Société

Cadres et agents de la Société Nationale d’Assurances (Sonas S.A) sont conviés, depuis ce lundi 19 octobre 2015, à un séminaire de formation animé par les Formateurs de la Compagnie Commune de Réassurance des Etats membres de la Conférence Interafricaine des Marchés d’Assurances (CICA-RE). Madame Carole Agito Amela, Directeur Général de la Sonas S.A. a personnellement donné le GO des travaux, devant un auditoire très passionné, en la salle paradisiaque de CASSIOPE, située en plein cœur de la Gombe.

C’était au cours de la parade hebdomadaire de la Police relocalisée extraordinairement  dans la commune de Karisimbi, que de suite d’une intensification des cas d’accidents mortels, le Commissaire provincial de la Police nationale congolaise  au Nord-Kivu, le Général  Vital Awachango Umiya,  a lancé hier lundi un appel aux medias de Goma. Il émane d’un constat d’intensification des cas d’accidents mortels causés  pour la plupart par  l’excès de vitesse et l’ivresse des conducteurs au volant.

Durant cinq jours, soit du lundi 19 au vendredi 23 octobre 2015, les professionnels de santé de la Direction générale des douanes et accises de la République démocratique du Congo (DGDA), sont assemblés à Kinshasa. Objectif : réfléchir sur les protocoles thérapeutiques à suivre dans les différents Centres médicaux de cette première et grande régie financière du pays.

Le patron de la Direction générale de recettes de Kinshasa (DGRK), Jean-Claude Mwissa, déconseille aux propriétaires des engins motorisés roulants (véhicules et motos) d’acheter des vignettes auprès des agents ambulants. Il indique que les vignettes sont vendues dans les agences de la banque [BIAC] et sont délivrées par un agent de la DGRK qui s’y trouve.

La ville de Zongo (Sud-Ubangi) connait, depuis quelques jours, une flambée de prix des produits vivriers. Selon Michel Siazo, le maire de cette ville, un verre d’haricot qui se vendait à 300 francs congolais (0,32 dollar américain) coûte actuellement 600 francs congolais (0,65 dollars américain). Une mesure du sucre est passée de 400 francs congolais (0,43 dollar américain) à 700 francs congolais (0,76 dollars américain) alors qu’un litre d’essence qui coûtait 2000 francs (2, 16 USD) se négocie à 3 000 francs congolais (3, 24 USD).

Le gouverneur de l’ex-Province Orientale, Jean Bamanisa Saïdi a suspendu, lundi 19 octobre, la perception du péage sur la route nationale n°27, longue de 180 km, reliant Bunia à Mahagi, en Ituri. Il a pris cette mesure pour répondre à la demande des usagers de ce tronçon qui fustigent la dégradation avancée de la chaussée et des ponts d’intérêt capital faute d’entretien. Selon le gouverneur de la Province Orientale démembrée qui vient de parcourir cette route lui-même, des gros bourbiers ne facilitent pas la circulation des véhicules sur la chaussée.

La congrégation des sœurs salisiennes vient de totaliser 19 ans au Kasaï Oriental. Pour l’occasion, plusieurs manifestations à impact visible ont été organisées à travers la ville diamantifère, pour porter haut l’étendard de leur école, le Lycée Anuarite Negapeta, établissement conventionné catholique.

Victime des dégâts que l’exploitation pétrolière cause sur l’environnement et l’écosystème de Muanda, la population de ce territoire de la province du Kongo Central pointe de plus en plus un doigt accusateur sur PERENCO REP, filiale de la société française PERENCO.

Des pleurs des prévenus soumis aux tortures atroces et des cris stridents de douleur à la suite des contusions et des blessures non pansées : tel est le quotidien des riverains du sous-commissariat de Makala à Kimbanseke. Dans ce poste de la police territoriale de la ville de Kinshasa devenu tristement célèbre, un élève-mécanicien des motos, garde de son séjour en ce lieu, des cauchemars qu’il ne souhaiterait plus revivre dans sa vie.

Le Professeur Nzongola Ntalaja a présenté son ouvrage intitulé « La faillite de la gouvernance et la crise de la construction nationale » le samedi 17 octobre 2015 au Centre Wallonie-Bruxelles, en présence des députés, sénateurs, professeurs, journalistes et intellectuels, tous amoureux du savoir. Dans ce livre de 441 pages, l’auteur essaie d’expliquer pourquoi la RDC n’arrive pas, 50 ans après son indépendance et malgré ses immenses ressources naturelles et humaines, à satisfaire les besoins  élémentaires de ses citoyens.