Politique

Le président français Emmanuel Macron s'est exprimé sur la question sécuritaire dans l'Est de la République Démocratique du Congo, faisant également allusion aux autres pays qui subissent des situations similaires.C'était lors de sa prise de parole à la 80e Assemblée générale des Nations unies à New-York, le mardi 23 septembre 2025. Emmanuel Macron a exigé le respect de l'autorité de l'État en RDC.

L'ambassade de Chine en RDC a célébré, ce mardi 23 septembre 2025, le 76ᵉ anniversaire de la fondation de la République populaire de Chine. La cérémonie s’est tenue dans la nouvelle chancellerie de l’ambassade à Kinshasa, en présence de plusieurs personnalités congolaises.Dans son discours, l'ambassadeur de Chine en RDC, Zhao Bin, a affirmé qu’au cours des 76 dernières années, le peuple chinois, uni autour du Parti communiste chinois (PCC), a réalisé deux grands miracles : un développement économique rapide et une stabilité sociale durable.

Dans une interview accordée à 7SUR7.CD ce mardi 23 septembre 2025, l'opposant Emery Okundji accuse l'Union sacrée d'avoir orchestré « un désordre » à l'Assemblée nationale à travers une série de pétitions contre quelques membres du bureau.Selon l'élu du Sankuru, ces pétitions visent uniquement à déstabiliser l'institution au moment où la situation sécuritaire est préoccupante dans l'Est du pays.

Des pays forestiers, dont la RDC, ainsi que des acteurs non gouvernementaux, sont déterminés à établir la coalition J-REDD (Juridictional REDD+) avant la COP30, qui se déroulera au Brésil en novembre prochain.Le lundi 22 septembre dernier, une table ronde a été organisée en marge de la 80e session de l'Assemblée générale des Nations unies. Parmi les participants, la ministre Marie Nyange a pris part aux discussions sur la préparation d’une déclaration commune pour la COP30.

Le député national Trésor Mutiki Lutala a déposé, ce lundi 22 septembre 2025, à l’Assemblée nationale une proposition de loi visant à interdire l’intégration des anciens membres de groupes armés insurrectionnels ou terroristes dans les institutions régaliennes de la République démocratique du Congo (RDC), telles que l’armée, la police, les services de renseignement et de sécurité. Selon l'élu de Mwenga dans la province du Sud-Kivu, cette loi, « qui se veut une mesure spécifique de protection du cœur régalien de l'État », vise à mettre fin aux pratiques antérieures d'intégration sys

Lors de la 80e session de l'Assemblée générale des Nations Unies à New York, la ministre de l’Environnement, du développement durable et de la nouvelle économie du climat, Marie Nyange, a participé le lundi 22 septembre à un dialogue de haut niveau sur les peuples autochtones et les communautés locales.Cet événement parallèle, axé sur l'engagement des États à sécuriser les terres des peuples ayant protégé les forêts tropicales pendant des siècles, a permis à la ministre de présenter l'architecture juridique mise en place par la RDC ces dernières années pour protéger les espaces de

Le président Félix Tshisekedi a appelé la communauté internationale à reconnaître le génocide perpétré en République démocratique du Congo pour des raisons économiques (GENOCOST) depuis plus de 30 ans. Le chef de l'État a lancé cet appel, lundi 22 septembre 2025, lors d'une conférence de presse organisée à New York, aux États-Unis, en marge de la 80ᵉ session de l’Assemblée générale des Nations unies.Selon lui, les crimes planifiés et systématiques commis en RDC relèvent, dans leur modus operandi, d’une intention génocidaire.

Réunis ce lundi 22 septembre dans un hôtel de Kinshasa, les pétitionnaires conduits par Crispin Mbindule, ont réaffirmé leur détermination à obtenir la destitution de tous les membres du bureau de l’Assemblée nationale visés par des pétitions.C’est ce qui ressort d’une capsule vidéo partagée par l’un des frondeurs sur les réseaux sociaux, alors que la plénière « décisive » est attendue pour cet après-midi.« Pas question de sauver certains membres du bureau, tous doivent être chassés », a déclaré l’un d’eux dans cette vidéo devenue virale.

Le président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, affirme ne pas être à la base de la démission du président de l’Assemblée nationale de la République démocratique du Congo, Vital Kamerhe.Le chef de l'État l'a dit le lundi 22 septembre 2025 au cours d'une conférence de presse tenue à New-York à l’occasion de sa participation à la conference de haut niveau sur les 80 ans de l’ONU.

Prenant la parole devant la plénière ce lundi 22 septembre 2025, Vital Kamerhe, président sortant de l’Assemblée nationale, a dénoncé les irrégularités relevées dans la pétition initiée contre lui.À l’en croire, ce document comporte plusieurs bévues, notamment des doublons et le non-respect de la procédure.« La pétition sous examen est entachée d’irrégularités », a déclaré Vital Kamerhe.Il convient de rappeler que, malgré l’examen de cette pétition, Vital Kamerhe a déposé sa démission du poste de président de la chambre basse du Parlement.