Politique

Combattantes et combattants, La lutte pour l’indépendance de notre pays a été un combat pour la liberté et le bonheur de notre peuple. Cinq ans seulement après l’accession du Congo à la souveraineté nationale et internationale, alors que nous vivions une crise normale d’enfantement émaillée de quelques balbutiements dans l’expérimentation de la démocratie, un coup d’Etat porte au pouvoir un ancien Sergent gradé comptable de la Force publique coloniale.
Le 23 janvier dernier, l’ambassadeur des Etats-Unis en Rdc, James Swan débarque au ministère du Budget où il vient personnellement pour la question du financement de prochaines élections. Le kengiste Michel Bongongo en charge du Budget a entrepris de l’édifier à la hâte. Lui faisant voir les différentes contraintes auxquelles est soumis le Congo-Kinshasa-.
Le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, a déploré samedi 31 janvier 2015 les « lents progrès dans la mise en œuvre des Déclarations » faites à Nairobi (Kenya) par le gouvernement congolais et l’ex-rébellion du M23 fin 2013. « Plus d'un an après la signature de ces déclarations, l'amnistie et le rapatriement des anciens combattants éligibles du M23 et des autres groupes armés n'ont pas été achevés », a-t-il stigmatisé en marge du 24ème Sommet de l'Union africaine, qui s’est clôturé le même jour. Il a appelé les gouvernements de RDC, du Rwanda et de l'Ouganda à « intensifier leu
L'Envoyé spécial des Etats-Unis sur les Grands Lacs, Russ Feingold, a dévoilé à RFI la position américaine à la suite de l'annonce le 29 janvier 2015 par le général Didiert Etumba, chef d’Etat-major des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), de l’opération « Sukola 2 » visant le désarmement forcé des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR) dans les provinces du Kivu (Est du pays). « Nous sommes heureux que le gouvernement congolais ait reconnu la nécessité de passer à l’action, qu’il ait annoncé que les opérations allaient commencer, qu’il ait accepté
* Ces obstacles bloquent déjà quelque part l’élan du Gouvernement et sont de nature à compromettre l’idéal de cohésion nationale.
Le chef d’état-major de la 13e région militaire à l’Equateur, le général de brigade Luboya Nkashama, et ses deux commandants adjoints, ainsi que le contre-amiral Bokota, nouveau commandant du 11e groupement naval, ont pris leurs fonctions lundi 2 février 2015.
L'opposition et les étudiants ont-ils crié trop tôt victoire après le retrait de la loi qui aurait prolongé de facto le second mandat du président de la RDC Congo ? Les élections prévues fin 2016 risquent toujours d'être retardées. Le retrait, par le Parlement, d'une disposition de la loi électorale qui liait la tenue de l'élection présidentielle à la fin des opérations de recensement - ce qui aurait retardé le scrutin congolais de trois ou quatre ans - a fait retomber la tension dans la capitale et l'est du pays.
Onze partis politiques du Katanga, membres de l’opposition, dénoncent « l’acharnement » du pouvoir sur leurs leaders.
(KINSHASA)- La commission électorale nationale indépendante publiera le calendrier global juste après la promulgation de la loi électorale par le chef de l’état. Le rapporteur de cette institution, Jean Pierre Kalamba a assuré que tout est prêt. Il a indiqué que le travail se fait déjà pour relever ce défi. La publication n’interviendra qu’après la promulgation de cette loi, a-t-il précisé. Tous les paramètres ont été pris en compte, a ajouté Kalamba. L’opposition politique fait de la publication du calendrier global, une question de vie et de mort.
(KINSHASA)- La communauté Balubakat a rappelé fermement que Joseph Kabila restera président du Congo-Kinshasa jusqu’à la fin de son mandat. ‘‘Quiconque s’y opposera, trouvera les Balubakat sur son chemin’’, a prévenu le professeur Docteur Ingénieur Marcel Lenge Masangu Mpopyo, président de Balubakat. ‘‘Nous mettons en garde quiconque osera compromettre la paix chèrement acquise par les efforts du président Kabila’’, peut-on lire dans leur déclaration.