le FCC-CACH (Front Commun pour le Congo et Cap pour le Changement ndlr).

Des députés français ont saisi le 25 novembre dernier, par écrit, le président de la République française Emmanuel Macron pour lui demander de soutenir la création d'un Tribunal pénal international afin de poursuivre les auteurs des massacres commis notamment dans l'Est du pays depuis 1996, tel que demandé par le docteur Denis Mukwege.