Kabuya sur l'accueil réservé au chef de l'État : "Dieu n'a jamais élevé 2 personnes à une même époque, c'est le tour de F. Tshisekedi"

Vendredi 5 novembre 2021 - 13:03
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7SUR7

Augustin Kabuya, secrétaire général de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), a, dans une interview accordée à 7SUR7.CD ce vendredi 05 novembre 2021, réagi sur l'accueil réservé au chef de l'État Félix Tshisekedi, par sa famille politique l'Union Sacrée, à l'occasion de son retour à Kinshasa, après un séjour à l'étranger.

Augustin Kabuya fait savoir aux détracteurs de l'actuel régime que c'est le tour de Félix Tshisekedi de gérer le pays car, d'après lui, Dieu n'a jamais élevé 2 personnes à une même époque.

« Je demande aux uns et aux autres, les croyants de la parole de Dieu savent ce que je dis, Dieu n'a jamais élevé deux personnes à une même époque. Mais comme nous fonctionnons avec des incrédules, c'est comme ça qu'ils ne se rendent pas compte. Ils peuvent sillonner le monde entier, c'est le tour de Félix Tshisekedi. Il doit gérer et la population lui fait confiance puisqu'elle n'est pas dupe. La population connaît très bien là où le président de la République a trouvé ce pays », a déclaré Augustin Kabuya.

Dans la foulée, le secrétaire général de l'UDPS a remercié la population Kinoise pour l'accueil réservé au chef de l'État. 

« Aujourd'hui, il n'y a que des incrédules qui ne comprennent pas, qui multiplient des déclarations et qui déploient des mercenaires dans les médias pour combattre le président de la République avec leurs arguments ! C'est ça même l'expression démocratique. Moi, je peux que dire merci au peuple Kinois qui a montré le contraire de tous les discours développés et toutes les campagnes médiatiques menées pour ternir l'image du chef de l'État », a-t-il ajouté.

Rappelons que le président de la République Félix Tshisekedi a regagné le pays le jeudi dernier, après avoir participé notamment à la COP26 à Glasgow sur le changement climatique.

Il a été accueilli à l'aéroport international de N'djili par plusieurs autorités du pays dont les présidents de deux chambres du Parlement et le premier ministre, sans oublier des députés nationaux et sénateurs. 

Roberto Tshahe