Lundi 2 mars, lorsque le président de la République, Joseph Kabila, a publié la loi qui entérine le découpage territorial des six des onze provinces actuelles, les voix s’élevaient simultanément pour dénoncer à priori entre autres inquiétudes, le respect du cycle électoral.
Avec le découpage, serait-on capable d’organiser des élections locales et municipales ? Et, après, organiser les provinciales dans les 26 provinces, les sénatoriales, les législatives et les présidentielles ? Cette question lancinante cachait pourtant d’autres préoccupations que nous considérons plutôt comme politiques.
Politique
Des voix s’élèvent au sein de la famille politique au pouvoir pour inviter le parlement à engager un débat de vérité avec le gouvernement en vue d’aboutir à un calendrier électoral consensuel
Des commentaires fusent de toutes parts autour du calendrier électoral global publié le 12 février 2015 par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni).
Dernier exemple en date, la réflexion flottant sur la toile intitulée » Nécessité et urgence d’un calendrier électoral global réaménagé en RDC » sous la plume du député national et président national du Msdd (Mouvement solidarité pour la dé
Ces deux organisations de la société civile insistent pour la suppression des dispositions discriminatoires se trouvant dans ce document déjà examiné au Sénat
En marge de la session parlementaire de mars 2015, le Réseau national des organisations non gouvernementales des droits de l’homme du Congo (Renadhoc), en partenariat avec l’Association africaine de défense des droits de l’homme (Asadho), avec l’appui du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef), entame déjà un plaidoyer pour impliquer les députés nationaux à adopter la loi portant modification du code de la famille.
Ces deux str
Pourquoi la communauté internationale tarde-t-elle à convoquer et à conduire ce forum de salut public ?
Nous aurons vraiment tort de croire que nous avons déjà dit assez sur la nécessité et l’urgence de tenir en RDC un dialogue national inclusif au cours duquel des représentants des formations et plates-formes politiques ainsi que ceux des organisations de la société civile discuteraient sans complaisance et en toute sérénité des questions en rapport avec la situation générale du pays, avec l’avenir immédiat de la nation en passant par le transfert pacifique du pouvoir à l’issue de prochaines
Concerne : Ma contribution pour mettre fin aux velléités d’extension de l’espace géographique Rwandais.:
Messieurs les Experts,
J’ai lu dans le quotidien le Phare n05017 du mardi 24 février 2015, l’article intitulé: RDC -RWANDA: LA NOUVELLE FRONTIERE EN GESTA TON.
Depuis plus d’une décennie, la forte demande de crédits par des épargnants et des opérateurs économiques, principalement ceux relevant du secteur des PME, a suscité une offre importante auprès des institutions financières.
On se rappellera qu’après la liquidation des banques de l’Etat, la faillite de la plupart des coopératives d’épargne et de crédit, les citoyens n’avaient plus confiance dans le système financier, préférant opérer dans l’informel qui brassait 90 % des liquidités.
Alors que les élections générales s’annoncent, l’Udps n’est pas encore en ordre de bataille. Elle risque une fois de plus de rater le coche de faire aboutir sa lutte démocratique débutée dans les années 80. Empêtrée dans des querelles intestines, l’Udps s’est fermée à la voix du peuple dont elle clame en être le porte-parole. Son « plan de sortie de crise » ou du moins celui du duo Bruno Mavungu-Félix Tshisekedi a laissé tout le monde indifférent : population, classe politique, communauté internationale et même le pouvoir.
La mise à la disposition de la Ceni de la liste des entités décentralisées (villes, communes, et secteurs/chefferies, et déconcentrées (groupements) et la délimitation de nouvelles villes et communes, ainsi que la préparation du projet de répartition des sièges par le gouvernement et son dépôt au Parlement, sont autant d’épreuves qui pointent déjà à l’horizon.
La Commission électorale nationale indépendante (Ceni) devait entamer, juste après la publication du calendrier électoral global en février dernier, les préparatifs, en premier lieu, des élections provinciales, urbaines, municipales et
(WASHINGTON)- Les ténors de l’opposition congolaise en séjour aux Etats-Unis ont rencontré le sous-secrétaire d’état américain chargé de questions africaines. A défaut d’avoir John Kerry lui-même, le patron du département d’état trop pris par son agenda international, Vital Kamerhe, Jean Claude Vuemba, Samy Badibanga, Jean Lucien Busa et Clément Kanku ont échangé longuement avec David Gilmour. A cette
occasion, Ils ont réaffirmé leur détermination à se battre pour arracher des élections transparentes et crédibles. Pour cela, ils ont plaidé pour un calendrier électoral consensuel et réaliste.
(KINSHASA)- L’opposant Franck Diongo est monté au créneau pour dénoncer le découpage précipité qu’il considère comme le décor planté par le président Kabila pour réussir son glissement. Le leader du Mouvement Lumumbiste Progressiste ne pense pas un seul instant de laisser au pouvoir une marge de manœuvre pour atteindre cet objectif.