Beni

Trois (3) enseignants des écoles officielles, parmi lesquels le secrétaire permanent a.i du Syndicat des enseignants du Congo (SYECO) noyau de Beni (Nord-Kivu) ont été suspendus à titre préventif par les chefs d'établissements. La nouvelle est contenue dans les lettres officielles datant du 07 septembre, dont les copies sont parvenues à 7SUR7.CD, la journée du mercredi 11 septembre. Il s'agit des enseignants des écoles Bungulu et Munyembelu, situées au quartier Biautu en commune Beu.

Au total, 23 personnes ont été interpellées dans un bouclage mené par les éléments de la coalition FARDC-PNC au quartier Kasanga Tuha en commune de Mulekera, ville de Beni dans la province du Nord-Kivu tôt le matin de ce lundi 09 septembre 2024. C'est le secteur opérationnel Sokola 1 Grand nord qui rapporte la nouvelle dans une note d'information relayée à la presse ce même lundi.

Au total, vingt-trois (23) otages des rebelles d'Allied democratic forces (ADF) ont été libérés par les éléments de la coalition FARDC-UPDF dans le territoire d'Irumu (Ituri). Selon le secteur opérationnel Sokola I au Grand Nord-Kivu, la pression militaire exercée sur les assaillants a permis à ces ex-otages de s'échapper, près de la rivière Malibongo, au nord de Tokomeka.

Les premiers éléments de l'Unité d'aviation du contingent pakistanais de la Mission d'organisation des Nations-Unies pour la stabilité au Congo (MONUSCO) sont arrivés en ville de Beni (Nord-Kivu) en provenance du Sud-Kivu, le mardi 16 juillet 2024.  La nouvelle est contenue dans une note d'information relayée à la presse dans la région de Beni, par la mission onusienne. Ce contingent sera basé à Beni.

Trois (3) personnes sont mortes à la suite d'une nouvelle attaque des rebelles d'Allied democratic forces (ADF) vécue tôt le matin de ce vendredi 24 mai 2024, dans la localité Maimoya en groupement Bambuba-Kisiki dans le territoire de Beni (Nord-Kivu).  Selon la société civile locale qui s'est confiée à 7SUR7.CD, les assaillants ont également enlevé plusieurs civils avant de se livrer au pillage de biens de la population. 

Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) annoncent avoir neutralisé cinq (5) rebelles d'Allied democratic forces (ADF) dans la commune de Mulekera, en ville de Beni (Nord-Kivu).  La nouvelle est contenue une note d'information parvenue à 7SUR7.CD ce mardi 16 avril 2024. Le porte-parole militaire du secteur opérationnel Sokola I au Grand Nord-Kivu mentionne qu'outre les 5 ADF tués, un autre a été capturé.

Des activités sont paralysées dans plusieurs secteurs en ville de Beni (Nord-Kivu), ce mardi 16 avril 2024. La situation est consécutive à l'appel des mouvements citoyens et groupes de pression, qui ont décrété deux jours sans activités à dater de ce mardi pour compatir avec les familles qui ont été touchées par les récentes violences des rebelles d'Allied democratic forces (ADF) dans les quartiers Sayo, Matembo voire Bundji, en commune de Mulekera. 

Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) annoncent avoir neutralisé l'un des docteurs, médecin traitant des rebelles d'Allied democratic forces (ADF) dans le territoire de Beni (Nord-Kivu).  La nouvelle est contenue dans une note d'information relayée dans la région de Beni par le secteur opérationnel Sokola I au Grand Nord-Kivu, ce mardi 09 avril 2024. Cet exploit de l'armée a été réalisé lundi à l'Est de la localité d'Eringeti, dans l'entité de Bambuba-Kisiki. 

Un soldat des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) a tué sa femme en tirant sur elle quelques coup de feu au quartier Rwangoma, en commune de Beu dans la ville de Beni (Nord-Kivu). Les faits remontent à la nuit du lundi à ce mardi 02 avril 2024.  Des témoignages recueillis auprès des habitants dans la cellule précitée, font savoir que ce soldat a tiré sur sa femme dans sa parcelle devant la porte de la maison, avant d'aller tourner le canon sur lui à plus de 300 mètres de chez lui. 

En ville de Beni, dans l'Est congolais, plus de 20 personnes ont été tuées en l'espace de 13 jours. Deux quartiers riverains du territoire : Sayo et Matembo ont été visé. Depuis, l'ombre plane encore sur la vraie identité des auteurs de ce récent massacre (Reportage).