
- L’augmentation sensible et vérifiable des ressources, les multipliant par quatre par rapport au niveau qu’elles représentaient à l’entrée en fonction des actuelles autorités du FPI. Les recettes du FPI vacillaient autour de CDF 3.500.000.000,00. A ce jour, ces recettes ont atteint CDF 16.610.000.000,00. La croissance vertigineuse de ces recettes est le fait de la réduction des fraudes à plusieurs niveaux des maillons de la chaîne de la collecte de la TPI d’une part, et de l’élargissement de l’assiette ainsi que des efforts consentis dans le recouvrement des prêts par la prise de conscience d’un grand nombre d’agents qui a renoncé aux pratiques rétrogrades d’autre part. Ces antivaleurs étaient devenues un mode de gestion auxquels les nostalgiques et les mécontents des réformes veulent à tout prix ramener l’actuelle Direction Générale dans des pratiques ayant longtemps terni l’image de marque du FPI.
La campagne de recouvrement forcé initiée et engagée par le FPI a permis de réaliser plusieurs garanties hypothécaires et ainsi relever le taux de recouvrement de 5 à 38 % ; alors que le portefeuille du FPI, hérité de l’ancienne équipe dirigeante, affiche 99 projets totalement décaissés mais non réalisés, trainant des impayés de plus de 82.000.000 $US au 31 décembre 2018 ;
Les nouvelles procédures d’accès au crédit éliminent toutes les entraves jadis constituées des retro-commissions et autres pratiques prohibitives (clientélisme, trafic d’influence, tribalisme, copinage etc.) En conséquence, il est constaté une diminution des projets fantaisistes et une amélioration de la qualité dans le portefeuille des demandes de crédit. La pratique d’octroi des prêts tout-venants a été à la base des impayés et créances toxiques dans le portefeuille du FPI du fait de la carence des études de faisabilité dans la quasi-totalité des projets financés.
Evoquant les inaugurations des industries, il convient de préciser que les missions du FPI sont de promouvoir les industries locales et non d’inaugurer des projets fictifs ainsi que des éléphants blancs qui n’ont servi que de prétexte à une visibilité de façade pour ainsi permettre le détournement des fonds ;
Quant à la défense de ses intérêts en justice, le FPI s’étonne que certains de ses propres agents expriment leur mécontentement à travers les réseaux sociaux et divers mémos du fait que leur institution ne perde plus de procès judiciaires en série comme cela était le cas dans un passé récent. Fallait-il encourager les pratiques des agents licenciés, des débiteurs insolvables et autres redevables du FPI qui avaient pris l’habitude de le faire condamner à des lourdes peines et amendes à fin d’en tirer des bénéfices, des rétrocessions et autres enrichissement sans cause au détriment de cet Etablissement public avec la complicité de ses propres agents et dirigeants ?
En rapport avec la libération des soldes de financement, des pressions sous plusieurs formes partant des trafics d’influence, des menaces, des appels anonymes sont exercées sur les autorités du FPI et leurs proches collaborateurs afin de les amener à libérer les financements ou les soldes de décaissement sur des dossiers notifiés et/ou partiellement décaissés alors qu’à la suite des missions de supervision, il a été conclu que certains projets n’ont jamais été réalisés et d’autres n’ont jamais connu de commencement d’exécution tels que relevés dans le rapport d’enquête parlementaire du 18 novembre 2015.
Eu égard à ce qui précède, il y a lieu de relever ce qui suit : le FPI est miné par les tentacules des membres d’une même famille biologique et clanique au point qu’il est devenu difficile d’initier une quelconque permutation sans que ce groupe ne soit touché et ne crie à l’acharnement, au clanisme et aux prétendues mutations sanctions ; Il est malheureux que des personnes qui ont participé activement à entacher l’image de marque du FPI, après avoir mené l’Institution au bord de la faillite s’érigent aujourd’hui en donneurs des leçons en naviguant continuellement dans des inventions, montages et cabales mensongères dénouées de tout fondement ; la Direction Générale est déterminée à sortir le FPI de l’emprise négative d’une coterie vers l’égalité de tous son personnel qui doit refléter et compter en son sein les ressortissants de toutes les 26 provinces de la RDC ; C’est pourquoi, le FPI invite le lion qui se cache derrière le pseudonyme de Jacob TSHIBUABUA à sortir du bois pour un débat contradictoire et venir documenter ses contre vérités véhiculées dans les réseaux sociaux ; Toutefois, le FPI se réserve le droit de publier la liste des projets ayant bénéficié des financements et dont la non réalisation est consécutive aux intérêts croisés entre ceux-ci et ceux-là, à l’instar de EVEREST, TRADEXIM, ITK, MEDIA-PRINT, etc. Fait à Kinshasa, le 05 avril 2019 Cellule de Communication du FPI.