Malgré la suspension de Lushima Ndjaté et son émission «Congo Histoire » par le conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication -CSAC, Lushima continue à présenter son émission de la haine par les téléspectateurs de la RTNC. L’acte que pose Lushima s’appelle de la désobéissance aux institutions du pays en l’occurrence le CSAC. Cette institution d’appui à la démocratie a même saisi la RTNC, l’instruisant de changer le présentateur de l’émission parce que ce CSAC juge Lushima de manque de professionnalisme dans ses interventions. Le point de vue du CSAC contre Lushima est fondé du fait que l’homme n’est passé dans une école
des journalistes. Ce que fait Lushima à la RTNC, c’est un règlement des comptes à l’opposition et aux personnalités politiques qui sont contre le pouvoir.
Les insultes de Lushima à la personne de Moise Katumbi, Etienne Tshisekedi, Monsengwo en témoignent. Bravo au CSAC pour cette initiative prise qui réjouit les professionnels des medias qui en avaient marre de voir ce Lushima vociférait du n’importe quoi à la longueur des journées à la RTNC considérée média public. Lushima avait fait de la RTNC, la radio mille collines avec ses propos de la haine. Lesquels propos sa-lissaient l’image du régime. Maintenant que Lushima est écarté de son émission de la haine, le public pourra rester scotché aux programmes de la RTNC que les gens ne suivent presque pas. Bravo une fois de plus au comité Tito Ndombi qui depuis qu’il a porté à la tête de cette institution pose des actes qui réjouissent la corporation. Les journalistes souhaitent longue vie à ce comité pourvu que celui-ci assainisse le secteur bourré des moutons noirs et des émissions sans cahier des charges et des medias sans programme. L’émission «Ya babola» de Papa Nembalemba et de Ndeko Eliezer a été également frappé par le CSAC pour une durée de trente jours.
YVes BUYA