Politique

Le désormais ex- plus célèbre de gouverneurs de provinces explique sa démission par les signaux alarmants sur le double front du respect de la Constitution et de l’Etat de droit. * Le leader katangais appelle à la création d’un large mouvement autour des valeurs démocratiques et républicaines.

Fini le suspense. Le président national de Congo na biso, (CNB), Freddy Matungulu Mbuyambu Ilankir, rentre au pays le samedi prochain 3 octobre. La nouvelle a été livrée au public par la Direction politique de CNB dans un communiqué de presse daté du 28 septembre courant.

Ça vole bas ! Très bas même. Voilà un lendemain du réaménagement du Gouvernement qui pose plus de problème qu’il en a résolu. Exclu de la MP, sommé de vider tous les maroquins et autres strapontins, le G7 voit encore certains de ses partis être représentés au sein de Matata III. C’est quelle ARC ? C’est quel ACO ? C’est quel PDC ? On en perd son kikongo, son swahili et son lingala.

L’Ambassadeur de chine en Rdc fait parler les chiffres. En l’occurrence le " double 6 " qui correspond au 66ème anniversaire de la Fondation de la République populaire de Chine. " Double 6, grand futur ", a confié Wang Tongqing comme pour prédire un avenir radieux au niveau de la coopération sino-congolaise. Laquelle s’inscrit dans le cadre gagnant-gagnant appelé à être renforcé, a souligné le chef de la mission diplomatique chinoise à Kinshasa lors de la réception donnée hier en sa résidence. Radieux aussi est le futur de la Chine.

Moïse Katumbi a annoncé mardi 29 septembre sur son compte Twitter sa démission du PPRD, le parti présidentiel, et du gouvernorat du Katanga. Dans la déclaration qui accompagne son tweet, Moïse Katumbi explique les raisons de son départ du PPRD.

Les nouveaux ministres du gouvernement congolais sont entrés en fonction ce mardi 29 septembre à Kinshasa. Les cérémonies de remise et reprise avec leurs prédécesseurs ont eu lieu dans les différents cabinets ministériels qui ont changé de chefs. Dix ministres et deux vice-ministres ont été nommés lors du dernier remaniement du gouvernement congolais annoncé le 25 septembre dernier. Les titulaires des ministères de la Défense nationale, Aimé Ngoy, et des Hydrocarbures, Crispin Atama, ont été permutés aux termes de ce «réaménagement technique».

(KINSHASA)- On pressentait la méfiance entre les deux hommes. Aujourd’hui, le divorce est consommé. L’hypocrisie pour sauver les relations tumultueuses s’est arrêtée. Le gouv voulait plus d’indépendance et plus d’espace pour affirmer son leadership. Il peut s’estimer heureux d’avoir quitté le parti présidentiel et le gouvernorat du Katanga, deux symboles du pouvoir qui le liaient encore à Joseph Kabila. Pour Katumbi, le temps a sonné pour se lancer dans la

(LUBUMBASHI)- Dans une lettre datée du 29 septembre 2015 adressée au secrétaire général du parti présidentiel, Moise Katumbi a annoncé sa double démission du Pprd et du gouvernorat du Katanga. Il justifie sa décision par le souci de sauver la jeune démocratie congolaise. L’ex-gouv ne supporte plus les dérives du régime. Ces derniers temps,

(KINSHASA)- L’Envol Delly Sesanga a dénoncé l’attitude du président de l’assemblée nationale qui n’a pas voulu annoncer lors de l’adoption du calendrier des matières de la session de septembre, le dépôt par deux députés, de la proposition de loi portant organisation du referendum, conformément à l’article 139 du règlement intérieur de l’assemblée nationale. Le parti de Sesanga lui demande de respecter les prescrits légaux et éclairer les députés et le gouvernement sur cette question. Au gouvernement, il est demandé de réserver une suite de non de recevoir à cette initiative.

Le plan d’un référendum populaire circule entre l’Assemblée nationale et le gouvernement en vue de voter une loi dans ce sens. Des opposants au troisième mandat de Joseph Kabila se sont rapidement manifestés, estimant que le moment est mal venu pour étudier un tel texte donnant l’impression de baliser la voie pour toucher à l’article verrouillé 220 de la loi suprême Deux députés nationaux ont été cités d’avoir formulé un projet de loi fixant les modalités d’organisation du référendum en RD Congo.