L’opposition prépare une plainte à la CPI contre le pouvoir. La plainte est fondée sur les dernières manifs du 19 au 25 janvier contre le pouvoir à Kinshasa. Une enquête est ouverte à ce sujet par les opposants déterminés d’en découdre avec le régime. Un collectif des avocats est déjà à pied d’œuvre. L’équipe parle des morts en
se référant au communiqué de FIDH, une ONG Française qui travaille pour la défense des droits de l’homme. La
plainte sera déposée dans les jours à venir. Avant son dépôt, l’opposition rendra public ledit rapport qui est
entrain d’être établi. Sur ce, les juges de la CPI, sont saisit selon un opposant. Si la CPI jugeait la plainte re-cevable, la démarche pourra coûter cher, alors très cher au régime, surtout que la Rd-Congo n’a jamais fait le bon élève sur le respect des droits de l’homme. Ils se réfèrent au rapport publié par des ONGs sur le respect des droits de l’homme, le dernier rapport de l’ONG Américaine Humans Rights Watch sur l’opération «Likofi» dont Kanyama est nommément cité sur la violation des droits de l’homme en répétition
en Rd-Congo et la révolte à Kinshasa, à la suite de la loi Boshab, laquelle loi a occasionné plus de cent morts, selon les ONGD. C’est ce qui est à la base de la motivation de la plainte des opposants.
MTN