L’élu CCD du Mont-Amba, Toussaint Alonga a le mérite d’obtenir la démolition du site agricole de Kingabwa. Cela suite à sa question d’actualité adressée au ministre des affaires foncières, Robert Mbuinga.
Résultat de cet exercice parlementaire initié par Alonga, la démolition des constructions anarchiques au site agricole de Kinganbwa, le samedi 22 novembre dernier, par une équipe mixte Hôtel de ville et du ministère des affaires foncières.
En présence du député provincial, Gérard Mulumba, les mamans maraîchères chantaient et dansaient en l’honneur du député Alonga Toussant pour sa bravoure et détermination. Car, a soutenu l’une entre elles, «nous croyons effectivement au rôle des élus que nous avons donné mandat». Pour élu de Mont-Amba, la population ne peut pas être sacrifiée pour des intérêts égoïstes de certains individus qui usent de trafic d’influence au mépris de la loi. Selon ce juriste de formation, un seul individu ne peut pas s’accaparer d’une portion de plus de 500 hectares dans une ville comme celle de Kinshasa. C’est inadmissible, a-t-il martelé. Dans sa lettre adressé au ministre des affaires foncières, Alonga avait cité nommément un certain Mokonzo Mutuza qui se fait accompagné des inspecteurs judiciaires de la Brigade Criminelle du Parquet près le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Matete et des élément de Police Nationale grave encore avec ceux des forces armées de la république mini d’une réquisition d’information N°1.666/RI/4276/PRO23/KAM pour déguerpir les occupants au prétexte d’une base d’un arrêté ministériel N°CAB/AF0106/91 du 27 mars 1991.
Faux et archifaux dénonce Toussaint Alonga, cet arrêté ministériel n’a jamais été publié dans le journal officiel et n’ayant aucune trace dans les archives de ministère des affaires foncières comme la reconnue Robert Mbwinga devant la représentation nationale. Dans cette même correspondance, Alonga s’était insurgé contre la faiblesse de réaction pour sauvegarder le vrai occupant de ce site. Malgré les multiples interventions des autorités de la place, a souligné ce lieutenant valable de Lisanga Bonganga, les éléments de la police nationale et ceux des forces armées nationales continuaient à occuper ce lieu au mépris de la loi pour le compte de Mukonzo.
gerard lemba