Culture

L’Afrique francophone, une opportunité pour le cinéma français mardi 10 février 2015 Il ne faut pas rater le train !, a insisté devant la presse le producteur Eric Névé, rapporteur du groupe francophonie d’Unifrance, puisqu’actuellement ajoute-t-il, beaucoup de pays d’Afrique francophone ont une structuration claire de leur filière cinématographique. Ce rapport rappelle que selon des chiffres officiels, plus de 8 francophones sur 10 devraient être africains d’ici 2050 et le PIB de la zone multiplié par 15.
La Halle de la Gombe abrite, depuis le vendredi 23 janvier dernier, l’exposition ’’D’une rive à l’autre’’ qui met en vedette les œuvres des artistes plasticiens des deux Congo. Prévue jusqu’au 14 mars prochain, cette exposition révèle au grand jour les talents de six peintres congolais. Une des rares femmes à l’affiche, Ange Swana, cristallise l’attention du public par ses portraits qui décrient les violences.
L’après Mondonga est égal à pendant Mondonga. Le comité Paulin Mukendi ressemble à celui de Jacques Mon- donga dans sa gestion calamiteuse de la SOCODA (Société congolaise des droits d’auteur et droits voisins). Il préfère les discours et autres démarches mensongères pour endormir les sociétaires et les nouveaux adhérents. Aussitôt en fonction, il a emprunté la route de la triche. Plusieurs œuvres et dossiers trainent encore sur les tables des responsables de cette entreprise habilitée à traiter les questions de droits d’auteur et droits voisins.
Comme il est de coutume le 10 février de chaque année, les amoureux de l’habillement dit «sapeurs» se donnent encore rendez-vous à Kinshasa cette année pour la célébration de ce qu’ils appellent la journée mondiale de la sape. Cette fête qui est la vingtième du genre, a été instituée depuis la disparition d’un des pionniers de la sapologie, l’artiste musicien Ster­vos Niarkos alias «Le Ngantze», le 10 février 1995.
(L'Avenir Quotidien) En effet, à l’initiative des organisateurs, quatre « fauves » de la chanson congolaise, à savoir le Kuru Yaka Papa Wemba, patron de Viva la Musica, chef coutumier du village Molokaï, le Grand-père Bozi Boziana, tête d’affiche du groupe Antichoc, Jossart Nyoka Longo Mvula, vieux Bombas unité centrale de l’orchestre Zaïko Langa Langa et la Cléopâtre Mbilia Bel, la voix sensuelle de la chanson féminine vont se produire sur la même scène de l’hôtel cité ci-haut. A l’idée des organisateurs, le choix porté sur ces quatre noms de la chanson congolaise n’est pas un fait du h
Quand on évoque la Sape – le fameux mouvement de mode congolais Société des ambianceurs et des personnes élégantes – on sort les griffes : Vuitton, Yamamoto, Cerruti, Gaultier, Versace… Seulement, de plus en plus, on vante des marques de prêt-à-porter et certains créent même leur propre ligne, comme Bwapwa « Kadhitoza » Kumeso, qui joue sur un système de pressions dans ses créations. Cédrick Mbengi, lui, a choisi le papier après un rêve saisissant où il se voyait drapé dans cette étoffe « comme les autres ».
C’est possible de s’amuser et de se divertir pendant la nuit à Kinshasa sans regretter. Plusieurs cadres aux standards internationaux peuvent vous accueillir avec un personnel jeune et dynamique. Le célèbre night-club « Le Klubb » est l’un des endroits les plus huppés de la Rd-C qui vous offrent des services de qualité. Ils jouent la musique internationale avec des DJs professionnels et vous proposent un arsenal de boissons locales et cosmopolites. Toutes les personnes qui passent par-là ne sont pas déçues.
Après la sortie de son générique le 25 décembre 2014, l’opus «la stroboscopie» de l’artiste musicien et animateur, Didier Kalonji alias Bill Clinton sera lancé officiellement sur le marché des disques de Kinshasa, le 5 mars prochain, nous a fait savoir une source proche de l’artiste. «La stroboscopie» connaîtra la participation de ses poulains, les «samouraïs» et comptera au total quinze titres dont un générique déjà disponible sur les bacs. Le 5 mars prochain, sera donc le tour des quatorze autres à être lancés en CD, DVD et cassettes dans des maisons de vente.
«Cycle film allemand» est le nom du festival allemand qui s’est ouvert, avant-hier mercredi 4 février, au Goethe Institut- centre culturel allemand de Kinshasa domicilié à l’institut Français de Kinshasa-Halle. Cette activité culturelle devra se poursuivre tout au long des mercredis de tout le mois de février en cours. Au menu de ce festival, quatre films réalisés par des cinéastes allemands sont à proposer aux cinéphiles kinois. S’agissant d’hier mercredi 4 février pour la soirée d’ouverture, c’était le film «La vie des autres» de Florian Hencket Von Donnersmarck qui a été projecté.
En effet, à l’initiative des organisateurs, quatre « fauves » de la chanson congolaise, à savoir le Kuru Yaka Papa Wemba, patron de Viva la Musica, chef coutumier du village Molokaï, le Grand-père Bozi Boziana, tête d’affiche du groupe Antichoc, Jossart Nyoka Longo Mvula, vieux Bombas unité centrale de l’orchestre Zaïko Langa Langa et la Cléopâtre Mbilia Bel, la voix sensuelle de la chanson féminine vont se produire sur la même scène de l’hôtel cité ci-haut. A l’idée des organisateurs, le choix porté sur ces quatre noms de la chanson congolaise n’est pas un fait du hasard.