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Les travaux du comité préparatoire au dialogue national pourraient prendre fin ce week-end, confie le sénateur Shé Okitundu, au sortir de ces assises, hier jeudi 25 août à Kinshasa. Feuille de route du dialogue, préalables soulevés par l’Opposition, respect de la Constitution… tels sont des questions abordées lors la deuxième journée de ce pré-dialogue.
A en croire le porte-parole de la Majorité présidentielle, les activités se déroulent dans un climat extrêmement positif. "Vous savez, le comité préparatoire est là justement pour déterminer les contours du dialogue. Principalement fixé l’ordre du dialogue, explique l’honorable Shé Okitundu. C’est autour de ça que le débat continu. Et nous apprécions l’esprit de convivialité, de cordialité et de franche collaboration qui a animé toutes les parties prenantes à ces travaux (…) Pour l’instant on a déjà fait la moitié du boulot, nous sommes tenus au secret de délibérations. Vous saurez tout lors de la clôture ce samedi ".
" NOUS SOMMES LA POUR VEILLER AUX PREALABLES DE L’OPPOSITION "
Le point relatif à la libération des prisonniers politiques a été également noté lors des travaux d’hier parmi les préalables à réaliser avant la tenue effective du dialogue national. C’est ce qui justifie notamment la présence du gouverneur du Sud-Ubangi, Jose Makila.
Interrogé par la presse, le président de l’ATD indique que " nous avons la volonté d’aller au dialogue. Ce pays nous appartient, il faut finalement aller aux élections libres, crédibles et transparentes. On ne peut pas y aller comme ça, il faut des préalables. Et ici dans le Comité préparatoire, nous continuons à dire au facilitateur qu’il y a des préalables à réaliser. Notamment la libération de nos collègues prisonniers. Là je parle de notre collègue Muyambo et les autres. Je demande aussi que notre collègue Moïse Katumbi puisse revenir pour participer au dialogue. Parce que le dialogue doit être réellement inclusif. Il va falloir qu’entre la fin du comité préparatoire et le début du dialogue que certains préalables soient réalisés ". « JE ME MOQUE DE L’EXCLUSION », REAGIT MAKILA
José Makila qualifie par ailleurs d’un non événement son exclusion de la plateforme " Alternance pour la République ". " Je suis président d’un parti politique qui s’appelle ATD, j’ai des députés à l’Assemblée nationale, je suis doublement élu, député et gouverneur. Qu’est ce qu’il faut encore. Je me moque de cette exclusion".
Pour sa part, Jean-Bertrand Ewanga, secrétaire général de l’UNC, insiste aussi sur la libération des prisonniers d’opinion et le respect de la Constitution. Il estime que la participation de son parti au dialogue tiendra compte du respect de ces deux points essentiels. MOLINA
Le point relatif à la libération des prisonniers politiques a été également noté lors des travaux d’hier parmi les préalables à réaliser avant la tenue effective du dialogue national. C’est ce qui justifie notamment la présence du gouverneur du Sud-Ubangi, Jose Makila.
Interrogé par la presse, le président de l’ATD indique que " nous avons la volonté d’aller au dialogue. Ce pays nous appartient, il faut finalement aller aux élections libres, crédibles et transparentes. On ne peut pas y aller comme ça, il faut des préalables. Et ici dans le Comité préparatoire, nous continuons à dire au facilitateur qu’il y a des préalables à réaliser. Notamment la libération de nos collègues prisonniers. Là je parle de notre collègue Muyambo et les autres. Je demande aussi que notre collègue Moïse Katumbi puisse revenir pour participer au dialogue. Parce que le dialogue doit être réellement inclusif. Il va falloir qu’entre la fin du comité préparatoire et le début du dialogue que certains préalables soient réalisés ". « JE ME MOQUE DE L’EXCLUSION », REAGIT MAKILA
José Makila qualifie par ailleurs d’un non événement son exclusion de la plateforme " Alternance pour la République ". " Je suis président d’un parti politique qui s’appelle ATD, j’ai des députés à l’Assemblée nationale, je suis doublement élu, député et gouverneur. Qu’est ce qu’il faut encore. Je me moque de cette exclusion".
Pour sa part, Jean-Bertrand Ewanga, secrétaire général de l’UNC, insiste aussi sur la libération des prisonniers d’opinion et le respect de la Constitution. Il estime que la participation de son parti au dialogue tiendra compte du respect de ces deux points essentiels. MOLINA