Politique

Le gouvernement de la République démocratique du Congo, par le biais du ministère de l'Intérieur, sécurité, décentralisation et affaires coutumières a tiré la sonnette d'alarme sur la volonté manifeste du Rwanda de se soustraire au cadre de la tripartite « RDC-HCR-Rwanda », afin de poursuivre ses ambitions « expansionnistes » à travers le repeuplement des zones sous occupation de la rébellion du M23.Dans son communiqué de presse publié mercredi soir, il a appelé, à cet effet, ses partenaires nationaux et internationaux à « suspendre toute forme de collaboration avec
Les gouvernements de la République démocratique du Congo et du Rwanda ont paraphé mardi dernier le texte d'un accord de paix entre les deux pays.L’information est livrée ce mercredi 18 juin 2025 par Tina Salama, la porte-parole du président Tshisekedi, via son compte X.« Les gouvernements du Rwanda et de la République démocratique du Congo ont paraphé mardi le texte d'un accord de paix entre les deux pays, a indiqué le département d'Etat américain dans un communiqué conjoint », a fait savoir Tina Salama.
Le vice-premier ministre de la Défense et anciens combattants poursuit son séjour dans le Grand Équateur. Le mardi 17 juin, Guy Kabombo Muadiamvita a foulé le sol de Boende, chef-lieu de la Tshuapa, pour palper du doigt les réalités de la 13e région militaire.Sur place, ce membre du gouvernement Suminwa a d’abord présidé le Comité provincial de sécurité, élargi aux députés de cette province. La situation sécuritaire de cette région de la RD Congo était au cœur de cette réunion.
Quelques jours après son arrivée, le nouveau commissaire divisionnaire de la Police nationale congolaise (PNC), dans la province de la Tshopo, le général Palanga Nawej Elvis, a été reçu ce mardi 17 juin 2025, par l'exécutif provincial, Paulin Lendongolia Lebabonga, au gouvernorat.Durant quelques heures, les deux personnalités ont échangé sur l'harmonisation des stratégies sécuritaires face à montée en puissance de l'insécurité dans la ville de Kisangani, chef-lieu de la province de la Tshopo,  précise le général Palanga Nawej.
La Coalition de la Gauche Congolais (CGC), c’est la nouvelle plateforme politique qui a vu le jour en République démocratique du Congo. Sa sortie officielle a eu lieu ce mercredi 18 juin 2025 à Kinshasa.Dans son allocution, l’opposant Jean-Marc Kabund, leader de cette coalition, a fait savoir que la CGC est l’expression de la rupture radicale avec les pratiques du passé.
Jean-Marc Kabund a mis en garde certains pays voisins qui tenteront de déstabiliser la République démocratique du Congo.Au cours du lancement officiel de la Coalition de la Gauche Congolaise (CGC), ce mercredi 18 juin 2025 à Kinshasa, Jean-Marc Kabund a annoncé que la guerre ne sera pas une option mais plutôt une obligation sacrée.
La « déportation » des civils congolais des zones sous contrôle du mouvement rebelle M23 a été dénoncée, mardi 17 juin, à Genève,  en Suisse, par la ministre des Droits humains, Chantal Chambu Mwavita.Reçue par Filippo Grandi, haut commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, après les travaux du conseil des droits de l'homme de l'ONU à Genève, la ministre congolaise a exprimé sa « vive » inquiétude face à cette situation.
Conformément au règlement intérieur en vigueur, la Commission Économico-Financière (ECOFIN) de l’Assemblée provinciale de Lomami a lancé une mission de contrôle au sein des institutions publiques de la province notamment, à la Direction générale des recettes de Lomami (DGRLO), et au Gouvernorat de la province.
Le ministre de la Justice et garde des sceaux, Constant Mutamba, a démissionné. Il a annoncé sa démission au président de la République , Félix Tshisekedi, ce mardi, lors d'une rencontre à Kinshasa, confirment des sources contactées par 7SUR7.CD.Elles précisent que l'officialisation de la démission de ce membre du gouvernement Suminwa interviendra dans les heures qui suivent. 
Dans une interview accordée à 7SUR7.CD ce mardi 17 juin, Pierre Lumbwe Kazimoto, leader politique et notable du Tanganyika, a dénoncé les dérives de l'ancien président Joseph Kabila. Il l'accuse d'avoir officiellement rejoint le mouvement rebelle M23/AFC, soutenu par le Rwanda, après 18 ans de règne absolu et stérile.Selon lui, Joseph Kabila a orchestré les désordres actuels dans le but de revenir au pouvoir, en se présentant comme un rempart fort de sa prétendue identité katangaise.