Politique

De passage dans la capitale française pour une visite de travail avec son homologue français, Laurent Fabius, le ministre rd-congolais des Affaires étrangères s’est confié au magazine «Jeune Afrique» pour avancer des rasions qui ont poussé la RD-Congo à traquer seule les Forces Démocratiques pour la Libération du Rwanda (FDLR). Le bihebdomadaire C-News publie in texto l’interview de Raymond Tshibanda placée sur le site du magazine en date du 02 février 2015. Interview.Ensemble, la mission onusienne en RDC (MONUSCO) et l’armée

La direction générale société nationale d’assurances-SONAS SA que chapote Carole Agito Amela est loin de baisser les bras avec la série des formations pour son personnel en perspectives de l’ouverture du marché des assurances en RD-Congo. C’est ainsi qu’elle a organisé un séminaire de formation sur l’assurance des risques techniques à l’intention des responsables des pools technicocommerciaux de cette entreprise, du 23 au 27 février derniers, dans la salle NOAH d’Africana Palace à Kinshasa/Lingwala.

Quid de l’apport de la communauté internationale apprêtée à assurer la direction de ce forum dans la neutralité et la sécurité de toutes les parties ? Pendant des mois interminables, des voix dissonantes se faisaient entendre au sein des forces politiques et sociales acquises au changement au sujet de la nécessité et de l’urgence de la tenue d’un dialogue politique inclusif en RDC avant les élections !

La pression constante et énergique exercée sur le pouvoir par des forces politiques et sociales internes patriotes et nationalistes, couronnée par la révolte populaire des 19, 20 et 21 janvier à Kinshasa, et celle non moins constante et énergique exercée par la Communauté internationale, ont en fin de compte triomphé des manœuvres perfides des caciques de la plateforme politique régnante qui s’obstinaient à tripatouiller la Constitution contre vents et marées, pour permettre au Président Joseph Kabila de se représenter pour briguer un 3ème mandat.

Après s’être opposé à l’appui de la Monusco pour traquer les Fdlr au motif que le Congo est un pays souverain et après avoir contesté le rapport de HRW sur les droits de l’homme, les autorités congolaises disent oui à l’accompagnement financier de la communauté internationale pour les élections et applaudissent le rapport onusien sur l’indice de développement humain…

Olivier Kamitatu Etsu, ministre du Plan et Révolution de la Modernité a présidé, hier lundi 2 mars 2015 au siège du Bureau de Recensement sur l’avenue Wagenia à Gombe, la cérémonie de réception du deuxième lot des équipements pour l’organisation du deuxième Recensement Général de la Population et de l’Habitat (RGPH 2) en RD Congo.

La Mission onusienne en RDC (Monusco) a suspendu son appui à l'armée congolaise dans les opérations contre les FDLR. En réponse, Kinshasa a décidé de traquer seul ces rebelles rwandais. De passage à Paris, Raymond Tshibanda, le chef de la diplomatie congolaise, a expliqué à "Jeune Afrique" les raisons de cette décision. Interview exclusive.

Le gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, a été reçu vendredi 27 février dernier par le Président de la République. La rencontre a eu lieu à la résidence du Chef de l’Etat. Pendant près d’une heure, rien n’a filtré de cette rencontre à huis clos. On croirait que les divergences ont été aplanies après les déclarations tonitruantes du gouverneur Katumbi à son retour à Lubumbashi le 23 décembre dernier après plusieurs mois passés en Europe pour des examens de santé.

Longtemps classée à la queue du peloton dans le classement de l’indice du développement humain, la République Démocratique du Congo est en train de reprendre sa place. Signe que la bataille contre la pauvre té est en passe d’être vaincue. Dans son dernier discours devant l’Assemblée générale des Nations unies, le Président Joseph Kabila annonçait: “Aujourd’hui, la République Démocratique du Congo est un pays débout”. Les évidences le justifient.