Justice

La Cour militaire de la province du Lualaba a ouvert le procès en flagrance opposant l'auditeur militaire contre 2 éléments de la police nationale Congolaise et un garde du corps ce mardi 17 septembre 2019. Ledit garde est poursuivi pour dissipation des munitions et désertion de poste.  Parmi ces prévenus, figure le garde du ministre provincial des infrastructures de la province Haut-Katanga, Miguel Katemb Kashal.

Au cours de l'audience de ce lundi 16 septembre 2019 à la Cour de cassation, de l'ex ministre en charge des finances de la ville de Kinshasa Guy Matondo, ses avocats ont soumis auprès du juge une demande de mise en liberté provisoire.  Ils ont soutenu que la démarche de la détention de l'ancien ministre des finances dans la prison de Makala était irrégulière.

Sur convocation du Procureur, le député provincial Mike Mukebayi s'est présenté ce lundi 15 septembre au Parquet près  la Cour d'Appel de Kinshasa  Gombe pour être entendu. Sur place, il a été confronté à Daniel Muananteba qui l'accuse de diffamation et d'imputation dommageable.  Selon ce dernier, l'élu de Lingwala avait affirmé au cours d' une vidéo qu'il est escroc et vit depuis des mois dans une maison sans payer. 

Guy Matondo, l'ex ministre provincial des finances de la ville de Kinshasa du gouvernement d'André Kimbuta, vient d'effectuer son entrée dans la salle d'audience du Parquet près la Cour de Cassation.  En présence des quelques membres de sa famille, des juges et des avocats, son procès vient de débuter.  Il est accusé par l'assemblée provinciale de Kinshasa de détournement des fonds publics.  Merveil Molo/Stagiaire

C'est ce lundi 16 septembre 2019 que l'ex ministre en charge des finances de la ville de Kinshasa, sous le règne de l'ancien gouverneur André Kimbuta, Guy Matondo va comparaître au Parquet près la Cour de Cassation.  Dans la salle d'audience, le public composé de membres de la famille et connaissances de l'accusé est déjà présent. On y retrouve également des juges et des avocats de toutes les parties. Cependant, l'ancien ministre des finances, lui n'a pas encore fait son apparition dans la salle. 

Le Collectif des avocats de l'ancien ministre de la Santé a, via un communiqué daté du 14 septembre dernier, balayé d'un revers de la main la thèse selon laquelle, Oly Ilunga a tenté de quitter la République Démocratique du Congo. Selon les avocats de l'ancien ministre de la Santé, ce dernier n'a jamais tenté de se rendre au Congo-Brazzaville.

D'après un communiqué signé par le porte-parole de la police nationale congolaise, le colonel Pierrot Mwanamputu, l'ex ministre de la santé publique Oly Ilunga est en garde à vue depuis ce matin à la coordination nationale de police judiciaire. Selon ce communiqué, Oly Ilunga est poursuivi pour me gestion des fonds alloués à la riposte de la maladie à virus Ebola.

La deuxième audience en appel de l'affaire opposant le ministère public aux 36 présumés miliciens du mouvement terroriste Kamwina Nsapu branche de Kinshasa s'est tenue ce vendredi 13 septembre 2019 à la prison militaire de Ndolo. Siégeant en matière répressive au second degré, les juges de  la Haute Cour militaire ont  procédé, au cours de l'audience de ce vendredi, à l'identification des prévenus et à la vérification, quant à la forme, de la régularité des actes d'appels.

Le parquet général près la Cour d'appel de Kinsha- Gombe a adressé une invitation à Mike Mukebayi, député provincial de la plateforme politique LAMUKA de se présenter le lundi 16 septembre 2019 dans son office. Par ailleurs, aucun motif n'a été indiqué dans la correspondance.  "J'ai l'honneur de vous inviter à vous présenter à l'office du parquet général près la Cour d'appel de Kinshasa-Gombe(...) pour des motifs qui vous seront  communiqués sur place", a écrit l'avocat général Samy Bunduki ce vendredi 13 septembre 2019 

Dans un réquisitoire du procureur général près de la cour de cassation, Flory Kabange Numbi a demandé l'autorisation de l'assemblée provinciale du Kongo-Central pour poursuivre son gouverneur suspendu Atou Matubuana suite à une affaire de "sextape". D'après les faits détaillés par le procureur général près de la cour de cassation, Atou Matubuana, gouverneur de province, est le "commanditaire" du scandale sexuel qui a éclaté  sur les réseaux sociaux. Les faits ont été "exécutés par des agents de l'ANR, avec la complicité de l'assistance Muyita".