Décidemment, il faut un tribunal spécial pour les conflits fonciers en RDC, et par ricochet, de nouvelles dispositions juridiques comportant de lourdes sanctions contre les conservateurs des titres immobiliers. La situation est telle que le système judiciaire actuel a démontré ses limites pour gérer les conflits parcellaires qui champignonnent devant les cours et tribunaux de la RDC. D’ailleurs de fortes présomptions de corruption des juges alimentent des conversations dans la capitale.
Société
mer 26/11/2014 - 13:09
Kinshasa est accusé de protéger le Groupe Forrest sérieusement impliqué dans la démolition du village Kawama situé près d’un site minier dans la périphérie de la ville de Lubumbashi
mer 26/11/2014 - 12:49
Les derniers massacres perpétrés à Beni le jeudi 20 novembre ont permis de découvrir la situation sous un nouveau jour. Un jour permettant de pointer un doigt accusateur sur la Monusco et la Brigade d’intervention.
mer 26/11/2014 - 12:48
Les Forces armées de la RDC (FARDC) ont arrêté, lundi 24 novembre, environ 34 hommes armés et 10 civils, au cours des opérations de ratissage entamées lancées pour dénicher les auteurs des massacres perpétrés dans le territoire de Beni (Nord-Kivu). L’armée a récupéré 24 armes de guerre dans cette contrée en proie aux rebelles ougandais des ADF.
Près de 200 civils ont été tués entre octobre et novembre derniers notamment dans les localités de Mbau, Kamango, Kasindi et tout le long du Semliki, dans le territoire de Beni, selon des sources gouvernementales.
mer 26/11/2014 - 12:36
« Oui, il y a même des présumés auteurs au niveau des institutions. Il y a des implications des personnalités à tous les niveaux et pour raison d‘efficacité, nous laissons au Parquet faire son travail. On ne peut pas dire ce que la Justice s‘attèle à faire, et nous gouvernement, apporterons tout le soutien à la Justice afin de lui permettre de faire son travail », a affirmé le porte-parole du Gouvernement. Cependant, dans une déclaration politique, le Gouverneur du Nord-Kivu avait accusé certaines
mer 26/11/2014 - 11:29
Le dernier rapport de Human Wrights Watch continue de faire des vagues en RDC. Il y a de quoi. Non seulement personne n’y a cru, mais tout le monde se pose des questions sur les motivations de cette ONG.
Ce rapport est tombé à un très mauvais moment pour la malheureuse ONG car, à Kinshasa, en cette fin de l’année, tout le monde ne jure que par la reprise de la salvatrice opération Likofi. Il y a des faits qui ressemblent aux douleurs d’accouchement, vite oubliées par une femme dès qu’elle tient son bébé.
mer 26/11/2014 - 11:20
Environ 50 à 80 personnes ont été massacrées aux villages Tepiomba et Vemba en date du 20 novembre dernier. Cette situation malheureuse n’a pas laissé la Société Civile du Nord-Kivu silencieuse. A travers une déclaration, elle se dit très choquée par ce énième crime et dénonce des exécutions à la machette, perpétrées par les terroristes des ADF/NALU et/ou leurs alliés dans la zone de Beni. Par ailleurs, elle invite l’armée congolaise et la Monusco à relever d’urgence le défi face à cette nouvelle guerre meurtrière.
mer 26/11/2014 - 11:13
Nouveau berceau du banditisme urbain à Kinshasa, Masina la commune révolutionnaire, tisse depuis des mois, une triste réputation qui ôte de l‘imaginaire populaire, ces clichés de quartiers cossus où de nouvelles bâtisses en étage prennent le dessus, mais celle d‘un secteur où la sécurité est devenue une denrée rare dans ses principaux quartiers. Il ne se passe plus deux jours sans que l‘on puisse déplorer par-ci, un cas de braquage, et par-là, un vol à main armée.
mer 26/11/2014 - 11:07
Dans les provinces du Nord-Kivu et du Maniema de la République démocratique du Congo (RDC), l’hôpital Heal Africa installé à Goma a enregistré « près de 3 000 cas de violences sexuelles ont été enregistrés ».
Les violences faites à la femme étant innombrables dans l'Est de la RDC, le gouvernement a créé une police de protection de la femme et de l'enfant afin de lutter contre ces violences.
mer 26/11/2014 - 10:49
De la farine sur le visage, des gris-gris attachés au corps, des flèches et des armes à feux, le goût du sang et du feu: les déplacés qui ont fui les miliciens Bakata-Katanga, dans le sud-est de la République démocratique du Congo, dressent un portrait sombre de leurs agresseurs.
"On les voyait arriver avec des flèches et des armes", raconte Kalongo Musonda, 46 ans, dans le camp de Kipeto, dans la province du Katanga. "Ils venaient en chantant", mime-t-il en tapant sur sa bouche par intermittence, laissant échappant un son aigu.