Culture

Il y a vingt-cinq ans, l’un des piliers de la musique congolaise moderne tirait sa révérence au royaume de Belgique où il s’était retiré pour des soins appropriés à sa longue maladie. Un quart de siècle après cette disparition, que reste-t-il encore de cette icône de la chanson dans la mémoire collective ?

Aujourd’hui Vendredi 10 Octobre à 19 h 00, à l’Institut français de Kinshasa, Halle de la Gombe, le public peut découvrir le spectacle » Rencontre au pluriel « , de Toto Kisaku. Pour 2000 FC, les spectateurs pourront s’immerger dans cette production mise en scène par Romain Ndomba où, entre stand-up et théâtre traditionnel, ce diable d’homme raconte son enfance et sa formation d’acteur à Kinshasa. Il fait le récit de sa découverte de l’Europe, cet » pays de cocagne » dont tout le monde rêve.

Après deux éditions à succès en 2012 et 2013, le Festival International d’Humour de Kinshasa «Toseka» n’entend pas retirer son épée du fourreau. Les organisateurs de cet événement culturel d’envergure continentale projettent la troisième édition l’an prochain. Le rendez-vous est donc pris du 25 au 30 août de l’année prochaine.

Après la mort du chanteur rd-congolais Babia Ndonga dit Chokoro mardi 7 octobre dernier à Luanda, en Angola, les chroniqueurs musicaux de Kinshasa avec à leur tête Paulin Mukendi se sont réunis hier jeudi 9 octobre à Kinshasa. Dans leurs échanges, ces chevaliers de la plume et du micro spécialisés en musique ont essayé de réfléchir sur comment participer aux obsèques de cet ancien sociétaire de quartier latin. Jusqu’ici aucun programme n’est encore établi. Il sied de rappeler que l’artiste a signé la chanson «Amen» dans l’opus «Magie» de Koffi Olomidé en 1994.

Le Conseil supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC) interpellé Excédés par la bassesse de la plupart des animateurs de ces intermèdes de divertissement, de nombreux téléspectateurs interpellent le Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la Communication (CSAC). Quiconque voudrait bien s’abrutir à souhait, n’a qu’à suivre les émissions musicales de dimanche, sur des télévisions privées de Kinshasa.

Utiliser la culture comme outil d’échanges et de rapprochement des peuples, tel est le cheval de bataille du Réseau " Na Lisanga ", regroupant les personnes qui partagent le même objectif, celui de promouvoir la culture congolaise. Selon l’initiateur de cette Asbl, Fraddy Mpumbu, en séjour dans la capitale congolaise, " Na Lisanga " est un concept simple. L’idée est de fédérer les énergies et les compétences autour d’un objectif commun qui est la culture.

Le chanteur congolais Babia Ndonga dit « Shokoro » est mort hier mercredi 8 octobre 2014 en Angola, suite à une crise cardiaque, renseignent des sources basées à Luanda à travers les réseaux sociaux, information relayée par la télévision nationale. Pourtant, il y a de cela quelques semaines, les envoyés de ce grand artiste étaient sur plusieurs chaînes de télévision pour donner ses nouvelles à l’opinion tant nationale qu’internationale, annonçant même que le chanteur préparait un album à larguer d’ici la fin de l’année, et qu’il se portait bien. L’auteur de la célèbre chanson « Amen », conte

Depuis quelques jours, une guerre à l’arme lourde, bat son plein entre les artistes-musiciens Koffi Olomide et JB Mpiana. Sur les antennes des chaînes de télévision comme sur les sites internet, des insanités les plus ordurières ont été proférées sans scrupule. Tous sont passés à la moulinette : mères, femmes, enfants … sans oublier les deux protagonistes. Il nous faut quand même féliciter l’artiste-musicien JB Mpiana qui ne s’est pas donné en spectacle pour éclabousser son adversaire.

Babia Ndonga, ancien ténor de l’orchestre Quartier latin international, a rendu l’âme hier mercredi 8 octobre 2014 dans la matinée. A Kinshasa, la nouvelle du décès de celui qui se faisait appeler « Shokoro » a été confirmée par une de ses belles-sœurs interrogée par Radio Okapi. D’après elle, le chanteur est mort d’un accident vasculaire cérébral (AVC) dans une polyclinique de la commune de Prenda, à Luanda. Dans son récit, l’artiste a été victime d’un malaise depuis mardi.