Société

Les maires de capitales et villes d’Afrique francophone, réunis à Paris (France), ont observé le vendredi 17 avril 2015, la situation paradoxale selon laquelle « deux Africains sur trois n'ont pas accès à l'électricité » sur le continent. « Nous sommes producteurs de pétrole et de gaz, depuis peu c’est vrai. Nous sommes ensoleillés 365 jours par an pendant 12 heures par jour. Et malgré tout ça, paradoxalement, le taux d’électrification est largement en deçà de l’espérance de nos populations », a relevé le maire de Niamey (Niger), Assane Seydou.

Les solutions aux problèmes mondiaux imposants commencent souvent par des actions de petite envergure à l’échelon local. Quand vous décelez un besoin ou un problème dans votre communauté, vous pouvez intervenir pour améliorer la situation. Un artiste, par exemple, peut proposer des activités d’expression artistique aux jeunes de son quartier qui sont désœuvrés après l’école. Une éducatrice qui constate une tendance à l’absentéisme parmi des fillettes de familles pauvres peut mettre en place un programme de tutorat à leur intention pendant le week-end.

Les Congolais peuvent toujours rêver d’avoir un jour un opérateur de téléphonie cellulaire qui offre un service plus fiable d’accès et de qualité qui tienne compte de leur majoritairement faible pouvoir d’achat. A ce jour cet opérateur n’existe pas et à sa place ne se retrouvent que des opérateurs avides de ruiner impitoyablement les clients congolais laissés à leur merci par des autorités qui, apparemment, se montrent trop tolérantes

Chaque jour, le niveau du fleuve Congo s’abaisse d’au moins 5 cm, selon M. Daniel Bulungidi, conseiller en matières fluviale et lacustre du ministre des Transports et des Voies de communication, Kalumba Mwana Ngongo. Cette situation d’ailleurs perceptible au niveau de Chanimetal, remonte, en effet, à janvier 2015. Les conséquences sur les activités mercantiles fluviales et même maritimes sont inévitables.

La Commune de Kisenso se trouve confrontée à une rareté de l’eau potable, mettant à rude épreuve les habitants des quartiers de la Révolution, Regideso et Amba, qui se demandent si la Régideso pense aussi à eux. Cette situation oblige les habitants de ces quartiers à vivre comme au village et à se réveiller chaque jour à 1 heure du matin pour puiser du précieux liquide. Et quand l’eau ne coule pas des robinets, ces gens sont obligés d’acheter de l’eau chez les prêtres de l’église catholique de Kisenso.

Entre-temps, les nouveaux membres du Conseil d’administration présentés au personnel! C’est une cérémonie grandiose que le nouveau conseil d’administration de la Société Commerciale des Transports et des Ports (SCTP) a organisé hier lundi 20 avril dans l’enceinte de sa direction. C’était à l’occasion de la célébration de son 80ème anniversaire. Une cérémonie au cours de laquelle les membres de ce nouveau conseil d’administration ont été présentés au personnel de l’entreprise.

La Monusco et les médias privés en RDC Il était 15h30′ lorsque, le jeudi 16 avril dernier, le directeur de l’Information publique de la Monusco, Charles Bambara, a effectué son entrée dans les installations du groupe de presse La Tempête des Tropiques-Cntv-Trinitas FM. Il était accompagné de la chargée des Relations avec les Médias, Adèle Lukoki.

Aveux publics et excuses de l’Ambassadeur N’tsiki Mashimbye au peuple congolais Le gouvernement sud-africain doit indemniser les Congolais victimes d’actes de barbarie subis sur son territoire La Tempête des Tropiques a largement relayé hier lundi les conférences de presse tenues vendredi et samedi de la semaine écoulée, respectivement à Kinshasa et Lubumbashi, par l’Ambassadeur N’Tsiki Mashimbye et le Consul de la République sud africaine Mandla Ramtese.

Les habitants de Karangara et Rukorwe, en territoire de Nyirangongo (Nord-Kivu) ont fui leurs villages, dimanche 19 avril, à la suite de l’incursion des rebelles FDLR. Selon la société civile locale, ces assaillants n’ont pas causé de pertes en vies humaines mais ont juste tiré des balles en l’air, créant ainsi la panique au sein de la population ces deux villages.

Dans le souci de lutter contre les antivaleurs qui gangrènent la société congolaise, et parmi lesquelles figurent en bonne place la clochardisation et la chosification du travailleur, le Parlement des Croyants au Congo (PCC-ONG en sigle), en sa qualité d’ONG de défense des droits de l’homme, de restauration des mentalités et de lutte contre les antivaleurs, s’est décidé d’entreprendre une série d’actions interpellatrices en direction des employeurs.