Politique

Cela expliquerait pourquoi le gouvernement s’obstine-t-il à repousser la collaboration de la brigade spéciale d’intervention de la MONUSCO Dans un rapport publié lundi 16 mars dernier à New-York devant le Conseil de sécurité des Nations Unies sur l’action de la Monusco (Mission de stabilisation de Nations Unies au Congo), le Secrétaire général de cette institution planétaire, Ban Ki-moon, a pris le soin de recommander aux autorités de la RDC de coopérer avec la Monusco en vue de mener » des opérations militaires efficaces » contre les rebelles Hutu-rwandais regroupés et opérant sous l’étiqu
Profitant de la remise officielle à la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante) de la liste actualisée des partis politiques agréés en République Démocratique du Congo, la Commission Africaine pour la Supervision des Elections (Case) a annoncé hier mercredi 18 mars à la Maison des élections, la publication du rapport sur leur taux d’implantation réelle et leur efficacité sur terrain.
Le président rwandais Paul Kagame va-t-il rempiler pour un troisième mandat à l’occasion de la présidentielle de 2017 ? En principe, la Constitution le lui interdit. Mais, ces derniers temps, l’idée d’un référendum sur un amendement de la loi fondamentale est de plus en plus souvent évoquée. Quant à l’intéressé, il ne s’est pas exprimé clairement sur la question. Paul Kagame est l’artisan de la reconstruction après le génocide : arrivé au pouvoir en 1994 – d’abord en tant que vice-président puis en tant que président –, il mène son pays d’une main de fer depuis lors.
Rebondissement ultime, ce mercredi 18 mars en RDC. Les militants de la société civile de Y'en a marre et du Balai citoyen ont été déclarés non grata par les autorités congolaises. Après les avoir accusés d'avoir voulu inciter la jeunesse à l'insurrection armée, Kinshasa a finalement décidé d'arrêter les poursuites contre eux et de renvoyer les quatre militants dans leurs pays respectifs, le Sénégal et le Burkina Faso.
Le gouvernement Matata II est en place voici 100 jours. Il a plu au Chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange de nommer au sein de ce gouvernement de Cohésion nationale, le Professeur Willy Makiashi, haut cadre du Palu, en qualité de Vice-premier ministre, Ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance sociale. Peu après la cérémonie de remise et reprise avec le Ministre Bahati Lukwebo, le 12 décembre 2014, l’homme s’est résolument mis au travail.
Le Vice-Premier ministre en charge de l’Emploi, Travail et Prévoyance sociale séjourne du 17 au 20 mars à Dakar au Sénégal dans le cadre de la 39ème Session ordinaire du Conseil d’Administration du CRADAT (ndlr : Centre Régional Africain d’Administration du Travail).
Les quatre activistes sénégalais et burkinabés arrêtés dimanche à Kinshasa ont été libérés et déclarés personae non gratae en République démocratique du Congo. La porte-parole du Gouvernement, Lambert Mende, l’a annoncé à la presse mercredi 18 mars.
Sur les 477 partis politiques agrées en RDC, seuls le PPRD, l’UDPS, le MLC et l’UNC sont implantés sur 75% du territoire national. Le reste n’existe qu’à Kinshasa ou dans quelques chefs-lieux des provinces. Le constat est de la Commission africaine pour la supervision des élections (Case), qui a publié un rapport mercredi 18 mars à Kinshasa.
S’achemine-t-on vers le dénouement de la crise diplomatique entre la RD-Congo et le Sénégal d’une part et d’autre part entre la RD-Congo et le Burkina-Faso ? Crise née après que les citoyens de ses deux Etats (notamment le sénégalais Fadel Baro et le burkinabé Oscibi Johan) aient été arrêtés par les services de sécurité de la RD-Congo le weekend passé dans la Commune de Masina à l’est de Kinshasa. Ces activistes africains de droits de l’homme membres de « Y en a marre » et « Balai citoyen »viennent d’être déclarés persona non grata par le gouvernement de la RD-Congo.
L’avertissement leur a été donné par le président de l’Assemblée nationale lundi 16 mars dernier à l’ouverture de la session ordinaire de mars 2015 en présence du Procureur général de la République Flory Kabange.