Société

Mieux connaître les régulés pour mettre un terme au désordre qui règne dans l’univers médiatique congolais. Tel est l’objectif de la campagne d’enregistrement que lé Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication (CSAC) a lancé hier, mardi 5 mai 2015, au Centre d’études pour l’action sociale (CEPAS).

Cela fait exactement 50 ans jour après jours depuis que l’icône de la lutte anti-impérialiste, Che Guevara, passait en République démocratique du Congo.

La grande loi divine est la loi de l’amour qui stipule : “ Aime Dieu par-dessus tout et aime ton prochain comme toi-même “Au niveau des nations ou pays, ce qui est utile et fondamental “ c’est de bien vivre avec la nation voisine ou le pays voisin ». En effet, sur le plan social, le prochain mieux le voisin occupe une place cardinale à telle enseigne que le droit reconnaît que l’huissier de justice peut signifier les exploits au voisin, cela est valable et tribunal est saisi valablement. Le voisin n’est nullement un ennemi, il doit être traité avec beaucoup d’égard et de considération d’auta

Toutes les autorités du pays mobilisées au passage de cette carcasse de 66 ans d’âge Beaucoup de Congolais, qui ne maîtrisent pas l’histoire de leur pays, pensent que le bateau ITB/Kokolo est l’œuvre de Joseph Kabila. Les anciens de la deuxième République doivent, sans nul doute, rire à gorge déployée en suivant tous les tapages médiatiques et récupérations politiques autour de cette embarcation qu’ils connaissent comme leurs poches. Pourtant, ITB/Kokolo a été construit en 1949, durant la colonisation belge. Il est donc âgé aujourd’hui de 66 ans.

La dernière analyse faite sur les antennes de la radio onusienne (Okapi) par le professeur Willy Makiashi, nouveau Vice-Premier ministre et ministre de l’Emploi, du Travail et de la Prévoyance sociale, su le contentieux qui oppose depuis longtemps 686 ex-agents de Marsavco Unilever à leur ancien employeur semble avoir refroidi les espoirs suscités par le nouveau locataire du ministère de l’ETPS sur sa volonté réelle de résoudre définitivement ledit contentieux au profit de ces Congolais clochardisés. Pourtant, ces derniers n’attendent plus que le versement des 24.408.409 dollars us que Marsav

Le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication(CSAC) a procédé hier mardi 5mai 2015 dans salle Père Boka du CEPAS à Kinshasa, dans la commune de la Gombe, au lancement officiel de la campagne d’enregistrement des Médias, des Agences en communication, des Agences de publicité et autres producteur indépendants dans le secteur de Médias.

Il nous revient de nos sources que la citoyenne belge Jessica Bossekota serait passée aux aveux avant-hier, lundi 4 mai 2015 dans un bureau des instances judiciaires de Kinshasa. En clair, elle aurait reconnu avoir été trompée par des agents de Pygma qui lui aurait fait un passeport rd-congolais et une carte d'électeur pour pouvoir la faire participer au concours Miss Vodacom 2014 alors qu'elle est uniquement belge et pas rd-congolaise de nationalité. Pourquoi l'avoir fait pour elle particulièrement? Là, demeure un mystère que les accusés qu'elle a nommément cité devront éclaircir.

Au nombre de sujets qui défraient la chronique figure celui se rapportant aux arrêtés du ministre Alexis Tambwe Mwamba en charge de la Justice et Garde des Sceaux qui complètent les listes antérieures des personnes bénéficiant de la loi d’amnistie. Il en va de même de ceux liés à l’évolution de la situation sécuritaire à l’Est de la RD-Congo et au dossier de migration de la télévision analogique vers la Télévision Numérique Terrestre (TNT).

Reconnusou pas, du vivant de leur père, après la mort de celui-ci, les enfants nés hors mariage, peinent à bénéficier l’héritage.Mal¬gré les jugements confirmant la filiation pour certains, les frères naturels s’arrogentl’exclusivité du droit de succession. Ils vont des procès en procès, en vain.Les enfants nés hors mariage ne savent pas à quel saint se vouer, pour bénéficier l’héritage, laissé par leur père naturel. Tout simplement, n’ayant pas été reconnus du vivant de ce dernier, décédé.

Les corporations des journalistes (JED, OMEC et UNPC) ont au cours des trois journées dites de déontologie journalistique, organisées du 4 au 6 mai, appelé les professionnels des médias au respect de la déontologie notamment, pendant la période électorale. Dommage que certaines d’entre elles travaillent contre les mêmes journalistes. Mais aussi ont perdu la crédibilité, pour défaut de légitimité. «La place d’un journalistique n’est pas en prison ou dans un cimetière», a laissé entendre Kasonga Tshilunde, président national de l’UNPC.