Le N° 1 du pustch manqué contre le président burundais Pierre Nkurunziza en mai 2015, ‘le général Godefroid Niyombare vient d’être désigné à la tête d’une rébellion anti- Nkurunziza.
Cette désignation intervient après le passage dune délégation du Conseil de Sécurité des Nations Unies au Burundi.
Cette rébellion constituée d’ex-officiers militaires et de la police burundaise en exil a pour but, renverser le régime de Pierre Nkurunziza en vue de faire appliquer les Accords d’Arusha.
Internationales
sam 23/01/2016 - 09:11
A Bujumbura (Burundi), les acteurs de la société plaident pour la tenue, dans un bref délai, du dialogue inter burundais.
Ils ont exprimé leur souci, vendredi 22 janvier, à une délégation du Conseil de sécurité de l’Onu en mission depuis jeudi dans le pays et conduite par l’Américaine Samantha Jane Power.
Le Burundi est secoué par une crise politique depuis l’annonce de Pierre Nkurunziza à un troisième mandat présidentiel et sa réélection, en juillet 2015, à la tête du Burundi.
ven 15/01/2016 - 23:14
Les Nations unies sont-elles en mesure d’empêcher le Burundi de basculerdans la guerre civile ou pire, dans un génocide ? Non, si l’on en croit les conclusions d’une note interne qui aurait dû rester confidentielle. Adressé aux membres du Conseil de sécurité, le document signé par Hervé Ladsous, le chef du département des opérations de maintien de la paix, et révélé par le site Vice News, est un clair aveu d’impuissance.
ven 15/01/2016 - 23:08
Coordonnateur du mouvement congolais prodémocratie Filimbi et de la plateforme Front citoyen 2016, Floribert Anzuluni revient sur la situation politique tendue en RDC à l’approche de la présidentielle, prévue le 27 novembre. Il assure que tout sera fait pour forcer le pouvoir à organiser les élections dans les délais constitutionnels.
mer 13/01/2016 - 10:10
Les faits
Il se passe quelque chose d’historiquement important au Burundi depuis avril-mai 2015, qui découle de l’échec des accords issus des « négociations » ordonnancées dont les bases ont toujours été altérées à partir des officines de l’Occident, et donc l’issue connue à l’avance.
Les très puissants medias mensonges s’étonnent comme tout le monde de voir la bombe à retardement contenue dans pareils accords éclater dans, un pays où, pourtant, tous les ingrédients explosifs étaient si ingénieusement réunis !
dim 10/01/2016 - 18:43
Au pouvoir depuis 30 ans le président ougandais a affirmé que sa tâche à la tête du pays n'est pas terminée.
Il a appelé les électeurs à le réélire lors de la présidentielle du 18 février, pour poursuivre le développement de l'Ouganda.
M. Museveni a fait modifier la constitution en 2005 pour abolir la limitation des mandats présidentiels.
Il est le médiateur des pourparlers inter-burundais, censés ramener la paix dans ce pays secoué par des violences, pour cause de 3ème mandat contesté du président Pierre Nkurunziza.
jeu 07/01/2016 - 09:54
L’année 2016 s’annonce chargée sur le plan électoral en Afrique. Sortie de crise possible en Centrafrique, troubles sur le calendrier en RDC, succession après les deux mandats constitutionnels du président sortant au Bénin et règne sans fin en Gambie, tour d’horizon des 16 présidentielles à venir.
lun 04/01/2016 - 06:57
La nouvelle année s’annonce électoralement tumultueuse sur le continent. Placés sous le signe de l’alternance en Afrique de l’Ouest et de la constance en Afrique centrale, seize scrutins présidentiels y sont programmés.
lun 04/01/2016 - 06:44
Alors qu’il avait été longtemps classé parmi les dirigeants africains qui symbolisaient la différence, le président Paul Kagame a rejoint la vaste confrérie des chefs d’Etat décidés à demeurer au pouvoir, persuadés qu’ils sont d’être indispensables à la stabilité et au progrès de leur pays.
sam 02/01/2016 - 08:31
Le président rwandais Paul Kagame a mis fin à un faux suspense en annonçant jeudi soir qu'il se représenterait à l'élection présidentielle de 2017 pour un troisième mandat, comme l'autorise la nouvelle constitution approuvée massivement par ses concitoyens lors du référendum du 18 décembre.
Cette décision était inéluctable depuis l'acceptation par 98,4% des votants, lors du référendum, d'une révision de la Constitution permettant à M. Kagame, 58 ans, de se représenter en 2017 et de potentiellement diriger le pays jusqu'en 2034.